
La fête est finie pour les pick-up. En tout cas pour les versions double cabine à 5 places qui pèsent 50 % des ventes. Après avoir profité du régime fiscal avantageux des utilitaires – donc exonérés de malus et de TVS –, ces modèles reviennent dans le rang des véhicules particuliers comme tous les autres 4×4 (à compter de juillet pour le malus). Seules les versions simple cabine (2 places) ou cabine approfondie avec strapontins à l’arrière resteront considérées comme des VU, avec les avantages fiscaux associés à ces véhicules dont la déductibilité de la TVA.
Ce changement de catégorie, voté par l’Assemblée nationale le 2 novembre 2018 et...
La fête est finie pour les pick-up. En tout cas pour les versions double cabine à 5 places qui pèsent 50 % des ventes. Après avoir profité du régime fiscal avantageux des utilitaires – donc exonérés de malus et de TVS –, ces modèles reviennent dans le rang des véhicules particuliers comme tous les autres 4×4 (à compter de juillet pour le malus). Seules les versions simple cabine (2 places) ou cabine approfondie avec strapontins à l’arrière resteront considérées comme des VU, avec les avantages fiscaux associés à ces véhicules dont la déductibilité de la TVA.
Ce changement de catégorie, voté par l’Assemblée nationale le 2 novembre 2018 et inscrit dans la loi de Finances 2019, a des conséquences notables pour le marché des pick-up double cabine. Très lourds et énergivores, ces derniers affichent le plus souvent plus de 200 g/km de CO2, ce qui leur vaut un malus de 10 500 euros. Et rien ne devrait s’arranger avec le protocole WLTP. En attendant, une dizaine de modèles restent en lice. Tous revendiquent une certaine rusticité technique (châssis séparé et transmission intégrale enclenchable) pour faire face aux plus lourdes tâches et offrir des capacités de chargement et de traction hors pair.
Fiat Fullback : un japonais à l’italienne
Alors que le Mitsubishi L200 bénéficie cette année d’un restylage, Fiat Professional n’a pas prévu d’en faire autant pour son Fullback qui dérive étroitement du modèle japonais. Entre ces deux jumeaux, seul le design diffère, la base technique reste identique. Lancé en 2016, le Fullback a permis au constructeur italien de se positionner sur le segment des pick-up avec un certain succès. Destiné aux professionnels comme aux amateurs de loisirs en extérieur, le Fullback se décline en trois versions : cabine approfondie, double cabine ou cabine approfondie sans plateau. Sous le capot, il conserve le diesel 2.4 de 150 ou 180 ch avec boîte de vitesses manuelle à 6 rapports ou automatique à 5 rapports.
Fiat Professional aligne cinq niveaux de finitions : Pack, Pack Professional, Pack Sport, Pack Unlimited et Pack Escalade. L’équipement de sécurité est complet dès l’entrée de gamme avec sept airbags, le correcteur électronique de trajectoire avec anti-patinage, le stabilisateur de remorquage, l’alerte de franchissement de ligne et l’aide au démarrage en côte.
Cross en haut de gamme
Depuis septembre 2017, une version haut de gamme baptisée Cross (à partir de 40 716 euros) complète la gamme avec un look plus affirmé. Elle se distingue par ses barres de toit aérodynamiques, ses marchepieds et sa finition en noir mat au niveau de la calandre, ses rétroviseurs, ses poignées de porte, ses passages de roue et ses jantes. Le Fullback Cross bénéficie aussi d’une climatisation automatique bizone, du régulateur de vitesse, d’un écran tactile de 7 pouces et de sièges avant chauffants en cuir (avec réglages électriques pour le conducteur).
Toutes les versions du Fullback affichent une capacité de chargement supérieure à 1 t et un poids de remorquage de 3 t. Elles possèdent aussi une transmission intégrale avec différentiel central Torsen offrant plusieurs modes de conduite : 2 roues motrices en propulsion ou 4 roues motrices avec blocage de différentiel et boîte de vitesses courte. Autre atout du Fiat Fullback, il est garanti 5 ans ou 150 000 km.
