Philippe Minvielle, GCC : « Parmi les testeurs du crédit mobilité, les deux tiers “accrochent“ »

Philippe Minvielle est directeur logistique chez GCC.

« Les conducteurs de nos voitures de fonction ont le choix entre : un véhicule électrique attitré et 60 jours de véhicule thermique par an ; un véhicule électrique attitré et un crédit mobilité ; l’abandon du véhicule de fonction en faveur d’un des véhicules électriques en autopartage (soit une dizaine de Zoé et de Nissan Leaf) et un crédit mobilité. Le montant du crédit mobilité est plus élevé pour le salarié qui choisit l’autopartage que pour celui qui garde un petit véhicule électrique attitré. Quant à ceux qui conservent la voiture de fonction thermique, la car policy comprend des modèles émettant moins de 117 g de CO₂, avec une moyenne à 100 g pour la flotte.

En quelques mois, une dizaine de cadres ont déjà opté pour le véhicule électrique et 60 jours de thermique par an. Une autre dizaine de salariés, un chiffre largement supérieur aux attentes, testent le crédit mobilité mis en place avec Renault Mobility et Ubeequo. Pour l’instant, nous essayons ces deux plates-formes qui proposent du crédit mobilité. Ensuite, nous en choisirons une, la plus simple d’utilisation, la plus novatrice et celle qui offre le plus de services.

Parmi les testeurs du crédit mobilité, on trouve des Parisiens et des Lyonnais. Et les deux tiers “accrochent“, comme l’une de mes collaboratrices d’origine lyonnaise. Elle a troqué son 3008 qui lui servait à faire quelques kilomètres par jour pour ses trajets domicile-travail et pour emmener les enfants à l’école, contre une Zoé. Et elle profite de son crédit mobilité pour partir à Lyon en train avec sa famille le week-end. Le crédit mobilité intègre d’autres options comme des billets d’avion, du taxi et même des courses en VTC chez Renault Mobility. »