
Les pistes sont par définition multiples : revoir à la baisse la taille de la flotte, repenser l’adéquation des véhicules et des besoins, remettre en cause les garages – alors que les personnels partent en retraite –, voire envisager le passage à la location longue durée. Dans un contexte de réduction des crédits, tous les arbitrages, ou presque, sont possibles.
Tout aussi efficaces, d’autres voies peuvent être suivies, par exemple en optant pour la mutualisation : une voiture n’est plus liée à une seule et même personne mais elle se transforme en véhicule partagé par un ou des services. Et de la mise en pool à l’auto-partage, il n’y a qu’un pas, vite franchi, surtout lorsque cet auto-partage a fait le choix de l’électrique. Avec ce constat plutôt rassurant : dans la sphère publique, l’impératif d’économie ne fait pas oublier les engagements écologiques pris par les collectivités et les administrations.
Secteur public : des flottes au régime minceur
- Secteur public : des flottes au régime minceur
- Parcs automobiles publics : des restrictions sélectives
- « Renouveler pour moderniser et homogénéiser le parc » : Joël Meneghetti, La Roche-sur-Yon
- « Sensibiliser les services à la réduction du parc » : Gilles Eymery, Ville de Grenoble
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- « Le véhicule électrique, un choix économique cohérent » : Patrick Ranc, Mairie de Valence
- « L’auto-partage répond à nos besoins » : Sonia Kleiss-Stark, CCI de Strasbourg