Ford Ranger : le roi de la catégorie
Leader des pick-up en France avec 30 % de parts de marché (80 % auprès des professionnels), le Ranger se décline en trois carrosseries : Simple Cabine, Super Cab et Double Cabine. Et il bénéficie cette année de nombreuses améliorations techniques. À commencer par une nouvelle boîte automatique à 10 rapports, plus légère, qui baisse la consommation de 9 %. Cette transmission est disponible sur les motorisations diesel EcoBlue 2.0 de 170 ch (8,3 l/100 km pour 216 g/km de CO2) et bi-turbo de 213 ch (9,2 l/100 km pour 228 g/km). La version d’entrée de gamme de 130 ch (8,0 l/100 km pour 209 g/km) existe uniquement en boîte manuelle.
Dans tous les cas, le Ranger peut tracter 3,5 t et transporter jusqu’à 1,2 t de charge utile. Grâce à sa garde au sol de 23 cm et à ses angles d’attaque (28 °) et de fuite (25 °), il offre également de belles qualités de franchissement. De quoi notamment traverser un gué de 80 cm d’eau.
Les ADAS au rendez-vous
Côté équipements, Ford propose en série sur son Ranger le système de prévention de collision avec freinage automatique d’urgence et détection des piétons, mais aussi le régulateur de vitesse et le limiteur de vitesse intelligent avec reconnaissance des panneaux de signalisation. À cela peuvent s’ajouter le système d’aide au maintien dans la voie, l’assistance au parking (Active Park Assist), le système d’ouverture et de démarrage sans clé (KeyFree) et l’outil de télématique FordPass Connect avec modem 4G embarqué.
À noter qu’une version extrême du Ranger, baptisée Raptor (à partir de 56 550 euros TTC), viendra compléter la gamme au second trimestre. Avec à la clé toute une panoplie pour renforcer son look et ses capacités 4×4 : ailes élargies, pneus spécifiques, amortisseurs à grand débattement et programme de gestion de la motricité (six modes de conduite).
Isuzu D-Max : l’atout prix
Lancé en 2012, le D-Max de cinquième génération – il est né en 1963 – se distingue de ses concurrents par son positionnement prix presque « low cost ». Depuis son restylage de 2017, ce D-Max bénéficie de nouveaux projecteurs antibrouillard, de feux de jour à Led et d’une calandre légèrement modifiée. Tandis que la garantie constructeur est passée à 5 ans. Mais le D-Max a surtout adopté un diesel 1.9 de 164 ch plus moderne (Euro 6), associé à une nouvelle boîte manuelle à 6 rapports ou automatique à 6 rapports en option (1 400 euros).
En 4×2 ou 4×4, le D-Max est commercialisé en simple cabine, double cabine ou cabine approfondie avec strapontins et portes arrière à ouverture inversée. Selon les versions, la longueur de benne varie entre 1,50 et 2,31 m. Sa charge utile dépasse 1 t (1 010 kg) et ce pick-up peut tracter jusqu’à 3,5 t. Malgré sa garde au sol réduite de 23 cm, le D-Max peut compter sur une transmission intégrale enclenchable et un réducteur de boîte pour s’aventurer en tout-terrain.
Pas moins de six finitions composent la gamme du D-Max : Satellite, Planet, Solar, Solar Plus, Supernova et Quasar. L’entrée de gamme comprend entre autres la climatisation, l’aide au démarrage en côte et le régulateur de vitesse en descente. Tandis que le haut de gamme Quasar bénéficie d’un système de navigation, d’une sellerie cuir et d’un siège conducteur avec réglages électriques.
