Citroën aligne sa C4 mais aussi sa DS4, son Picasso et son Grand Picasso. Et avec une belle palette de motorisations : le 1.6 HDi de 90 ch pour la C4 qui pointe à 110 g (23 400 euros), complété par sa version S&S e-HDi en 110 ch en boîte pilotée (98 g, 25 500 euros) et boîte manuelle (109 g, 24 700 euros). Sous le capot du C4 Picasso, le 1.6 HDi passe à 110 ch (132 g, 27 150 euros) et l’e-HDi de 110 ch est uniquement en boîte pilotée (125 g, 28 150 euros). Pour sa version longue 7 places C4 Grand Picasso, ces 1.6 HDi 110 ch boîte manuelle (135 g, 28 150 euros) et e-HDi 110 ch boîte pilotée (129 g, 29 150 euros) sont complétés par...
Citroën aligne sa C4 mais aussi sa DS4, son Picasso et son Grand Picasso. Et avec une belle palette de motorisations : le 1.6 HDi de 90 ch pour la C4 qui pointe à 110 g (23 400 euros), complété par sa version S&S e-HDi en 110 ch en boîte pilotée (98 g, 25 500 euros) et boîte manuelle (109 g, 24 700 euros). Sous le capot du C4 Picasso, le 1.6 HDi passe à 110 ch (132 g, 27 150 euros) et l’e-HDi de 110 ch est uniquement en boîte pilotée (125 g, 28 150 euros). Pour sa version longue 7 places C4 Grand Picasso, ces 1.6 HDi 110 ch boîte manuelle (135 g, 28 150 euros) et e-HDi 110 ch boîte pilotée (129 g, 29 150 euros) sont complétés par le récent 2.0 HDi de 150 ch en boîte manuelle (137 g, 30 000 euros) et boîte pilotée (137 g, 30 700 euros).
La finition Business de Citroën se fait Executive pour la DS4
Pour ces modèles, une seule finition Business comprend de série l’ESP, le GPS (sans Bluetooth pour la C4), la climatisation automatique bizone, le pack électrique et le limiteur de vitesse, en plus des versions VP classiques. La DS4 a droit à l’appellation Executive, strictement identique à la Business, et l’on retrouve le 1.6 e-HDi 110 ch en boîte manuelle (118 g, 28 100 euros) et boîte pilotée (114 g, 28 800 euros), complété par le 2.0 HDi de 160 ch (134 g, 29 600 euros).
Chez Peugeot, même stratégie de plate-forme et de motorisations communes avec les 308, 308 SW, 3008 et 5008. Mais avec une différence pour les niveaux de finition puisque la Business est complétée par la Business Pack. Déjà bien équipée avec le premier niveau (ESP, air conditionné, régulateur de vitesse, pack électrique, GPS sauf pour la 308, Bluetooth, etc.), le second niveau y apporte la climatisation auto, l’aide au stationnement arrière, l’automatisation feux et essuie-glace.
La 308 débute avec le 1.6 HDi de 92 ch (110 g, 21 700 euros en Business, 23 450 euros en Business Pack), alors que le 1.6 e-HDi de 112 ch boîte manuelle est proposé uniquement en Business Pack (109 g, 24 750 euros), tout comme avec la boîte pilotée (98 g, 25 450 euros). La déclinaison break 308 SW reprend ces motorisations (émissions augmentées de 9 g) et cette structure de gamme, moyennant un supplément de 1 250 euros. Pour le 3008, la finition Business comprend le 1.6 HDi de 112 ch (130 g, 25 750 euros) mais aussi sa version e-HDi à 122 g en boîte pilotée (26 650 euros), complétée par la Business Pack (+ 2 000 euros) et le 2.0 HDi de 150 ch (142 g, 29 750 euros). La version monospace 5008 est structurée pareillement que le 3008, avec un supplément de 150 euros et 5 g de plus en CO2.
Renault n’est pas en reste avec sa Mégane berline et break (voir aussi l’essai en page 58), son Scénic et son Grand Scénic disponibles en une seule finition Business comprenant ESP, GPS, pack électrique, etc. L’attrait de la gamme repose sur les récentes motorisations Energy en 1.5 dCi 110 ch à 90 g (25 000 euros en berline, + 800 euros en break) et 1.6 dCi de 130 ch sur le Scénic/Grand Scénic (114 g, 28 400/29 500 euros).
Renault allie ses motorisations Energy et son Business Pack
Ils sont complétés par les moins coûteux 1.5 dCi en 90 ch (104 g, 23 050 euros) et 110 ch (106 g, 24 400 euros) pour la berline (+ 800 euros en break) et le Scénic/Grand Scénic (26 900 euros et 128 g, uniquement en 110 ch). Ce moteur 1.5 dCi de 110 ch existe aussi avec la boîte double embrayage EDC sur toutes les carrosseries, moyennant un supplément de 1 200 euros pour des émissions réduites de 4 g. Dommage que cette boîte ne soit pas proposée sur le plus récent 1.6 dCi 130 ch ou la version Energy du 1.5 dCi plus sobre. Encore un peu de patience.
De l’autre côté du Rhin, les constructeurs alignent des compactes premium non seulement par leurs équipements, mais aussi par la perfection de leurs motorisations rapportées à la puissance et aux émissions. Ainsi, BMW, avec sa récente Série 1, offre son 2.0 l turbo-diesel en 116d de 116 ch à seulement 99 g en EfficientDynamics (27 350 euros), en 118d de 143 ch à 118 g (29 150 euros) et en 120d de 184 ch à 122 g (31 600 euros). À partir de la 118d, la finition
Business est complétée par la finition Executive ; celle-ci enrichit l’équipement, déjà conséquent (clim, Bluetooth, régulateur de vitesse avec fonction freinage, etc.), d’un GPS grand écran et de l’automatisation de la climatisation.
