Panel : public et privé répondent à l’appel

Vous êtes un gestionnaire de parc mais aussi un responsable des achats, vous appartenez à une organisation de taille importante, privée ou publique, et vous gérez un grand parc, avec plusieurs centaines de véhicules. Et vous avez été 250 à répondre à l’édition 2012 de notre Baromètre Flottes vertes, un chiffre stable par rapport à 2010 et 2011.
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Les gestionnaires de parc constituent 44 % de notre panel, un chiffre quasiment inchangé par rapport aux 47 % de 2011, mais après 54 % en 2010. De leur côté, les responsables des achats renforcent leur présence, à 21 % contre 19 % en 2011 et 13 % en 2010. Viennent ensuite, à 11 %, les responsables des services généraux, très proches de la fonction achats, puis les dirigeants d’entreprise à 6 %. Un point à souligner également : les différences entre les réponses des gestionnaires de flotte et celles des responsables des achats ont tendance à s’effacer d’année en année, même si les premiers restent plus « techniciens » et les seconds plus « économes ».

Pas d’inflexion majeure non plus dans la répartition entre les secteurs privé et public, à 55 % et 45 %, des chiffres presque identiques à ceux des années précédentes. Sur le panel, les collectivités locales conservent cependant la tête avec 27 % des répondants, avant les divers secteurs de l’industrie (30 %).

Dans la continuité de nos précédentes études, les grandes structures prédominent : 49 % de nos répondants appartiennent ainsi à des organisations de plus de 1 000 personnes et 15 % à des organisations de 500 à 1 000 personnes. Au sens strict, c’est-à-dire avec un effectif de moins de 250 personnes, les PME pèsent environ 25 % de notre panel. Cette réalité se traduit également dans la taille des parcs : seules 17 % des flottes comprennent moins de 50 véhicules, 45 % rassemblant plus de 200 véhicules.

Enfin, la proportion des flottes qui bénéficient d’un bonus écologique poursuit une évolution entamée en 2011 : en moyenne, 21 % de nos répondants gèrent un parc automobile qui ne bénéficie pas du bonus écologique, contre 8 % en 2010 et 11 % en 2011. Un changement notamment dû aux contraintes toujours plus sévères pesant sur l’attribution des bonus depuis le début de l’année 2012.

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