Dominique Régnier est responsable environnement du travail chez Oril Industrie.
« Il y a huit ans, l’intégralité du parc fonctionnait en acquisition. Nous avons alors commencé à louer chez Arval au fur et à mesure des besoins. Il reste quelques véhicules en propre parmi les 42 véhicules en pool sur le site. Avec la LLD, nous bénéficions de véhicules qui ne s’avèrent pas technologiquement dépassés car nous les renouvelons tous les quatre ans. Nous profitons aussi de services associés comme l’entretien et les pneus, un plus qui favorise la maîtrise des coûts de fonctionnement. Ainsi, nous avons dû changer la batterie d’une Zoé, soit 40 % du...
Dominique Régnier est responsable environnement du travail chez Oril Industrie.
« Il y a huit ans, l’intégralité du parc fonctionnait en acquisition. Nous avons alors commencé à louer chez Arval au fur et à mesure des besoins. Il reste quelques véhicules en propre parmi les 42 véhicules en pool sur le site. Avec la LLD, nous bénéficions de véhicules qui ne s’avèrent pas technologiquement dépassés car nous les renouvelons tous les quatre ans. Nous profitons aussi de services associés comme l’entretien et les pneus, un plus qui favorise la maîtrise des coûts de fonctionnement. Ainsi, nous avons dû changer la batterie d’une Zoé, soit 40 % du prix du véhicule ; avec la LLD, nous n’avons pas dû faire appel à nos fonds propres. Nous avons en effet débuté une transition énergétique avec huit Zoé.
Nos autres véhicules sont, à l’exception d’un véhicule 8 places, des VUL et huit véhicules de type 208 en autopartage avec Arval depuis septembre dernier. Au départ, j’étais un peu sceptique. Mais après quelques mois d’essai de l’autopartage, j’ai été convaincu par sa souplesse d’utilisation. Les collaborateurs réservent sur l’ordinateur, la tablette ou le téléphone 24 h/24. Auparavant, il fallait envoyer un e-mail à notre service pendant les heures ouvrées. Il est aussi possible d’annuler ou de modifier en un clic.
En outre, le fonctionnement devient plus sécurisé car le véhicule réservé s’ouvre avec le badge professionnel. Avant, nous laissions les clefs dans les véhicules à l’intérieur du site mais un collaborateur pouvait se tromper de véhicule, voire en emprunter un sans réserver. En cas de problème ou de retard, le collaborateur a accès à une hotline, ce qui permet d’avertir le conducteur suivant et de lui attribuer un autre véhicule. Et si un collaborateur ne prend pas le véhicule et oublie d’annuler, ce véhicule redevient disponible au bout d’une heure. Cela entraîne une optimisation du parc.
Nous envisageons de remplacer certains véhicules thermiques partagés par des modèles électriques et de faire passer les deux véhicules de la direction technique en autopartage. Une chose est sûre : les retours se font très positifs. D’ailleurs, sur les 900 personnes du site, 300 sont inscrites à l’autopartage. C’est une belle performance. »