La DS 4, un an après son lancement, reçoit quelques modifications de ses motorisations E-Tense PHEV de 225 ch/27 g. Avec, à la clé, une nouvelle batterie mais aussi une autonomie en légère progression de 55 km à 62 km, à 41 100 euros.
Débutons donc avec les motorisations électriques lancées sur la nouvelle Renault Mégane E-Techà la route depuis l’été dernier. Ce modèle est développé sur une plate-forme spécifique CMF-EV qui sert aussi au cousin Nissan Ariya, SUV compact traité plus loin. Cette Mégane E-Tech s’équipe donc d’un moteur électrique avec deux puissances : 130 ch/250 Nm en EV40 (35 200 euros) et 220 ch/300 Nm en EV60 (40 200 euros).
Cette version EV40 de 130 ch est alimentée par une batterie de 40 kWh pour 300 km d’autonomie, avec un chargeur Standard Charge en AC de 7 kW. L’EV40 peut aussi s’équiper d’un chargeur Boost Charge AC de 22 kW et 85 kW en DC (+...
Débutons donc avec les motorisations électriques lancées sur la nouvelle Renault Mégane E-Techà la route depuis l’été dernier. Ce modèle est développé sur une plate-forme spécifique CMF-EV qui sert aussi au cousin Nissan Ariya, SUV compact traité plus loin. Cette Mégane E-Tech s’équipe donc d’un moteur électrique avec deux puissances : 130 ch/250 Nm en EV40 (35 200 euros) et 220 ch/300 Nm en EV60 (40 200 euros).
Cette version EV40 de 130 ch est alimentée par une batterie de 40 kWh pour 300 km d’autonomie, avec un chargeur Standard Charge en AC de 7 kW. L’EV40 peut aussi s’équiper d’un chargeur Boost Charge AC de 22 kW et 85 kW en DC (+ 2 000 euros). En EV60 de 220 ch, la Mégane E-Tech reçoit de série un chargeur Super Charge de 7 kW en AC et de 130 kW en DC. Pour 1 700 euros de plus en Optimum Charge, le chargeur passe à 22 kW en AC et reste à 130 kW en DC.
L’e-308 en électrique
Peugeot ne va pas rester longtemps sans réponse à sa principale concurrente hexagonale avec, dès le printemps 2023, la version électrique de sa 308 lancée il y a un an et demi. Soit le temps que cette compacte adopte la dernière génération du moteur électrique eMotors de 157 ch/260 Nm. Celle-ci va peu à peu remplacer l’ancien moteur de 136 ch sur toutes les gammes de Stellantis. Pour l’e-308, la batterie atteint 51 kWh pour 400 km d’autonomie. Le chargeur embarqué plafonne à 100 kW en DC et 11 kW en AC. Les prix seront dévoilés début 2023. À l’été, la Citroën ë-C4 adoptera à son tour cet ensemble moteur électrique de 157 ch et batterie de 51 kW, avant l’Opel e-Astra à l’automne.
Toujours chez Stellantis, la DS 4, un an après son lancement, reçoit quelques modifications de ses motorisations E-Tense PHEV de 225 ch/27 g. Cela se traduit par l’arrivée d’une nouvelle batterie dont la densité énergétique et la composition chimique offrent une légère progression de la puissance délivrée et donc de l’autonomie. Pour la compacte premium, cette autonomie passe de 55 km à 62 km, à 41 100 euros. Cette modification concerne les autres modèles des gammes DS (DS 7 et DS 9 PHEV) Citroën (C5 Aircross PHEV), Opel (Astra et Grandland PHEV) et Peugeot (308 et 3008-5008 PHEV).
Si les nouveautés sont importantes pour les constructeurs nationaux, les concurrents européens ou asiatiques se montrent plus en retrait. Ainsi, c’est surtout le restylage de la Mercedes Classe A et de son dérivé typé monospace Classe Bqu’il faut noter. Et la palette de motorisations est reconduite pour cette seconde moitié de vie avec quelques mises à jour.
Des retouches chez Mercedes
Mercedes adopte donc l’hybridation en 48 V avec son alterno-démarreur de 10 kW/13,6 ch sur le 1.3 turbo-essence d’origine Renault : A180 de 136 ch et A200 de 163 ch, tous deux à 133-145 g. Mais aussi sur le 2.0 turbo-diesel : A180d de 116 ch et 200d de 150 ch à 128-145 g, de série en boîte auto double embrayage. Les motorisations PHEV A 250e et B 250e ont droit à un moteur électrique un peu plus puissant de 5 kW à 109 ch. Cela porte la puissance totale à 218 ch, pour une autonomie de 70 à 81 km contre 62 à 73 km précédemment, alors que la batterie demeure à 15,6 kWh. Le CO2 n’est pas modifié à 18-25 g. En revanche, le chargeur passe à 11 kWh contre 7,4 kW auparavant. Les tarifs seront bientôt dévoilés pour des livraisons début 2023.
Du côté de Toyota, le restylage à mi-vie de la compacte Corolla en berline et break s’accompagne d’une mise à niveau des deux motorisations. Le full hybrid HEV en 1.8 passe à 140 ch, soit 18 ch en plus, et le 2.0 monte à 196 ch, soit 12 ch de plus. Une hausse obtenue grâce un moteur électrique plus puissant. Le CO2 demeure donc identique avec 102-104 g en 122h (33 900 euros en Dynamic Business) et 107-111 g en 184h (34 450 euros en Dynamic Business). Idem pour le break Touring Sport avec un prix augmenté de 1 000 euros pour des CO2 équivalents. Attention, ces prix, ceux du modèle actuel, seront probablement réévalués en mars 2023 pour le prochain millésime.
Emprunté à la Clio, le full hybrid HEV de 140 ch va se glisser sous le capot avant du Dacia Jogger. Le CO2 devrait donc logiquement passer sous les 120 g du 1.0 EcoG 100 ch actuel carburant au GPL. Les prix seront révélés début 2023.
Du neuf chez Toyota
Mais sur ce segment des berlines compactes, la grande nouveauté Toyota reste la commercialisation, au second trimestre 2023, de la cinquième génération de Prius. Cette Prius reprend la plate-forme TNGA-C du RAV4 et son 2.0 de 148 ch, aidé par un moteur électrique de 160 ch, soit au maximum 223 ch. La batterie rechargeable affiche 13,6 kWh. On ne connaît ni les consommations ni l’autonomie.
Autre arrivée attendue sur le segment, la motorisation full hybrid HEV de 140 ch sous le capot avant du Dacia Jogger, directement empruntée à la Clio : 1.6 4-cyl. de 91 ch, aidé par un moteur électrique de 49 ch et un alterno-démarreur de 20 ch. Le CO2 devrait logiquement passer sous les 120 g du 1.0 EcoG 100 ch actuel carburant au GPL. Les prix seront révélés lors de sa commercialisation début 2023.
Notons enfin chez Cupra, la marque sportive de Seat, la déclinaison de la Born basée sur la plate-forme de la Volkswagen ID.3. Cette version est emmenée par un moteur de 230 ch, avec une batterie de 77 kWh assurant 550 km d’autonomie, à 45 500 euros. Elle complète la version de 204 ch/58 kWh qui pointe à 426 km d’autonomie et 44 500 euros.
La Cupra Born s’offre une version emmenée par un moteur de 230 ch, avec une batterie de 77 kWh pour 550 km d’autonomie, à 45 500 euros. Celle-ci complète la version de 204 ch/58 kWh qui pointe à 426 km d’autonomie et 44 500 euros.
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