Las de voir les garagistes remplacer plutôt que réparer les pare-brise, le géant de l’agroalimentaire a décidé, il y a trois ans, de passer un appel d’offres. Avec un objectif : trouver un partenaire capable de réparer le vitrage automobile avec les compétences au préalable définies par le client. « Il nous fallait d’abord un partenaire avec un maillage important et visible, ce qui a d’emblée réduit le nombre de candidats potentiels au nombre de trois », se souvient Pascal Martin, risk manager de Nestlé France. Le critère discriminant le plus décisif a ensuite été le respect de l’environnement et le traitement écologique du verre. « Nous avons...
Las de voir les garagistes remplacer plutôt que réparer les pare-brise, le géant de l’agroalimentaire a décidé, il y a trois ans, de passer un appel d’offres. Avec un objectif : trouver un partenaire capable de réparer le vitrage automobile avec les compétences au préalable définies par le client. « Il nous fallait d’abord un partenaire avec un maillage important et visible, ce qui a d’emblée réduit le nombre de candidats potentiels au nombre de trois », se souvient Pascal Martin, risk manager de Nestlé France. Le critère discriminant le plus décisif a ensuite été le respect de l’environnement et le traitement écologique du verre. « Nous avons été très attentifs aux processus de recyclage des pare-brise et de leurs accessoires », souligne Pascal Martin. Le choix s’est porté sur Speedy Glass, émanation de Speedy Fleet, avec lequel « un vrai partenariat s’est instauré ».
Nestlé a défini des règles de traitement des impacts sur pare-brise et attend de Speedy Glass qu’elles soient respectées. Outre la qualité et la rapidité d’intervention, l’entreprise insiste sur la prévention et le diagnostic. Elle demande ainsi à son partenaire de se déplacer, notamment lors des grandes réunions commerciales, de façon à réaliser un audit et à réparer éventuellement sur place si besoin. « Cette capacité d’intervention est vraiment un plus, cela fait gagner beaucoup de temps », apprécie Pascal Martin. Après plus de deux ans de partenariat, le résultat se traduit par un budget entretien vitrage automobile en baisse « considérable », selon le risk manager.