Benoît Dabin, Boiron : « Une externalisation des pneus pour davantage de confort »
Benoît Dabin, Boiron : « Une externalisation des pneus pour davantage de confort »
À la tête de 265 véhicules, le laboratoire pharmaceutique Boiron a décidé de conserver la gestion des pneus auprès de ses loueurs afin de ne pas surcharger ses propres équipes.
Benoît Dabin est acheteur parc automobile chez Boiron.
« En 2014, nous avons décidé d’abandonner le diesel pour concentrer nos achats sur les hybrides essence. L’intégralité de la flotte aura basculé à l’été 2018. Notre car policy se constitue de quatre niveaux au sein desquels les conducteurs ont le choix entre plusieurs modèles des gammes Toyota et Lexus. Notre flotte est financée auprès d’ALD Automotive et Arval.
Implanté dans 50 à 60 pays à travers le monde, Boiron dirige 18 filiales. Le laboratoire a lancé un appel d’offres international en 2016 et en a profité pour généraliser l’hybride essence à l’ensemble des pays où il est présent...
Benoît Dabin est acheteur parc automobile chez Boiron.
« En 2014, nous avons décidé d’abandonner le diesel pour concentrer nos achats sur les hybrides essence. L’intégralité de la flotte aura basculé à l’été 2018. Notre car policy se constitue de quatre niveaux au sein desquels les conducteurs ont le choix entre plusieurs modèles des gammes Toyota et Lexus. Notre flotte est financée auprès d’ALD Automotive et Arval.
Implanté dans 50 à 60 pays à travers le monde, Boiron dirige 18 filiales. Le laboratoire a lancé un appel d’offres international en 2016 et en a profité pour généraliser l’hybride essence à l’ensemble des pays où il est présent. En 2017, Boiron n’a pas mis un seul diesel à la route.
Aujourd’hui et comme par le passé, Boiron finance sa flotte en location longue durée “full services“. ALD et Arval gèrent donc nos pneus. Un choix guidé par la charge de travail de nos gestionnaires de flotte qui ont d’autres responsabilités et ne disposent pas de suffisamment de temps pour piloter un poste supplémentaire.
Cela étant, nous avons mené plusieurs études pour évaluer l’économie potentielle que nous aurions pu réaliser en sortant cette prestation des contrats signés avec les loueurs. Le gain atteignait 5 à 7 % du budget mobilisé par les pneus, qui pèse entre 7 et 10 % de notre TCO. L’écart était limité et cette solution allait à l’encontre de notre volonté de simplifier la tâche des collaborateurs. C’est pourquoi nous y avons renoncé. Notre décision a été confortée par la concentration de la gestion de la flotte sur un constructeur et deux loueurs. Alors que nous avons augmenté le nombre de pneus autorisés par véhicule, la massification des volumes nous a conduits à obtenir de meilleures conditions commerciales et à réaliser des économies. »
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