Pour Flavien Neuvy, responsable de l’Observatoire Cetelem de l’automobile, « Une des conséquences claires de cette affaire Volkswagen, c’est que le régulateur, les États et les pouvoirs publics veulent changer les méthodes d’évaluation et que les critères seront de plus en plus restrictifs, notamment les normes en matière de polluants, ce qui va nécessiter d’investir beaucoup. »
Et d’en répercuter le montant sur la facture du client : soit une somme d’au minimum 300 euros pour un post-traitement simple avec piège à NOx au fonctionnement limité sous les 17° C et au-dessus de 35° C (équipant les Renault par exemple) ; et d’au moins 600 euros...
Pour Flavien Neuvy, responsable de l’Observatoire Cetelem de l’automobile, « Une des conséquences claires de cette affaire Volkswagen, c’est que le régulateur, les États et les pouvoirs publics veulent changer les méthodes d’évaluation et que les critères seront de plus en plus restrictifs, notamment les normes en matière de polluants, ce qui va nécessiter d’investir beaucoup. »
Et d’en répercuter le montant sur la facture du client : soit une somme d’au minimum 300 euros pour un post-traitement simple avec piège à NOx au fonctionnement limité sous les 17° C et au-dessus de 35° C (équipant les Renault par exemple) ; et d’au moins 600 euros avec le système SCR (réduction catalytique avec adjonction d’urée) de PSA, Toyota ou encore Volkswagen, plus efficace selon les premiers tests de la commission Royal. Cette dernière se fonde sur le RDE, un protocole de mesure très strict et reflet au plus près la réalité (voir notre analyse).