Mercedes Classe X : le pick-up de luxe
Pour concocter son premier pick-up de grande série, Mercedes n’est pas parti d’une feuille blanche. Le Classe X reprend en effet la base technique du Nissan Navara et du Renault Alaskan (voir ci-après). Mais pour s’en différencier et justifier ses tarifs premium, la marque à l’étoile « a mis le paquet » sur le développement de ce pick-up en déboursant 900 millions d’euros. Résultat, le Classe X profite d’un design 100 % maison, à l’extérieur mais aussi à l’intérieur où les références au Nissan Navara se font quasi invisibles.
Proposé uniquement en double cabine (5 places), avec hardtop en option, le Classe X existe en 4×2 ou en 4×4 avec réducteur de couple et blocage de différentiel arrière.
Le choix des moteurs
Sous le capot, on retrouve deux motorisations 4-cylindres d’origine Nissan de 163 ch (X220d) ou 190 ch (X250d) en boîte manuelle ou automatique à 7 rapports. Mais aussi une version Mercedes plus performante 350d équipée d’un V6 de 258 ch et 550 Nm de couple (237 g/km de CO2). Mercedes a aussi revu à la hausse les capacités du Classe X qui peut tracter jusqu’à 3,5 t et transporter plus de 1 t de charge utile dans sa benne. Grâce à sa largeur de benne accrue de 27 mm (à 1 587 mm) par rapport à ses cousins Navara et Alaskan, le Classe X peut contenir une euro-palette. Il bénéficie également d’un système d’arrimage intelligent, d’un éclairage commandé et d’une prise de 12 V bien pratique pour brancher de l’outillage. Mais aussi de nombreux accessoires tels que des barres chromées, un couvre-benne ou encore un hardtop. La gamme s’articule autour de deux niveaux de finition, Pure et Progressive (voir aussi l’essai flash).
Mitsubishi L200 : l’autre référence
Acteur historique du monde des pick-up depuis quarante ans, Mitsubishi a dévoilé la récente évolution de son L200 au salon de Genève en mars. En l’occurrence, il ne s’agit pas d’une énième génération mais d’un restylage profond qui permet au L200 d’adopter les derniers codes stylistiques de la marque.
Techniquement, ce pick-up reçoit un nouveau moteur diesel 2.2 (Euro 6d-Temp) pourvu d’un système SCR de post traitement des NOx et associé à une boîte automatique ou manuelle à 6 rapports. La transmission intégrale a aussi été améliorée, de même que le freinage grâce à des étriers renforcés. Mais aussi le confort avec des amortisseurs arrière agrandis. Et des aides à la conduite font leur apparition, comme le freinage d’urgence automatique avec détection des piétons, le détecteur d’angle mort, une caméra de recul à 360 ° et un détecteur d’accélération involontaire.
Des aides à la conduite tout-terrain
En matière de tout-terrain, le L200 pourra aussi compter sur un régulateur de descente électronique et plusieurs modes de conduite off-road avec des réglages spécifiques selon les revêtements (terre, boue/neige, sable, etc.).
Produit en Thaïlande, ce modèle à vocation mondiale est vendu dans 150 pays sur tous les continents. Il représente actuellement un volume de 180 000 unités par an. En France, le L200 restylé sera commercialisé dès cet été en simple cabine (Club Cab) et double cabine (Double Cab). Avec à la clé quatre niveaux de finition : Invite, Intense, Black Collection et Black Collection +.
Nissan Navara : source d’inspiration
Le Navara s’appuie sur le savoir-faire historique de la marque dans les véhicules à benne. Nissan affirme avoir vendu 14 millions de pick-up dans le monde. Pas étonnant que ce Navara ait servi de base aux Renault Alaskan et Mercedes Classe X.
En plus de ses quatre finitions au catalogue (Visia, Acenta, N-Connecta et Tekna+) et autres séries spéciales X-Pedition et N-Guard (épuisées), le Navara s’adresse notamment aux professionnels avec sa version Pack Pro disponible en carrosseries King-Cab et Double-Cab. Celle-ci se dote d’équipements et d’accessoires spécifiques : un organiseur et un frein d’ouverture de benne, une fermeture centralisée, un bac et des tapis de sol en caoutchouc. Selon Nissan, cette version Pack Pro offre un avantage client de plus de 6 000 euros HT. Et une garantie de 5 ans ou 160 000 km.
