« Aujourd’hui, nous sommes dans l’expectative car chacun emploie la voiture sans contraintes. Nous sommes dans la situation de l’habitant gaspillant l’eau car il en dispose en ouvrant le robinet… Dans quinze ans, la situation sera plus compliquée et nous devrons collectivement développer l’écologie, la responsabilité environnementale et, pourquoi pas, prévoir un vélo plutôt qu’un véhicule de fonction », souligne Thomas Jeanselme, consultant en recrutement pour le cabinet Fed Office (voir aussi l’article).
Qui poursuit sur ce sujet : « En 2035, il y a de fortes chances que l’on continue à faire appel à des véhicules pour se déplacer...
« Aujourd’hui, nous sommes dans l’expectative car chacun emploie la voiture sans contraintes. Nous sommes dans la situation de l’habitant gaspillant l’eau car il en dispose en ouvrant le robinet… Dans quinze ans, la situation sera plus compliquée et nous devrons collectivement développer l’écologie, la responsabilité environnementale et, pourquoi pas, prévoir un vélo plutôt qu’un véhicule de fonction », souligne Thomas Jeanselme, consultant en recrutement pour le cabinet Fed Office (voir aussi l’article).
Qui poursuit sur ce sujet : « En 2035, il y a de fortes chances que l’on continue à faire appel à des véhicules pour se déplacer professionnellement. Mais il faudra répondre aux contraintes imposées pour limiter les trajets : quotas, règles de circulation, interdictions d’entrer dans les villes. » De fait, les centres urbains commencent déjà se fermer aux véhicules les plus polluants, en attendant à terme d’exclure complètement les véhicules thermiques au profit de modèles dits verts. Pour mémoire, quinze villes et métropoles françaises se sont engagées l’an passé à déployer de premières zones à faibles émissions (ZFE) sur leur territoire d’ici fin 2020, avec Paris et l’Île-de-France en tête. Un enjeu majeur à prendre en compte (voir aussi l’article).