Une offre pléthorique de modèles
Précurseurs de la formule business, les constructeurs français, et en particulier Renault, restent aux avant-postes sur le segment C. La Mégane n’est plus très jeune mais avec son repoudrage en 2012, elle joue toujours les favorites en entreprises. L’offre Business se compose du 1.5 dCi en version 90 (104 g, 23 450 euros) et 110 (110 g, 26 300 euros), sans oublier sa très sobre variante Energy (90 g, 25 400 euros). La Mégane est aussi fort appréciée en break, sous la dénomination d’Estate, pour 800 euros en plus.
Son proche parent, le Scénic, vient lui aussi de se refaire une beauté. En Business, il...
Une offre pléthorique de modèles
Précurseurs de la formule business, les constructeurs français, et en particulier Renault, restent aux avant-postes sur le segment C. La Mégane n’est plus très jeune mais avec son repoudrage en 2012, elle joue toujours les favorites en entreprises. L’offre Business se compose du 1.5 dCi en version 90 (104 g, 23 450 euros) et 110 (110 g, 26 300 euros), sans oublier sa très sobre variante Energy (90 g, 25 400 euros). La Mégane est aussi fort appréciée en break, sous la dénomination d’Estate, pour 800 euros en plus.
Son proche parent, le Scénic, vient lui aussi de se refaire une beauté. En Business, il mise sur le 1.5 dCi 110 accompagné d’une transmission automatique EDC (124 g, 28 900 euros) ou en mode Energy (105 g, 28 100 euros), mais aussi sur le 1.6 dCi 130 Energy (114 g, 28 900 euros). De son côté, le Grand Scénic n’est commercialisé en Business que dans sa version 7 places pour 1 100 euros de plus.
Autre monospace compact star du segment, le C4 Picasso de Citroên sera remplacé avant l’été. En attendant, il termine sa carrière en Business, animé par le 1.6 HDi 110 (132 g, 27 550 euros) et le 1.6 e-HDi 110 Airdream à boîte robotisée (120 g, 28 550 euros). Il est suivi comme son ombre par le Grand Picasso et ses 7 places dans les mêmes versions HDi 110 (135 g, 28 750 euros) et e-HDi 110 Airdream (120 g, 29 750 euros). En revanche, pas de renouvellement en vue pour le C4 en Business avec le 1.6 HDi 90 (104 g, 23 650 euros), mais aussi le 1.6 e-HDi 115 Airdream en boîte manuelle (100 g, 25 050 euros) et boîte robotisée (98 g, 25 850 euros).
C4, C4 Picasso et DS4 chez Citroën
Restons auprès des chevrons, avec la DS4 Executive qui grimpe sur l’échelle des puissances. Nous retrouvons le 1.6 e-HDI 115 Airdream en boîte manuelle (113 g, 28 450 euros) et en version robotisée (114 g, 29 150 euros), accompagné du 2.0 HDi en version 135 ch (134 g, 29 350 euros) et 160 ch en boîte manuelle (134 g, 30 050 euros) et boîte automatique (149 g, 31 350 euros), bien moins efficiente qu’une transmission à double embrayage.
Chez Peugeot, avant d’être relevée de ses fonctions l’an prochain, l’actuelle 308 défend sa position par une double proposition : Business et Business Pack, la seconde ajoutant la navigation et des éléments de prévention et de confort pour un surcoût de 1 750 euros. Dans les faits, seul le 1.6 HDi de 92 ch est disponible en prix d’appel (105 g, 22 100 euros), mais également en Business Pack (105 g, 23 850 euros) ; ses variantes e-HDi 115 (100 g, 25 150 euros) et e-HDi Blue Lion à boîte robotisée (95 g, 25 850 euros) sont automatiquement associées à la meilleure dotation.
Stratégie identique pour la déclinaison SW, avec toutefois une différence de motorisations, ou plutôt d’émissions puisque le break 308 ne bénéficie pas de l’écolabel Blue Lion. Cela donne une version Business 1.6 HDi 92 ch (119 g, 23 530 euros), complétée par des Business Pack, d’abord avec ce moteur (119 g, 25 300 euros), puis en 1.6 e-HDi 115 (120 g, 26 600 euros) et sa version à boîte robotisée (124 g, 27 300 euros).
Peugeot en classe Business et Business Pack
Sous la griffe du lion, la visite se poursuit avec le 3008. En faisant l’impasse sur la navigation, la climatisation régulée et quelques autres raffinements, en Business, il modère ses tarifs dans sa version 1.6 HDi 115 (125 g, 26 350 euros) ou dans sa déclinaison e-HDi 115 Blue Lion à boîte robotisée (110 g, 27 250 euros). En Pack Business, il soigne le bien-être de ses occupants dans les mêmes versions HDi 115 (125 g, 28 350 euros) et e-HDi 115 Blue Lion (110 g, 29 250 euros), tout en y ajoutant la puissance du 2.0 HDi 150 (139 g, 30 250 euros). Remarquons que le fameux 3008 HYbrid4, qui mêle gazole et électricité, n’existe pas pour l’heure en Pack Business.
