
Restons chez PSA avec la Citroën C5 qui, grâce entre autres à son confort, fait aussi partie des modèles les plus appréciés : 1.6 HDi 115 (120 g, 28 750 euros) avec version Airdream à boîte robotisée (111 g, 29 750 euros), 2.0 HDi 140 (130 g, 30 550 euros) et 2.0 HDi 160 (129 g, 31 250 euros). Supplément de 1 100 euros pour le Tourer.
Le quatuor français, 508, C5, DS5 et Laguna
Toujours chez Citroën, la DS5 nourrit des ambitions premium en finition Executive : 1.6 e-HDi 115 ETG6 (112 g, 35 250 euros), 1.6 BlueHDi 120 (102 g, 35 500 euros), 2.0 HDi 160 (125 g, 36 750 euros), 2.0 BlueHDi 180 en boîte auto (114 g, 39 850 euros) et, bien sûr,...
Restons chez PSA avec la Citroën C5 qui, grâce entre autres à son confort, fait aussi partie des modèles les plus appréciés : 1.6 HDi 115 (120 g, 28 750 euros) avec version Airdream à boîte robotisée (111 g, 29 750 euros), 2.0 HDi 140 (130 g, 30 550 euros) et 2.0 HDi 160 (129 g, 31 250 euros). Supplément de 1 100 euros pour le Tourer.
Le quatuor français, 508, C5, DS5 et Laguna
Toujours chez Citroën, la DS5 nourrit des ambitions premium en finition Executive : 1.6 e-HDi 115 ETG6 (112 g, 35 250 euros), 1.6 BlueHDi 120 (102 g, 35 500 euros), 2.0 HDi 160 (125 g, 36 750 euros), 2.0 BlueHDi 180 en boîte auto (114 g, 39 850 euros) et, bien sûr, l’HYbrid4 ETG6 (85 g, 43 100 euros avant déduction du bonus écologique).
Malgré son âge, l’ancienne égérie des entreprises est toujours de la partie, mais serre les prix : en Business, la Renault Laguna fait appel au 1.5 dCi 110 (109 g, 28 000 euros) et à sa version EDC (113 g, 29 500 euros), ainsi qu’au 2.0 dCi 130 Energy (118 g, 29 700 euros). L’Estate se facture 1 200 euros de plus.
La Passat de Volkswagen se veut un peu l’archétype de la familiale. Elle aussi se plie volontiers aux désirs des entreprises, avec un 1.6 TDI 105 proposé en BlueMotion Business à la dotation spécifique (109 g, 29 930 euros). La finition Confortline Business accompagne les autres versions : 1.6 TDI 105 (114 g, 30 590 euros), disponible en DSG (120 g, 32 470 euros), et 2.0 TDI 140 (119 g, 32 680 euros) également vendu en DSG (135 g, 34 560 euros). Le break pointe à 1 450 euros.
Dérivée de la Passat, en Business, la CC réduit son offre au 2.0 TDI 140 (120 g, 35 360 euros), associable à une DSG (134 g, 37 200 euros). Approche semblable pour le Sharan, avec ce même 2.0 TDI 140 (143 g, 40 930 euros) et sa version DSG (149 g, 42 850 euros). Plus modeste par la taille et dans ses prix, la Jetta est aussi à classer parmi les familiales : 1.6 TDI 105 (109 g, 26 460 euros), avec DSG (113 g, 28 410 euros), mais surtout en version Hybrid de 170 ch (95 g, 31 870 euros).
Sobriété chez Volkswagen, Skoda et Opel
Elle emprunte beaucoup à Volks-wagen mais taille sa propre route, la Skoda Octavia se veut particulièrement attrayante en Business Plus : 1.6 TDI 105 (99 g, 24 790 euros) et sa version DSG (102 g, 25 590 euros), 2.0 TDI 150 (106 g, 25 850 euros) aussi en DSG (119 g, 27 350 euros). Le très accueillant Combi coûte 1 100 euros de plus.
