Tous les tarifs s’entendent TTC et « à partir de ». Nous remercions Autovista de nous avoir communiqué les listes des véhicules concernés. Les grammages de CO2 sont exprimés en NEDC corrélé.
Si Renault ne parvient pas à se maintenir dans cette catégorie, on y retrouve Peugeot qui fait mieux en CO2 avec ses 508 berline et break SW qu’avec son 3008, a fortiori son 5008 ici. C’est le 1.5 Blue HDi de 130 ch qui est à la manœuvre pour abaisser le CO2 à 99 g, mais uniquement en boîte auto EAT8. Le prix débute à 37 050 euros en Active Business pour la 508 berline et à 38 350 euros en break.
Sa principale concurrente, la Volks-wagen Passat restylée...
Tous les tarifs s’entendent TTC et « à partir de ». Nous remercions Autovista de nous avoir communiqué les listes des véhicules concernés. Les grammages de CO2 sont exprimés en NEDC corrélé.
Si Renault ne parvient pas à se maintenir dans cette catégorie, on y retrouve Peugeot qui fait mieux en CO2 avec ses 508 berline et break SW qu’avec son 3008, a fortiori son 5008 ici. C’est le 1.5 Blue HDi de 130 ch qui est à la manœuvre pour abaisser le CO2 à 99 g, mais uniquement en boîte auto EAT8. Le prix débute à 37 050 euros en Active Business pour la 508 berline et à 38 350 euros en break.
Sa principale concurrente, la Volks-wagen Passat restylée et remotorisée il y a quelques mois, est dorénavant emmenée par le 2.0 TDI EVO de 150 ch boîte manuelle à 96 g – en remplacement du 1.6 TDI de 120 ch qui ne passait pas sous les 100 g. Du coup, le prix augmente de quelques centaines d’euros à 38 640 euros en Business. La version avec la boîte double embrayage DSG7 est à tout juste 100 g, c’est très bien, pour 40 250 euros. Le break SW partage ces grammages, moyennant 1 045 euros de supplément.
Le 2.0 TDI EVO de VW
Équipée de ce récent 2.0 TDI EVO, la cousine Skoda Octavia fait encore mieux à 94 g en boîte manuelle (35 050 euros en Business) et à 97 g en boîte double embrayage DSG7 (39 950 euros). Le break Combi affiche des CO2 identiques pour 1 100 euros de plus.
Du côté de Ford on n’est pas en reste avec la Mondeo. Mais ce n’est pas en diesel que celle-ci parvient sous les 100 g, plutôt en hybridation simple ou plus exactement « full hybrid » . On retrouve donc le 2.0 essence aidé par un moteur électrique, les deux combinés fournissant un maximum de 187 ch pour 96 g. Une technologie qui a fait ses preuves et permet un prix serré de 37 300 euros en Titanium par rapport à un diesel équivalent. Le break SW affiche aussi 96 g pour 1 000 euros en sus.
Dans le premium, soulignons l’excellente performance d’Audi en diesel avec l’A4 équipée du 2.0 TDI EVO venu de Volkswagen et développant ici 163 ch pas moins, à 84 g en boîte auto uniquement. La facture est élevée : 44 250 euros en Business Line et 45 950 euros en break Avant. Moins chère de 2 000 euros, la déclinaison en 136 ch de ce 2.0 TDI EVO, toujours en S-Tronic 7, fait inversement grimper le CO2 à 97 g, en berline et break (42 650 et 44 350 euros en Business Line).
Sur l’Audi A4, le 2.0 TDI EVO développe 163 ch à 84 g en boîte auto, pour 44 250 euros en Business Line et 45 950 euros en break Avant. En 136 ch, ce 2.0 TDI EVO, toujours en S-Tronic 7, aligne 97 g en berline et break (42 650 et 44 350 euros en Business Line).
Concluons ce vaste panorama par Toyota et Lexus qui font toujours appel à l’hybridation simple pour les cousines très proches Camry et ES. Mais qui céderont prochainement à l’hybridation rechargeable pour les RAV4 et NX – le marché étant là.
Le RAV4, seul SUV du segment
Pour l’heure, le Toyota RAV4 est l’unique grand SUV de ce segment à répondre à notre critère : il émet 100 g mais uniquement en version quatre roues motrices AWD, plus efficiente de 2 g que la deux roues motrices 2WD – un comble ! Il est remarquable que la puissance de 222 ch soit aussi sobre mais il faut y mettre le prix à 40 700 euros en Dynamic Business.
Basée sur la même plate-forme, la grande berline Camry 4 portes reprend cette chaîne hybride mais en deux roues motrices et 218 ch. SCx aidant, le CO2 retombe à 98 g. Le prix « retombe » légèrement aussi à 39 700 euros en Dynamic Business. Enfin, sa cousine gémellaire Lexus ES 300h, qui partage plate-forme et motorisation hybride mais s’équipe plus lourdement, passe à 100 g tout rond pour 48 490 euros en Business, soit le modèle le plus cher de ce dossier.
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