Pour le 5008, c’est dans sa version 1.6 e-HDi 115 Blue Lion qu’il affiche ses meilleures émissions (109 g, 27 400 euros). Il est un peu moins efficient dans sa version « standard » (124 g, 26 500 euros). Ces offres sont complétées par un Business Pack (plus 2 000 euros), seule version en 2.0 HDi 150 (138 g, 30 400 euros).
Sérieuse rivale des Françaises, la Ford Focus (5 portes) mise sur l’extrême sobriété de ses versions ECOnetic pour convaincre. Un écolabel dont découlent deux niveaux d’émissions pour un unique moteur : le 1.6 TDCi 105 ch en 99 g (23 000 euros) ou 88 g (23 550 euros). À cette offre Business s’ajoute une finition Business Nav qui, comme son nom l’indique, inclut la navigation pour 500 euros de plus ; le tout pouvant aussi se convertir en break (SW) pour 700 euros.
Ford met en avant sa Focus, ses C-Max et Grand C-Max
Le C-Max reprend ce principe de diversité, avec un 1.6 TDCi 95 ch étalonné à 117 g et 112 g (24 850 et 25 100 euros), également disponible en 115 ch à 117 g et 112 g (25 850 et 26 100 euros). Sans oublier, pour les amateurs de boîte à double embrayage, un 2.0 TDCi 115 ch Powershift (115 g, 27 150 euros). Toutes ces versions Business sont aussi vendues en Business Nav pour 700 euros de mieux.
Le Grand C-Max accorde plus d’espace pour un supplément de 1 300 euros et s’octroie en prime une version 2.0 TDCi 140 ch (139 g, 28 150 euros), existant aussi en Powershift (154 g, 29 650 euros).
Outre la Golf, Volkswagen est présent sur le segment par l’intermédiaire du Touran qui met son hospitalité au service des entreprises via une version Business et pas moins de douze combinaisons de motorisations, transmissions et finitions. En entrée de gamme figure le 1.6 TDI 105 Trendline Business (134 g, 27 940 euros). Au sommet de la pyramide des prix trône le 2.0 TDI Blue Motion 140 DSG Confortline Business (135 g, 31 440 euros) ; mais le 1.6 TDI 105 Blue Motion en boîte manuelle ou DSG (119 g, à partir de 28 210 euros) reste plus économe en carburant.
Alternative possible pour les aventuriers dans l’âme, le Tiguan est aussi proposé en Business et Sportline Business en 2.0 TDI et dans une large palette de puissances allant de 110 à 177 ch : l’offre va du 4×2 de 110 ch en Business (139 g, 27 580 euros) à un 4×4 de 177 ch en Sportline Business (159 g, 38 950 euros).
Chez Seat, la nouvelle Leon compte tirer profit de ses nombreux emprunts à la Golf VII et mise sur un prix d’appel en 1.6 TDI 105 Reference Business (99 g, à partir de 21 240 euros). S’ajoute sa variante DSG en Style Business (104 g, 24 940 euros), mais aussi un 2.0 TDI 150 en Style Business en boîte manuelle (106 g, 24 815 euros) ou DSG (116 g, 26 515 euros).
La Toledo passe aussi sous la barre des 4,50 m du segment C et possède ses versions Business Reference et Style en 1.6 TDI 105 (114 g, à partir de 20 015 euros) et 1.6 TDI 105 Ecomotive (104 g, à partir de 20 415 euros). Chez Skoda, l’évasion est au programme avec le Yeti Business Greenline et son 1.6 TDI 105 (119 g, 23 425 euros).
Volkswagen, Fiat, Opel ou Hyundai, un très large choix
Passons chez Fiat, avec la Bravo Easy Business en 1.6 MultiJet 105 ch (115 g, 19 368 euros) ou en bicarburation GPL 1.4 90 ch (134 g, 18 616 euros).
Au sein du groupe transalpin, Alfa Romeo commercialise une version Distinctive Business de sa séduisante Giulietta dans deux motorisations diesel : 1.6 JTDm 105 ch (114 g, 27 700 euros) et 2.0 JTDm 140 ch (119 g, 29 700 euros).
Pour Opel, l’Astra Business Connect 1.7 CDTI 110 ecoFLEX se décline en 5 portes (99 g, 25 920 euros) et Sports Tourer (105 g, 27 020 euros). Tourer, le Zafira l’est aussi dans son appellation, toujours en Business Connect, en 2.0 CDTI 130 ecoFLEX (119 g, 29 520 euros).
