Très récemment, Safran a rejoint le dispositif et inauguré une troisième navette électrique. L’objectif : assurer les trajets entre ses deux sites, l’un dans le 15e arrondissement, l’autre près d’Issy-les-Moulineaux, mais aussi les parcours entre les transports en commun et les deux lieux de travail.
La principale motivation : la dimension sociale, comme l’explique Vincent Mackie, DRH de l’équipementier aéronautique : « Les zones où nous sommes implantées sont difficiles d’accès en voiture, avec souvent des embouteillages et un temps de trajet rallongé. Cette navette facilite le déplacement des salariés entre les transports en commun...
Très récemment, Safran a rejoint le dispositif et inauguré une troisième navette électrique. L’objectif : assurer les trajets entre ses deux sites, l’un dans le 15e arrondissement, l’autre près d’Issy-les-Moulineaux, mais aussi les parcours entre les transports en commun et les deux lieux de travail.
La principale motivation : la dimension sociale, comme l’explique Vincent Mackie, DRH de l’équipementier aéronautique : « Les zones où nous sommes implantées sont difficiles d’accès en voiture, avec souvent des embouteillages et un temps de trajet rallongé. Cette navette facilite le déplacement des salariés entre les transports en commun et leurs bureaux. »
Une façon aussi de diminuer les risques, sur des parcours potentiellement accidentogènes, avec de nombreux carrefours, des feux tricolores et les bretelles du périphérique. « Il s’agit avant tout d’améliorer le confort de déplacement de nos salariés, avec une vraie préoccupation environnementale, complète Vincent Mackie. Depuis le lancement de cette navette électrique, nous avons pu constater un recul du nombre des personnes recourant à leur véhicule. »
Autre critère qui a convaincu Safran de rejoindre ce réseau : l’image. « Nous travaillons dans un secteur où nos entreprises sont à la pointe de la technologie, avec un rôle important donné à l’électrique. Il aurait été dommage de passer à côté de la mutualisation de l’électrique dans les déplacements collectifs », conclut le DRH de Safran.