Un large choix de finitions
Pour soigner le confort de roulage et l’agilité sur route, le constructeur a doté le Navara Double-Cab d’une suspension arrière à cinq bras, les autres conservant des ressorts à lames. Sous le capot, le diesel 2.3 dCi se décline en deux puissances, 160 ou 190 ch, et peut s’associer à une boîte automatique à 7 rapports en option. Le Navara peut supporter 1 t de charge utile et tracter 3,5 t.
Les versions 4 roues motrices possèdent un blocage de différentiel arrière et un réducteur de boîte. Mais aussi des assistances à la conduite « off-road » comme le limiteur de vitesse à la descente en série ou l’aide au démarrage en côte. Les versions haut de gamme N-Connecta et Tekna + bénéficient en outre du système de vision à 360 ° avec quatre caméras, du freinage d’urgence automatique et du système d’ouverture et de démarrage sans clef. Quant à la finition Tekna+, elle a droit à des sièges en cuir avec réglages électriques, mais aussi à un pack optionnel regroupant hardtop, bac de benne composite et toit ouvrant électrique en verre.
Renault Alaskan : le premier pick-up français
Dérivé du Nissan Navara, le Renault Alaskan est fabriqué dans l’usine Nissan de Barcelone et commercialisé en France depuis fin 2017. Avec ses 5,40 m (dont 1,58 m de longueur de benne), c’est le plus imposant de tous les pick-up du marché. Avec à la clé une belle capacité d’emport : il peut supporter 1 t de charge utile et tracter jusqu’à 3,5 t.
Uniquement proposé en double cabine, il se décline en trois finitions (Life, Zen et Intens). Mais une série spéciale Ice Edition, inspirée du concept éponyme présenté à Genève, devrait s’inviter au catalogue en septembre prochain. En plus de sa teinte blanc glacier et de ses strippings noirs et rouges de carrosserie, l’Alaskan devrait adopter des élargisseurs d’aile, des jantes noires de 18 pouces et des pneus tout-terrain pour renforcer ses capacités de franchissement. Il pourrait également se munir d’un hardtop pour accroître son volume de chargement et protéger sa cargaison. Dans tous les cas, l’Alaskan embarque un moteur diesel 2.3 dCi en 160 ou 190 ch. Une boîte automatique à 7 rapports est en option sur la version la plus puissante.
Du confort en tout-terrain
Grâce à sa suspension arrière multibras à ressorts, l’Alaskan soigne son confort, sans renoncer à ses capacités tout-terrain grâce à sa transmission intégrale enclenchable, sa garde au sol de 22 cm, son blocage de différentiel arrière en option (800 euros), son réducteur de boîte et son contrôle de vitesse en descente.
Côté équipements, la finition intermédiaire Zen intègre le GPS, la caméra de recul, le volant cuir, un sabot frontal, des marchepieds et des jantes de 18 pouces. Quant à la version Intens, elle a droit à une sellerie cuir, un siège conducteur avec réglages électriques, une caméra à 360 ° et des phares à Led.
SsangYong Musso : l’outsider
Dévoilé au salon de Genève en 2018, le Musso de SsangYong est venu élargir les rangs des pick-up en France où il est commercialisé depuis l’été dernier en double cabine uniquement. Le constructeur sud-coréen n’offre qu’un seul choix de moteur : un 4-cylindres diesel 2.2 e-XDi de 181 ch (400 Nm de couple), associé à une boîte manuelle ou automatique à 6 rapports. À noter qu’une version essence 2.0 Turbo GDi de 225 ch pourrait venir compléter la gamme. En 2 ou 4 motrices avec gamme courte et blocage de différentiel, le Musso revendique une capacité de remorquage de 3 t et une charge utile de 775 kg, inférieure à la concurrence.
