Pour le premier objectif, Jean-Luc Celotto, responsable du département gestion des véhicules de Dalkia, travaille à mettre en place une procédure pour réduire les délais et le coût, via le service iRestitution de GE Capital. « Nous sommes en train de le déployer dans nos cinq régions qui possèdent des gestionnaires de parc », explique-t-il. Actuellement, le montant moyen des factures liées à la remise en état lors des restitutions tourne autour de 950 à 1 000 euros par véhicule. « Nous voudrions le réduire de 20 % », poursuit le responsable. Sachant que le groupe restitue en moyenne un millier de véhicules chaque année dont 800 VU, l’addition...
Pour le premier objectif, Jean-Luc Celotto, responsable du département gestion des véhicules de Dalkia, travaille à mettre en place une procédure pour réduire les délais et le coût, via le service iRestitution de GE Capital. « Nous sommes en train de le déployer dans nos cinq régions qui possèdent des gestionnaires de parc », explique-t-il. Actuellement, le montant moyen des factures liées à la remise en état lors des restitutions tourne autour de 950 à 1 000 euros par véhicule. « Nous voudrions le réduire de 20 % », poursuit le responsable. Sachant que le groupe restitue en moyenne un millier de véhicules chaque année dont 800 VU, l’addition pourrait donc être singulièrement allégée.
Au-delà de la facture finale du poste restitutions, la division énergie de Veolia cherche aussi à mieux en connaître la décomposition : « Nous voulons rapprocher le coût de la restitution des éventuels sinistres qui ont eu lieu pendant la durée du contrat. Nous appréhenderons mieux ce qui relève de la pure remise en état en fin de contrat et ce qui est lié à des sinistres antérieurs n’ayant pas fait l’objet de réparations. » Avec ce type d’informations, Dalkia sera alors plus à même d’édicter des règles de réparation des sinistres à destination des gestionnaires en régions. « Nous ne cherchons pas de solutions pour ne pas payer les restitutions mais bien à les optimiser », affirme Jean-Luc Celotto.
L’autre chantier majeur porte sur les véhicules propres. La pression est forte pour les équipes dans la mesure où Veolia est engagé dans le projet d’achat groupé de véhicules électriques mené par l’Ugap pour l’État et plusieurs grandes structures publiques et privées. « Dans les entreprises, l’électrique est le sujet qui monte ; un peu moins pour les loueurs qui n’ont pas encore le recul suffisant pour répondre à toutes les questions », admet Jean-Luc Celotto. Dalkia travaille d’ores et déjà avec dix véhicules Goupil et entend passer à une seconde phase plus active.
Quel jugement porte l’entreprise sur les services proposés par les loueurs ? D’une manière générale, elle attend plus de remontées d’informations sur les lois de roulage du parc, et ceci par utilisateur. « Nous allons les solliciter davantage sur le reporting », souligne le responsable. À cet égard, la nouvelle prestation Clear Drive de GE pourrait constituer un bon outil dans la mesure où il prend en compte les habitudes de conduite. Avec l’éco-conduite, là encore, Jean-Luc Celotto s’inscrit dans une exigence de continuité. « Nous ne souhaitons pas faire une formation pour nos collaborateurs et puis plus rien. Nous voulons qu’un suivi soit assuré. »
