Avec une évaluation désormais plus fine des VR, internet a considérablement modifié les façons d’optimiser les canaux de revente. Loin des transactions de gré à gré qui pouvaient être biaisées par l’action de quelques grands intermédiaires, le marché se veut maintenant transparent et immédiat, et donc très compétitif. Il s’agit d’apporter le bon produit, au bon moment et au juste prix, le jour J à tous les acteurs potentiels, grands ou petits.
Certains loueurs travaillent beaucoup avec l’export, comme Arval qui s’appuie sur Motortrade, une plate-forme de ventes électroniques partagée par toutes les filiales du groupe. Un moyen de «...
Avec une évaluation désormais plus fine des VR, internet a considérablement modifié les façons d’optimiser les canaux de revente. Loin des transactions de gré à gré qui pouvaient être biaisées par l’action de quelques grands intermédiaires, le marché se veut maintenant transparent et immédiat, et donc très compétitif. Il s’agit d’apporter le bon produit, au bon moment et au juste prix, le jour J à tous les acteurs potentiels, grands ou petits.
Certains loueurs travaillent beaucoup avec l’export, comme Arval qui s’appuie sur Motortrade, une plate-forme de ventes électroniques partagée par toutes les filiales du groupe. Un moyen de « mitiger » le risque, comme l’illustrent les aléas internationaux actuels : « La crise ukrainienne au début de l’année et la chute du rouble ont impacté les marchés de l’Europe de l’Est, très demandeurs par exemple de Scénic fortement kilométrés, rappelle Agnès van de Walle, pour Arval France. Notre dispositif Remarketing, notamment à travers notre filiale export Arval Trading, nous permet de chercher et de trouver rapidement des débouchés si un marché bat de l’aile. Nous exportons aujourd’hui un VO sur trois dans plus de trente pays. » Néanmoins, les loueurs gardent la tête froide et savent qu’en dépit de leurs efforts, ils ne sont pas à l’abri d’un coup dur.