La gamme se compose de trois finitions Sport, Tech et Luxe. La première dispose de jantes alliage de 17 pouces, de l’allumage automatique des feux et des essuie-glaces, de la climatisation automatique bizone, d’un combiné d’instrumentation LCD de 3,5 pouces et d’un régulateur de vitesse. Le niveau Tech ajoute des jantes alliage de 18 pouces, des barres de toit, des feux Led, l’ouverture et le démarrage sans clé, des radars de stationnement avant et arrière, une caméra de recul ou encore la navigation GPS. Enfin, le haut de gamme Luxe profite en plus de jantes alliage de 20 pouces, de sièges avant chauffants et ventilés, d’une sellerie cuir et d’un combiné d’instruments TFT couleur de 7 pouces.
Toyota Hilux : le plus illustre
L’actuelle génération du Toyota Hilux, la huitième, a été présentée il y a trois ans au salon de Genève en 2016. Ce modèle, qui a fêté ses cinquante ans l’an dernier, reste un best-seller pour Toyota dans le monde avec 18 millions d’unités vendues depuis 1968. Numéro 2 sur le marché français derrière le Ford Ranger, ce Hilux se décline en trois carrosseries : simple cabine (2 places), double cabine (5 places) ou Xtra cabine avec deux strapontins à l’arrière et des portes arrière à ouverture antagoniste. Selon les versions, le Hilux peut tracter jusqu’à 3,5 t pour une charge utile de 1 100 kg. Pour cela, il peut compter sur un diesel 2.4 de 150 ch associé à une boîte automatique (en option).
Un Hilux Invincible
Depuis novembre 2018, une série spéciale Invincible (à partir de 43 700 euros) vient chapeauter la gamme du Hilux. Basée sur le niveau Lounge, elle soigne son look à travers sa teinte Orange Colorado, ses élargisseurs d’aile, ses protections de porte et ses marchepieds noir mat. En deux roues motrices (propulsion) ou en 4×4 enclenchable avec réducteur de boîte et blocage de différentiel arrière à glissement limité, le Hilux reste un vrai baroudeur. Doté d’un essieu arrière rigide à lames et d’une garde au sol de 30 cm, il ne se prive pas de quelques raffinements selon les versions, avec par exemple le système de clé mains libres, la navigation GPS avec écran tactile de 7 pouces ou encore les sièges avant électriques et chauffants. Et pour renforcer la sécurité, il peut s’enrichir du pack Toyota Safety Sense qui comprend plusieurs aides à la conduite (alerte de franchissement de ligne, freinage d’urgence automatique, lecture des panneaux).
Volkswagen Amarok : en mode premium
Lancé en 2009 et profondément redessiné en 2016, le Volkswagen Amarok est commercialisé uniquement en double cabine. Positionné haut de gamme et loisirs dans ses finitions Confortline, Carat et Aventura, cet Amarok dispose aussi de versions utilitaires (Trendline et Confortline) pour les entreprises, avec jantes en acier, pare-chocs noirs et sellerie spécifique. De quoi se prêter à un usage professionnel intense, sans pour autant se priver de confort.
Dès le niveau Trendline, l’Amarok bénéficie de la climatisation, d’un volant cuir multifonctions et d’un système de freinage automatique d’urgence. Ces versions utilitaires de l’Amarok s’équipent d’un V6 TDI de 163 ch associé à une boîte manuelle à 6 rapports. Elles bénéficient en outre de la transmission 4Motion couplée à une gamme de vitesses courtes.
Pour les professionnels, Volkswagen Véhicules Utilitaires commercialise également la version Canyon de l’Amarok, plus typée loisirs, avec sa couleur spécifique Orange Miel, sa Sportsbar noire, ses élargisseurs d’aile noirs et ses nouvelles jantes Aragua de 17 pouces. Cette version baroudeuse embarque un V6 TDI de 204 ch avec une boîte de vitesses automatique à 8 rapports ou mécanique à 6 rapports. À noter qu’une version de 258 ch du TDI existe aussi dans la gamme VP.