Jean-Philippe Berger, Yves Rocher : « Entretenir une relation privilégiée avec les constructeurs »
À la tête de 400 véhicules, le spécialiste des cosmétiques Yves Rocher laisse un large choix à ses conducteurs, tout en menant des négociations serrées avec ses fournisseurs.
Jean-Philippe Berger est responsable des services généraux et de la gestion du parc automobile chez Yves Rocher.
Chez Yves Rocher, deux types de négociation coexistent : d’abord un appel d’offres pour les 170 véhicules des commerciaux de la marque Stanhome. « Ceux-ci conduisent donc tous le même véhicule, une Skoda Fabia, en cours de remplacement par la Clio. Le but est d’uniformiser ce parc », souligne Jean-Philippe Berger.
Pour les 230 autres véhicules, ce responsable mène des négociations tripartites. Les collaborateurs ont une liberté de choix et ne sont pas restreints par des modèles inscrits dans une car policy mais par un budget. Seules...
Jean-Philippe Berger est responsable des services généraux et de la gestion du parc automobile chez Yves Rocher.
Chez Yves Rocher, deux types de négociation coexistent : d’abord un appel d’offres pour les 170 véhicules des commerciaux de la marque Stanhome. « Ceux-ci conduisent donc tous le même véhicule, une Skoda Fabia, en cours de remplacement par la Clio. Le but est d’uniformiser ce parc », souligne Jean-Philippe Berger.
Pour les 230 autres véhicules, ce responsable mène des négociations tripartites. Les collaborateurs ont une liberté de choix et ne sont pas restreints par des modèles inscrits dans une car policy mais par un budget. Seules limites complémentaires : la marque doit être référencée et le plafond de CO2 respecté, soit 107 g pour les hybrides et 120 g pour les thermiques, avec une dérogation à 126 g pour les modèles 7 places. Mais comme Jean-Philippe Berger négocie avec Renault, PSA, BMW, Volkswagen et Toyota, l’éventail des modèles est vaste. « Nous essayons juste de privilégier les hybrides car nous visons 80 % du parc en hybride pour 2020, bien que le bonus soit passé de 6 000 à 1 000 euros. Cela a eu un impact sur le TCO mais nous avons négocié des remises complémentaires auprès des constructeurs », précise ce gestionnaire.
« Au-delà des remises, l’important est d’entretenir une relation privilégiée afin de découvrir et d’essayer de nouveaux modèles, et pour mieux conseiller les collaborateurs. Je ne me verrais pas avoir des relations avec les seuls loueurs. D’autant que, d’expérience, ce dialogue avec les constructeurs aide souvent à résoudre des problèmes qui surviennent en cours de contrat. Il est ainsi plus facile d’obtenir un véhicule de remplacement premium pour un dirigeant lors d’une panne, et pas un petit véhicule de substitution, ou bien de demander un remplacement total en cas de pannes répétitives, ou encore de s’assurer que tous les tests sont bien réalisés pour éviter un pépin un mois plus tard. Autant d’avantages que le loueur ne peut pas fournir et qui facilitent la vie des collaborateurs », détaille Jean-Philippe Berger.
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