Une démarche rendue possible grâce à la disparité importante du kilométrage moyen des véhicules, entre 6 000 et 40 000 km par an selon les collaborateurs.
Des règles bien définies ont été mises en place par rapport aux usages. En dessous de 12 000 km par an, l’électrique est envisagé. L’électrification du parc a d’ailleurs déjà commencé chez Orange : il y aura 275 modèles 100 % électriques d’ici la fin 2016, notamment des Zoé, Leaf et i3. Entre 12 000 et 15 000 km par an, l’essence ou l’hybride s’imposent systématiquement, et ce jusqu’à 22 000 km par an suivant les utilisations. Au-delà, on passe au diesel.
« Nous menons une politique réfléchie...
Une démarche rendue possible grâce à la disparité importante du kilométrage moyen des véhicules, entre 6 000 et 40 000 km par an selon les collaborateurs.
Des règles bien définies ont été mises en place par rapport aux usages. En dessous de 12 000 km par an, l’électrique est envisagé. L’électrification du parc a d’ailleurs déjà commencé chez Orange : il y aura 275 modèles 100 % électriques d’ici la fin 2016, notamment des Zoé, Leaf et i3. Entre 12 000 et 15 000 km par an, l’essence ou l’hybride s’imposent systématiquement, et ce jusqu’à 22 000 km par an suivant les utilisations. Au-delà, on passe au diesel.
« Nous menons une politique réfléchie basée sur l’expérience et sur une vision à moyen terme », souligne Patrick Martinoli. Il s’agit en effet d’anticiper les tendances, comme le bannissement probable du diesel dans les villes d’ici 2020, une mesure entre autres annoncée par la maire de Paris. « Comme j’intègre des véhicules pour une durée de détention moyenne de quatre ans, je dois être sûr qu’ils pourront rouler jusqu’à la fin du contrat. C’est pourquoi nous commençons déjà à faire évoluer notre mix énergétique au profit de l’essence qui reste à nos yeux le meilleur choix à moyenne échéance », complète le responsable.