Étienne Dauvin, responsable achats groupe frais généraux chez Santé Cie, revient sur le dispositif en application dans son entreprise pour l’entretien de la flotte.
« Notre flotte se compose de VUL et de véhicules cinq places. Les premiers livrent du matériel, entre autres tout ce qui est lié à l’oxygénothérapie ; les seconds, souvent de petits SUV, servent aux soignants, des infirmières notamment. Notre parc est en forte croissance, de 10 % par an en moyenne, car les besoins en santé à domicile augmentent sensiblement.
Le mode de financement des deux typologies de véhicules reste différent, le crédit-bail pour les premiers,...
Étienne Dauvin, responsable achats groupe frais généraux chez Santé Cie, revient sur le dispositif en application dans son entreprise pour l’entretien de la flotte.
« Notre flotte se compose de VUL et de véhicules cinq places. Les premiers livrent du matériel, entre autres tout ce qui est lié à l’oxygénothérapie ; les seconds, souvent de petits SUV, servent aux soignants, des infirmières notamment. Notre parc est en forte croissance, de 10 % par an en moyenne, car les besoins en santé à domicile augmentent sensiblement.
Le mode de financement des deux typologies de véhicules reste différent, le crédit-bail pour les premiers, la location longue durée pour les seconds. Mais la location ne valorise pas du tout le remarketing des VUL, équipés avec un coût d’aménagement élevé. Ces deux modes de financement entraînent aussi deux façons d’assurer l’entretien : notre plateau technique centralise la maintenance des VUL, tandis que les loueurs s’occupent de l’entretien des véhicules cinq places auprès des réseaux constructeurs.
Entretien de la flotte : Santé Cie fait face à des contraintes importantes
Nous envisageons cependant de confier l’entretien courant de ces véhicules cinq places à Euromaster, déjà prestataire pour l’ensemble de nos pneus. De fait, nous constatons en ce moment de fortes contraintes en termes d’approvisionnement en pièces détachées, ainsi que des prises de rendez-vous longues auprès des réseaux constructeurs. Notre réflexion est bien avancée et elle devrait aboutir assez vite. Cela permettrait de résoudre plusieurs problèmes à la fois, la contrainte financière, actuellement forte, celle des prises de rendez-vous et aussi un aspect important auquel toutes les flottes sont confrontées : la simplification de la gestion administrative. En effet, nous avons des contraintes opérationnelles importantes qui entraînent une gestion administrative complexe. Nous sommes à la recherche d’une simplification de ces processus, et confier à un seul prestataire l’entretien courant et les pneus reste un moyen de simplifier cette gestion. »