
C’est en tout cas le constat des représentants des deux entreprises réunis au cours d’une table ronde qui s’est tenue en amont du récent Mondial de l’automobile de Paris. Une évolution qui reposera sur les capacités des véhicules connectés à transmettre des informations, plus de 350 KB de données par minute, estiment les spécialistes. Cette communication amènera un « changement de paradigme » dans l’industrie automobile.
Dans cette nouvelle configuration, plusieurs secteurs de croissance économique sont à envisager : dans la chaîne logistique du secteur automobile, désormais connectée et qui bénéficiera directement des informations recueillies sur les voitures en circulation ; dans les services autour du véhicule autonome et connecté ; dans les objets communicants avec l’internet des objets (IdO) ; dans la vente et les services clients sur la base des informations recueillies sur le véhicule ; et enfin, dans la voiture comme un service : Car as a Service (CaaS).