Autre grand vaisseau, l’Opel Insignia s’apprécie en Business Connect associé au nouveau et très sobre 2.0 CDTI ecoFlex dans ses configurations 120 ch (98 g, 31 830 euros) et 140 ch (98 g, 35 530 euros).
Toujours dans l’attente de sa remplaçante, la Ford Mondeo assure la permanence en Business Nav, aidée du 1.6 TDCi 115 ECOnetic (109 g, 27 700 euros) et du 2.0 TDCi 140 ECOnetic (119 g, 28 800 euros), avec le renfort de sa version PowerShift (136 g, 30 250 euros). Ford c’est aussi une large offensive du côté des monospaces, avec d’abord le très dynamique S-Max qui, en Business Nav, s’appuie aussi sur le 1.6 TDCi 115 (139 g, 33 000 euros) et le 2.0 TDCi 140 (139 g, 34 200 euros), mais sans les bienfaits de l’écolabel. Le 2.0 TDCi 140 a, bien sûr, sa version automatique (149 g, 35 900 euros).
Animé des motorisations et des émissions identiques, le Galaxy arbore un gabarit légèrement supérieur mais monnaie chèrement cette différence. En Business Nav, cela donne : 1.6 TDCi 115 (139 g, 36 900 euros) et 2.0 TDCi 140 (139 g, 38 100 euros) également en PowerShift (149 g, 39 800 euros).
De taille identique, le Seat Alhambra, proche cousin du Sharan, s’invite à la fête en Business avec un 2.0 TDI 140 (143 g, 38 770 euros) pouvant se munir d’une DSG (149 g, 40 520 euros). Autre monospace de grand format, le Fiat Freemont se veut d’origine américaine, mais rebadgé transalpin. En Urban Business, il loge sous son capot le 2.0 MultiJet en 140 ch (169 g, 30 610 euros) et 170 ch (169 g, 31 810 euros).
Toyota mise sur l’Avensis et le RAV 4
La Toyota Avensis prend le parti de contenir ses tarifs en 124 D-4D à 119 g et deux finitions : Active (26 250 euros) et Business Limited Edition (28 650 euros). Sa version SW emprunte aussi ce chemin pour 1 000 euros supplémentaires. Équipé du même moteur, le RAV4 préfère, pour sa part, moduler son tarif Business en fonction de la présence ou non de transmission intégrale : 2WD (128 g, 30 190 euros) et AWD (136 g, 32 090 euros).
Enfin, la Hyundai i40 étoffe son catalogue Business. On y découvre le 1.7 CRDi 115 Blue Drive (113 g, 28 500 euros), désormais associé à une version Limited (31 800 euros), alors que le 1.7 CRDi 136 en boîte auto est reconduit (149 g, 29 850 euros). Là encore, le Sport Wagon est facturé 1 000 euros de plus.
Plus généralement réservé aux cadres d’une entreprise, le segment D peut s’accompagner d’une envie de monter en gamme. Un souhait auquel sont en mesure de répondre les constructeurs allemands, mais pas seulement.
Volvo ouvre les portes du premium avec la S60 et surtout le V60 sur lequel se concentre l’essentiel des commandes, malgré les 1 500 euros supplémentaires. Berline ou break, les gammes sont similaires et s’articule autour de deux dotations.
Pour le moins fourni, le catalogue débute avec la S60 D2 de 115 ch en Kinetic Business (103 g, 29 450 euros) pour s’étendre jusqu’au D5 AWD de 215 ch en boîte Geartronic et exécution Momentum Business (156 g, 44 900 euros). En termes d’émissions, les 99 g du nouveau D4 de 181 ch constituent une sacrée performance (36 110 euros).
Prolongation buissonnière de cette offre, le XC60 reprend la plupart de ses motorisations en Momentum Business, allant du D3 de 136 ch (139 g, 39 410 euros) au D5 de 215 ch AWD et Geartronic (169 g, 47 410 euros).
