
Le Renault Scénic, parangon et inventeur du monospace compact, n’a pas dit son dernier mot face aux SUV qui lui ont coupé l’herbe sous le pied. À commencer par une habitabilité et une modularité inégalées qui séduisent toujours une clientèle plutôt familiale. Un constat d’autant plus vrai dans sa version longue dite Grand Scénic.
Restait donc à Renault à renouveler principalement les motorisations. Objectif : que ce Scénic et Grand Scénic se conforment à la norme Euro 6d Full. L’occasion aussi de lui refaire une petite beauté, légère mais différenciante. Ce qui passe par une nouvelle calandre, des phares à LED et l’ajout de chrome sur le hayon arrière.
Renault Scénic : des motorisations mieux dépolluées
Passons sous le capot avant de ce Renault Scénic. La palette se compose dorénavant du 1.7 Blue dCi turbo-diesel en 120 ch/142 g et 150 ch/141 g. En boîte double embrayage EDC (+ 2 000 euros), le CO2 bondit respectivement à 154 g et 153 g. En essence, on retrouve le vaillant 4-cylindres 1.3 TCe en 115 ch/143 g (boîte manuelle uniquement), en 140 ch (143 g en boîte manuelle ou 147 g en EDC) et 160 ch, uniquement en EDC à 148 g. En Business, la gamme débute à 32 300 euros TTC en 120 ch diesel et à 29 600 euros TTC pour le 115 ch essence. Toujours en Busines et en diesels, comptez 34 300 euros TTC pour le Blue dCi 120 ch EDC et 33 300 euros pour le Blue dCi de 150 ch (35 300 euros en EDC). Le Grand Scénic nécessite 1 500 euros supplémentaires.
Notre essai du précédent Renault Scénic