Chez Mercedes, la nouvelle Classe B existe déjà en finition Business et Business Executive en deux puissances 180 CDI de 109 ch et 200 CDI de 136 ch, toutes deux à 115 et à 116 g avec la boîte double embrayage (7G-DCT + 1 500 euros). Outre les classiques équipements de sécurité liés à l’ESP, le premier niveau de finitions comprend le système de prévention des collisions avec capteur d’attention, la climatisation automatique, le Bluetooth mais pas la navigation (1 000 euros). Cette dernière est naturellement comprise dans le second niveau Business Executive qui ajoute les phares aux xénon, le pack électrique, etc. Les prix débutent à 28 900 euros pour la 180 CDI et 30 400 euros pour la 200 CDI, la finition Executive nécessitant un supplément de 2 550 euros.
L’Audi A3 attend sa remplaçante
Pour contrer ces deux récentes compactes, Audi compte sur sa nouvelle A3, commercialisée en septembre en France. Pour l’heure, l’ancienne A3 n’est pas une mauvaise affaire, avec des prix plus mesurés et une palette bien plus large de modèles. Le 1.6 TDI est décliné en 90 ch à 112 g (24 920 euros), en 105 ch à 99 ou 109 g (26 130 euros) et en S Tronic boîte auto à 109 g (28 200 euros). Le 2.0 TDI de 140 ch émet 115 g (27 580 euros) et 129 g en S Tronic (29 650 euros). La carrosserie 5 portes Sportback nécessite un supplément de 900 euros. La finition Business ne comprend pas le GPS facturé 2 730 euros. Il n’y a pas de petits profits mais la fin de vie de ce modèle devrait faciliter les remises…
Chez Volvo, la nouvelle V40 prend le relais de la S40/V50 qui demeure au catalogue jusqu’à fin 2012. Deux finitions traditionnelles chez le suédois avec la Business Edition et la Business Edition Pro pour ces deux dernières (à partir de 26 450 euros en 1.6 D2 DrivE 99 g de 115 ch ; 27 800 euros en 2.0 D3 150 ch à 134 g ; 29 800 euros en 2.0 D4 177 ch à 134 g, etc.). La gamme comprend aussi la boîte automatique Geartronic en 150/177 ch.
Pour la nouvelle V40, pour l’heure, pas de finitions Business mais elles seront au catalogue d’ici l’été, nous assure-t-on. Comme pour les S60, elles seront basées sur les finitions Kinetic et Momentum qui comprennent de série le GPS, le radar arrière et le Bluetooth avec, pour le second niveau, le radar avant et les sièges cuir. Le surcoût s’élève respectivement à 700 euros et 1 000 euros par rapport aux finitions VP pour des « avantages » clients de 2 000 euros environ.
Pour être complet, il nous faut aussi citer l’Opel Astra en berline ou break avec le 1.7 CDTI 110 ch à 99 g pour la première (25 490 euros) et 119 g pour le second (25 890 euros), ainsi que le monospace Zafira emmené par le plus puissant 2.0 CDTI de 130 ch à 119 g (29 110 euros). Comme pour la petite Corsa, la finition Business Connect ne comprend pas le GPS…
La Bravo de Fiat, avec le 1.6 MJT de 90/105 ch à 115 g, est toujours compétitive à 22 800 euros et 23 500 euros en finition Business.
Fiat, Hyundai, Mini, Skoda : un large choix
La Hyundai i30 1.6 CRDi 110 ch Pack Business Blue Drive à 100 g se situe dans la même fourchette à 23 900 euros, alors que Mini crève le plafond avec sa Countryman Business à partir de 24 550 euros en One D de 110 ch (115 g) et 28 250 euros en transmission intégrale. La Cooper D de 144 ch débute à 29 650 euros (149 g) et parvient à 31 300 euros en All4x4 et boîte auto, pour des émissions dissuasives de 158 g.
Plus raisonnable, Skoda commercialise en Business son Roomster et son Yeti, semblables pour leurs prestations de cross-over. Le premier est proposé avec le 1.2 TDI de 75 ch (119 g, 17 120 euros) et 90 ch (124 g, 18 025 euros), le second avec le 2.0 TDI de 110 ch (124 g, 18 025 euros), et en 4×4 à 159 g et 26 210 euros.
La Golf disponible en deux versions Business
Chez Volkswagen, la gamme compacte repose sur la Golf, remplacée à l’automne. En attendant, l’offre de versions est très large avec le 1.6 TDI de 90 et 105 ch et le 2.0 TDI de 140 ch que l’on retrouve avec la technologie BlueMotion : à partir de 99 g en 105 ch en finition Trendline Business (22 980 euros) puis 107 et 109 g en Confortline Business (respectivement 3 et 5 portes à 25 310 euros et 27 080 euros). Les grammages augmentent avec la boîte DSG 7, uniquement accessible en Confortline (26 560 euros), ainsi que pour la Golf break SW (à partir de 24 340 euros) et la Jetta, carrosserie 4 portes (à partir de 24 750 euros). Pas de version Business pour la Golf Plus et c’est le monospace compact Touran qui officie alors avec les mêmes motorisations et finitions (à partir de 25 470 euros). Les équipements sont calqués sur les finitions VP respectives Confortline et Trendline.
Packs business : une réponse pour chaque cas
- Packs business : une réponse pour chaque cas
- Packs business : segment B (citadines et minispaces)
- Packs business : segment C (berlines, breaks, monospaces)
- Packs business : segment D (routières et SUV)
- Packs business : segment H (berlines de luxe)