Lexus et Infiniti à l’offensive
Les divisions des constructeurs japonais sont aussi sur les rangs, avec la Lexus IS 300h Business (99 g, 40 590 euros) et l’Infiniti Q50 en Hybrid Premium Executive (139 g, 53 430 euros), mais aussi de façon moins « exclusive » en diesel 2.2d (114 g, 38 080 euros) et sa version boîte auto (124 g, 40 280 euros), sans écarter le pack Premium à 2 610 euros.
Chez Audi, pour l’A4 Business Line, en dehors d’une dizaine de propositions en essence, on comptabilise pas moins d’une quinzaine de configurations en diesel. Une palette impressionnante : 2.0 TDI 120 ch (117 g, 33 790 euros), mais aussi 136 ch (112 g, 35 820 euros), 150 ch (119 g, 35 820 euros) et 177 ch (120 g, 38 260 euros), complétés par le V6 3.0 TDI de 204 ch (133 g, 41 090 euros) et 245 ch (152 g, 46 770 euros) ; et sans parler des versions automatiques ou Quattro.
Le break Avant pointe à 1 350 euros pour des émissions à peine majorées. De ce break est d’ailleurs extrapolé l’A4 Allroad Quattro vendue en Business Line en 2.0 TDI 150 (152 g, 42 100 euros) et 177 ch (153 g, 44 540 euros), plus le V6 3.0 TDI 245 ch à 159 g dans sa version Clean Diesel conforme Euro 6 (53 930 euros).
Un vaste choix chez les constructeurs allemands
Autre amateur des chemins de traverse, le Q5 structure son offre autour des mêmes déclinaisons, ajoutant seulement une motorisation un peu plus musclée : du 2.0 TDI 150 ch (139 g, 40 500 euros) au V6 3.0 TDI 258 ch Clean Diesel et système Quattro (164 g, 54 900 euros).
En choix de motorisations, le registre de la Série 3 de BMW se fait plus restreint en Business, mais il rassemble les versions les plus prisées : 316d 116 ch (114 g, 32 690 euros), 318d 143 ch (114 g, 35 200 euros), 320d 184 ch (119 g, 38 400 euros) et sa variante EfficientDynamics Edition de 163 ch (109 g, 38 400 euros), sans oublier le 320d xDrive (124 g, 40 800 euros). Une finition Executive, plus « luxueuse », est disponible contre 3 500 euros et le Touring affiche 1 300 euros.
La Série 3 Gran Turismo réduit ce catalogue à trois motorisations : 318d (119 g, 38 540 euros), 320d (129 g, 41 850 euros) et version xDrive (133 g, 44 250 euros), doublées des dotations Executive. Quant au X3, il mise en Business sur ses versions sDrive18d 150 ch (124 g, 40 250 euros) et xDrive20d 190 ch (136 ch, 48 400 euros), également livrables en Executive (plus 3 700 euros).
Chez Mercedes, l’actualité repose sur le lancement de la nouvelle Classe C. Tout en réanimant un pouvoir de séduction que l’on croyait disparu, la refonte de ce modèle s’accompagne d’une baisse des émissions qui devrait plaire aux gestionnaires. Pour débuter sa carrière, la Classe C ne mise, en Business, que sur une seule motorisation diesel : le 220 BlueTEC de 170 ch (103 g, 41 750 euros) accompagné d’une boîte auto (109 g, 44 100 euros). Le tout est appareillable en Business Executive pour 4 800 euros en sus.
Mercedes chez qui les nouveautés abondent ces derniers temps. Dans la catégorie, rappelons l’arrivée l’an dernier de la CLA qui, en Business, s’organise autour des 180 CDI 109 ch (102 g, 33 850 euros), 200 CDI 136 ch (109 g, 36 100 euros) et 220 CDI 170 ch (104 g, 40 100 euros), agrémentés de versions 7G-DCT, pour les deux premiers, et d’une finition Executive, valable pour tous.
Plus ancien et toujours chez Mercedes, le GLK met l’ensemble de sa gamme au service des entreprises dans une unique définition Business Executive. Cela va du 200 CDI de 143 ch (143 g, 45 150 euros) au 350 CDI 4Matic de 265 ch (179 g, 60 900 euros).
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