Avec l’i30 de Hyundai, nous découvrons l’offre Pack Business coréenne avec un 1.6 CRDi 110 Blue Drive très pertinent en consommation pour la 5 portes (97 g, 24 250 euros), un peu moins dans sa version Sport Wagon sans l’écolabel (113 g, 25 250 euros). Chez les japonais, la Honda Civic arbore une finition business en diesel pour son 1.6 i-DTEC (94 g, 23 500 euros).
Quant à Toyota, il y en a pour tous les goûts. La nouvelle Auris accommode ainsi sa dotation Business à ses motorisations diesel et hybride : 90 D-4D Eco (99 g, 23 400 euros), 124 D-4D (112 g, 24 200 euros) et Hybride 136h en 15 pouces (87 g, 24 800 euros) et 17 pouces (91 g, 25 800 euros). De l’hybride, il en est encore question avec l’incontournable Prius III 136h en 15 pouces (89 g, 29 100 euros) et 17 pouces (92 g, 29 700 euros).
Toyota et Lexus misent sur le business et l’hybride
Pour plus d’espace, le nouveau Verso 124-D-4D Business se combine en 5 et 7 places (129 g, 27 300 et 28 000 euros). Davantage de luxe et en hybride, c’est le domaine de Lexus avec sa CT 200h Emotion Business 136 ch (87 g, 31 400 euros).
Restons dans le premium avec l’impressionnant déploiement de force des constructeurs allemands. En incluant la version Sportback, pour sa nouvelle A3, Audi n’aligne pas moins de quatorze offres en Business Line. En diesel, le 1.6 TDI 105 passe sous les 100 g (99 g, 27 050 euros et 102 g, 29 120 euros, en boîte robotisée) et le 2.0 TDI 150 ne s’avère guère plus gourmand (106 g, 29 050 euros et 117 g, 31 120 euros, en DSG) ; en Sportback, ajoutez 900 euros. Le Q3 Business Line opte pour le 2.0 TDI 140 (137 g, 34 150 euros) proposé en version Quattro (149 g, 36 350 euros), mais aussi pour le 2.0 TDI 177, disponible en Quattro et transmission automatique (156 g, 41 350 euros).
Chez BMW, le catalogue Business de la Série 1 en 5 portes est aussi très riche, avec quatre motorisations diesels. Le 114d et ses 95 ch constituent l’entrée de gamme (109 g, 26 400 euros), suivi du 116d de 116 ch (109 g, 27 900 euros) et de sa variante EfficientDynamics (99 g, 28 000 euros). Le 118d de 143 ch (109 g, 29 750 euros) précède le 120d de 184 ch (114 g,32 200 euros) et sa version à transmission intégrale 120d xDrive (123 g, 34 200 euros). Tous ces modèles Business disposent de la navigation et adoptent une climatisation automatique bi-zone en devenant Executive pour 400 euros.
Le X1 reprend le schéma des deux finitions, mais cette fois c’est l’apport de la navigation qui caractérise l’Executive (1 900 euros de plus). Lui aussi possède son EfficientDynamics Edition sDrive20d de 163 ch (119 g, 36 800 euros), en complément des sDrive16d de 116 ch (128 g, 31 600 euros), sDrive18d de 143 ch (128 g, 34 050 euros), sDrive20d (129 g, 36 800 euros) et de sa version xDrive (145 g, 39 050 euros).
Des modèles premium chez Mercedes et BMW
Pour sa nouvelle Classe A, Mercedes a également recours à ces appellations pour distinguer ses deux niveaux de dotations. Mais le surcroît d’équipements est plus large que chez BMW ou plutôt en rapport avec les 2 000 euros demandés en supplément. Toujours est-il que la gamme Business commence avec l’A180 CDI et ses 109 ch (98 g, 29 250 euros), accompagnée d’une version à double embrayage (109 g, 31 250 euros). Avec la 200 CDI, on passe à 136 ch (111 g, 30 750 euros), disponible aussi en automatique (109 g, 32 750 euros), et jusqu’à 170 ch avec la 220 CDI, uniquement en transmission automatique (109 g, 35 600 euros).
Guère plus longue, la Classe B se veut plus habitable. Ce monospace compact fait appel aux mêmes motorisations : 180 CDI (114 g, 30 550 euros), 200 CDI (115 g, 32 050 euros) et 220 CDI (114 g, 37 050 euros). S’y ajoute une version bicarburation essence et gaz naturel 200 NGD de 156 ch (117 g, 34 500 euros). La boîte auto et le tarif Business Executive pointent chacun à 2 000 euros.
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