La ville met un point d’honneur à faire appel à ces modèles électriques quotidiennement : afin d’amortir le coût de location de la batterie mais aussi des bornes de recharge installées, les Kangoo Z.E. doivent parcourir au moins 15 000 km par an. Et pour rester totalement en cohérence avec ses engagements environnementaux, Nantes s’est engagé à recourir exclusivement au mode de recharge lent en heures creuses, ce qui immobilise le véhicule la nuit durant 6 à 8 heures.
Si la ville compte sur des gains en termes d’entretien, le TCO de ces modèles électriques ne devrait pas s’aligner sur celui des homologues thermiques ou GNV. «...
La ville met un point d’honneur à faire appel à ces modèles électriques quotidiennement : afin d’amortir le coût de location de la batterie mais aussi des bornes de recharge installées, les Kangoo Z.E. doivent parcourir au moins 15 000 km par an. Et pour rester totalement en cohérence avec ses engagements environnementaux, Nantes s’est engagé à recourir exclusivement au mode de recharge lent en heures creuses, ce qui immobilise le véhicule la nuit durant 6 à 8 heures.
Si la ville compte sur des gains en termes d’entretien, le TCO de ces modèles électriques ne devrait pas s’aligner sur celui des homologues thermiques ou GNV. « N’ayant encore pas trouvé d’utilisation idéale élargie qui nous permettrait d’amortir ces véhicules, nous préférons rester prudents sur le rythme de leur intégration dans notre flotte », souligne Bruno Mathieu.