Après le Crossland X (voir l’article), Opel étoffe son offre de SUV avec ce « grand frère », le Grandland X, qui fera sa première apparition publique au prochain salon de Francfort. Sa commercialisation débutera dès la fin du mois avec des tarifs à partir de 25 600 euros TTC en essence et 27 000 euros en diesel (finition Edition). Le rapport prix/équipements devrait être l’un des points forts de ce nouveau SUV familial, cousin et concurrent du Peugeot 3008 dont il partage la plate-forme.
Le Grandland X proposera en série, dès l’entrée de gamme, des jantes alliage de 17 pouces, la climatisation automatique bizone, les services télématiques Opel OnStar ainsi que des aides à la conduite comme l’avertisseur de changement de voie et la reconnaissance des panneaux de signalisation.
Le Grandland X joue la technologie
À cela peut s’ajouter, sur la finition Elite, d’autres systèmes comme l’alerte anticollision avant avec freinage automatique d’urgence et détection de piéton, l’alerte de somnolence, l’aide au stationnement et la caméra de recul à 360 °. Parmi les options, on retrouve les sièges ergonomiques certifiés AGR, le volant et les sièges (avant et arrière) chauffants, le hayon automatique mains-libres ou encore le toit en verre panoramique.
Long de 4,48 m et basé sur un empattement de 2,67 m, le Grandland X promet une habitabilité généreuse pour cinq personnes avec une banquette arrière repliable en trois parties 2/3-1/3. Tandis que son volume de chargement varie de 514 à 1 652 l.
Côté motorisations, Opel a prévu un diesel 1.6 CDTI de 120 ch relativement sobre : à partir de 4,0 l/100 km en consommation et 104 g/km de CO2 en cycle mixte NEDC. Une version turbo essence de 130 ch pourra également intéresser les flottes avec des valeurs énergétiques raisonnables, à partir de 5,1 l/100 km et 117 g.
Notre précédent article sur le Grandland X.
