Les réglementations européennes et nationales imposent aux constructeurs de trouver des solutions pour réduire toujours plus les émissions de leurs véhicules.
La tendance va d’une part à la diminution des gaz à effet de serre et donc du CO2 face au dérèglement climatique, et d’autre part à la baisse des polluants locaux tels les oxydes d’azote (NOx) et les particules, dans un contexte d’urbanisation en forte augmentation. « Ce n’est pas uniquement la technologie qui tire les évolutions des motorisations mais aussi un besoin sociétal ou une demande du marché qui peuvent être poussés par des incitations gouvernementales », rappelle Gaëtan Monnier pour l’Ifpen.
« Le principal moteur d’évolution des chaînes de traction reste les normes d’émissions européennes, avec trois étapes à venir en 2020, 2025 et...
La tendance va d’une part à la diminution des gaz à effet de serre et donc du CO2 face au dérèglement climatique, et d’autre part à la baisse des polluants locaux tels les oxydes d’azote (NOx) et les particules, dans un contexte d’urbanisation en forte augmentation. « Ce n’est pas uniquement la technologie qui tire les évolutions des motorisations mais aussi un besoin sociétal ou une demande du marché qui peuvent être poussés par des incitations gouvernementales », rappelle Gaëtan Monnier pour l’Ifpen.
« Le principal moteur d’évolution des chaînes de traction reste les normes d’émissions européennes, avec trois étapes à venir en 2020, 2025 et 2030, confirme Alain Raposo, directeur des chaînes de traction et châssis du Groupe PSA. Après le passage au NEDC puis au WLTP en 2020, les émissions des VP devront être diminuées de 15 % en 2025 et de 37,5 % en 2030 par rapport à 2021 et selon le WLTP ; et les véhicules électrifiés devront représenter 15 % des ventes en 2025 et 35 % en 2030, avec des conditions à confirmer. »
« En parallèle, les motorisations essence vont continuer à évoluer avec une première étape : le passage à la norme Euro 7 pour tous les nouveaux modèles en 2024 et tous les modèles existants en 2025, ajoute Alain Raposo. Il faudra globalement diviser par deux les émissions de tous les polluants de manière à ce que les moteurs essence et diesel soient au même niveau. »
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