VP diesel et essence jusqu’à 130 g de CO2 – Segment D – Routières (berlines, breaks et SUV) : la clé de l’hybridation
Pas facile de parvenir dans ce segment des routières à se maintenir sous les 130 g et les constructeurs ne peuvent y revendiquer que des carrosseries de berlines ou de breaks.
Les tarifs s’entendent TTC et « à partir de », hors aides éventuelles.
À une exception près qui prouvent la justesse de l’hybridation full hybrid HEV défendue depuis toujours par Toyota pour son RAV4 (4,60 m de long, 1,6 t à vide, 218 ch en deux roues motrices). Cette cinquième génération pointe à seulement 127 g en Dynamic Business ! Son prix est à 40 330 euros. Le plus étonnant : il émet seulement 128 g en version 4×4 avec un moteur électrique supplémentaire sur le train arrière en 122 ch. Son prix passe à 42 380 euros, toujours, stage Hybrid Academy compris.
Toyota garde la tête
Toyota fait aussi valoir sur ce segment sa Camry (4,89 m de...
Les tarifs s’entendent TTC et « à partir de », hors aides éventuelles.
À une exception près qui prouvent la justesse de l’hybridation full hybrid HEV défendue depuis toujours par Toyota pour son RAV4 (4,60 m de long, 1,6 t à vide, 218 ch en deux roues motrices). Cette cinquième génération pointe à seulement 127 g en Dynamic Business ! Son prix est à 40 330 euros. Le plus étonnant : il émet seulement 128 g en version 4×4 avec un moteur électrique supplémentaire sur le train arrière en 122 ch. Son prix passe à 42 380 euros, toujours, stage Hybrid Academy compris.
Toyota garde la tête
Toyota fait aussi valoir sur ce segment sa Camry (4,89 m de long) qui reprend la plate-forme et la motorisation de 218 ch en deux roues motrices et qui, logiquement, redescend à 120 g tout juste – un beau record pour ce segment. Son prix : 40 980 euros en Dynamic Business, stage compris.
Cette hybridation classique HEV est aussi l’apanage de Ford sur sa Mondeo (4,87 m de long). Qui a inauguré il y a quelques années le full hybrid de 187 ch au total (2.0 essence de 140 ch + 118 ch électriques) à 127 g pour 39 300 euros en Titanium Business. Attention, la berline est une quatre portes avec malle arrière ; la cinq portes n’étant pas proposée, ce sera donc le break SW qui conviendra le mieux aux professionnels, sans différence de prix entre les carrosseries. Avec le 2.0 turbo-diesel EcoBlue de 150 ch et boîte manuelle, le CO2 est à tout juste 130 g pour un prix revenu à 35 600 euros, toujours en Titanium Business et cette fois-ci disponible en cinq portes à hayon.
Peugeot ne peut pas compter sur une motorisation hybride simple HEV ou une hybridation légère MHEV. Mais sa 508 (4,75 m de long) parvient sous les 130 g, emmenée par le 1.5 BlueHDi de 130 ch et boîte auto EAT8 obligatoire, à 120-122 g pour 38 300 euros en Active Business. Le break s’en équipe aussi à 125 g pour 39 600 euros, toujours en Active Business.
La Peugeot 508 (4,75 m de long) parvient sous les 130 g, emmenée par le 1.5 BlueHDi de 130 ch et boîte auto EAT8 obligatoire à 120-122 g pour 38 300 euros en Active Business. Le break s’en équipe aussi à 125 g pour 39 600 euros, toujours en Active Business.
Skoda fait encore mieux avec sa récente Octavia à la longueur portée à 4,69 m en berline et break (+ 1 100 euros). En Business, elle débute avec le 3-cyl. 1.0 TSI de 110 ch à 115-127 g pour 26 330 euros ! Légère avec ses 1,3 t, elle sera malgré tout un peu sous-motorisée pour les longs parcours autoroutiers en charge.
Une Octavia très sobre
Les professionnels auront intérêt à se tourner vers sa version e-TEC à hybridation légère mHEV de 48 V à partir de 114 g. Son prix passe alors à 28 740 euros. Toujours surprenante, cette Octavia est aussi sobre avec le 4-cyl. 1.5 TSI essence de 150 ch qui débute à 126 g pour 28 430 euros. Enfin, les grands rouleurs pourront se reposer, toujours en Business, sur le turbo-diesel 2.0 TDI en 116 ch et boîte manuelle à 111-126 g (29 280 euros) ou, plus adéquat, en 150 ch et boîte DSG7 à 118-129 g (32 480 euros). Et ce n’est pas tout : en 200 ch, ce 2.0 TDI n’est qu’à 129 g ! Comptez tout de même 39 050 euros pour cette version RS.
