
Dominique Cosnefroy est directeur des achats chez Britvic France.
« La restitution, c’est un peu un chèque en blanc fait au loueur, d’autant qu’il est très difficile de contester ensuite le montant des frais. Une solution consiste à négocier au départ avec les loueurs et à cartographier l’ensemble des dégâts potentiels et les frais. Avoir une grille de vétusté claire et négociée à l’avance évite les grosses dérives. Mais c’est souvent une usine à gaz.
Autre solution : réparer avant de rendre le véhicule. Nous avions trop de débats avec les loueurs sur les questions de restitution et aussi l’impression de ne pas avoir la main sur ce dossier...
Dossier - Restitution : les bonnes recettes
- Restitution : les bonnes recettes
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- Pré-expertise et réparations : des solutions