Pascal Biar est le directeur administratif et financier du groupe ABF.
« Lorsque nous avons déployé notre première solution de télématique en 2011, nous voulions suivre l’activité des véhicules sur les chantiers. Nous cherchions notamment à obtenir les données des chronotachygraphes et les temps de travail. Auparavant, nous devions gérer de nombreux relevés sur papier ; désormais, nous nous en passons complètement et les temps de travail sont obtenus automatiquement une fois par semaine. Autre fonctionnalité : lorsqu’un chantier est annulé, nous pouvons contacter le conducteur via la télématique et le diriger vers un autre chantier.
Au départ,...
Pascal Biar est le directeur administratif et financier du groupe ABF.
« Lorsque nous avons déployé notre première solution de télématique en 2011, nous voulions suivre l’activité des véhicules sur les chantiers. Nous cherchions notamment à obtenir les données des chronotachygraphes et les temps de travail. Auparavant, nous devions gérer de nombreux relevés sur papier ; désormais, nous nous en passons complètement et les temps de travail sont obtenus automatiquement une fois par semaine. Autre fonctionnalité : lorsqu’un chantier est annulé, nous pouvons contacter le conducteur via la télématique et le diriger vers un autre chantier.
Au départ, nous avions choisi un prestataire local de Montauban (82). Depuis fin 2015, nous basculons la flotte sur la plate-forme d’Océan. Nous avons équipé 97 poids lourds et 40 véhicules de société 2 places. Aujourd’hui, avec Océan et notre prestataire informatique, nous cherchons à intégrer des données issues de la télématique à notre logiciel métier.
Grâce à ces technologies, nous améliorons la qualité de l’information. À titre d’exemple, les données collectées déclenchent automatiquement le calcul des primes sur les bulletins de salaire. Le travail administratif en est allégé. Autre bénéfice, la télématique permet d’optimiser les tournées et de traquer l’ennemi de tout gestionnaire de flotte : les kilomètres inutiles.
Plus globalement, ces technologies nous font économiser 4 à 8 % sur le budget global de la flotte. Le gain annuel atteint 150 à 180 000 euros pour un investissement de 15 euros par mois et par véhicule. Quand la flotte devient importante, une entreprise ne peut pas se passer d’un tel outil pour optimiser ses coûts et offrir davantage de confort et de flexibilité à ses collaborateurs. »