On retrouve bien entendu les constructeurs du premium dans ce segment avec Audi et sa récente A4 en carrosserie cinq portes de 4,74 m de long, le break Avant passant bien au-delà des 130 g. Une seule version éligible à notre classement : le 2.0 TDI de 136 ch à tout juste 130 g de la 30 TDI à 42 920 euros en Business Line.
Jaguar ne fait pas mieux avec sa XE (4,67 m de long). Avec la version MHEV de 48 V pour son 2.0 turbo-diesel de 180 ch qui passe pour l’occasion à 204 ch, elle affiche un CO2 à la baisse à 130 g contre 146 g précédemment. Cette D200 MHEV n’y parvient qu’en propulsion, la version à transmission intégrale augmentant de plusieurs grammes le CO2. Son prix est de 45 810 euros.
Avec la version MHEV de 48 V pour son 2.0 turbo-diesel de 204 ch, la Jaguar XE affiche un CO2 à 130 g (45 810 euros). Cette D200 MHEV n’y parvient qu’en propulsion, la version à transmission intégrale augmentant les émissions de plusieurs grammes.
La Série 3 en turbo-diesel
BMW est un peu plus diversifié avec la Série 3 (4,71 m de long) emmenée par le 2.0 turbo-diesel en 122 ch à 115-130 g (116d à 43 200 euros en Business Design), en 150 ch à 117-132 g (318d à 45 350 euros en Business Design) et en 320d de 190 ch à 121-133 g seulement (320d à 49 200 euros). Encore plus étonnant, la transmission intégrale 320d xDrive parvient à tout juste 129 g avec ces 190 ch (51 700 euros en Business Design). Le break Touring reprend cette gamme moyennant 2 000 euros supplémentaires : 116d à 126 g, 118d à 126 g, 320d à 128 g. Attention, la xDrive reste au-dessus des 130 g.
Mercedes fait valoir son excellente Classe C (4,69 m de long). Avec, en Business Line, des motorisations sobres en 2.0 turbo-diesel à 122 ch et 128 g en boîte manuelle, ou 127 g en boîte auto 9G-Tronic, toutes deux à 39 300 euros en berline quatre portes C 180 d. Le 2.0 turbo-diesel de la C 200 d passe à 160 ch et 127 g, obligatoirement en boîte auto pour 46 300 euros. Et la C 220 d pousse les feux de ce 2.0 TD à 194 ch et 128 g pour 48 800 euros. En revanche, sa version transmission intégrale 4Matic et tous les breaks restent au-dessus des 130 g.
Mercedes fait valoir sa Classe C (4,69 m de long). Avec, en Business Line, des motorisations sobres en 2.0 turbo-diesel à 122 ch et 128 g en boîte manuelle, ou 127 g en boîte auto 9G-Tronic, toutes deux à 39 300 euros en berline quatre portes C 180 d.
On citera aussi le CLA Coupé (4,69 m de long) basé sur la plate-forme de la Classe A contrairement à son appellation. Plus léger et moins statutaire, il diminue les prix à 38 750 euros en CLA 180 d de 116 ch/125 g en Business Line ou 41 000 euros en boîte auto. En CLA 220 d de 150 ch et boîte auto, le prix s’affiche à 43 000 euros pour 126 g, toujours en Business Line. Enfin, le CLA 220 d de 190 ch et boîte auto émet 128 g pour 46 400 euros en Progressive Line.
Mercedes aligne enfin le CLA Shooting Brake, un « break coupé » (4,90 m de long). Un modèle pareillement basé sur la plate-forme de la Classe A, et non de la Classe C, ce qui n’enlève rien à ses excellentes qualités dynamiques. Par conséquent, très léger, ce CLA Shooting Brake peut revendiquer en Business Line un CO2 limité à 128 g en CLA 180 d avec le 2.0 turbo-diesel de 116 ch et boîte manuelle (39 950 euros en Business Line) ; le CLA 200 d de 150 ch est à 129 g en boîte auto pour 44 200 euros.
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