Pour ce spécialiste du recyclage à la tête d’un parc de 1 800 véhicules, la principale préoccupation reste, dans le domaine du pare-brise, la réactivité du partenaire.
« Nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir plus de 24 ou 48 heures de prise en charge, et en cas de brisure, il faut pouvoir intervenir dans la journée », note d’emblée Marc Rayer. C’est l’une des raisons pour lesquelles Paprec a renouvelé son accord de partenariat avec France Pare-Brise ; les autres arguments en faveur de ce renouvellement sont liés à la qualité du travail observée par Marc Rayer.
Un autre argument de poids motive le responsable : la capacité de réparer...
Pour ce spécialiste du recyclage à la tête d’un parc de 1 800 véhicules, la principale préoccupation reste, dans le domaine du pare-brise, la réactivité du partenaire.
« Nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir plus de 24 ou 48 heures de prise en charge, et en cas de brisure, il faut pouvoir intervenir dans la journée », note d’emblée Marc Rayer. C’est l’une des raisons pour lesquelles Paprec a renouvelé son accord de partenariat avec France Pare-Brise ; les autres arguments en faveur de ce renouvellement sont liés à la qualité du travail observée par Marc Rayer.
Un autre argument de poids motive le responsable : la capacité de réparer plutôt que remplacer. « Une fois ou deux par an, il est utile de connaître le taux de réparation, il s’agit d’un indicateur intéressant qu’il ne faut cependant pas prendre au pied de la lettre. » De fait, de nombreux paramètres le font évoluer, d’où la nécessité de le relativiser tout en ne le négligeant pas.
Enfin, la communication reste le mot d’ordre pour sensibiliser les collaborateurs de l’entreprise, une communication que Marc Rayer entend maîtriser de bout en bout, tout en écoutant les propositions de France Pare-Brise à ce sujet.
La flotte de Paprec en chiffres
• 600 VL, 1 200 PL