« À l’origine, les véhicules étaient assez anciens. Désormais, nous ne les conservons jamais plus de cinq ans« , note d’emblée Christine Kleinmann. Tous les ans, deux à quatre véhicules neufs intègrent la flotte. ABS, EPS, doubles airbags, pneus spécifiques pour l’hiver, limitateur de vitesse, etc. : Christine Kleinmann est persuadée de l’importance des équipements de sécurité mais aussi de leurs limites : « Un jour, en reculant, le conducteur d’un fourgon a enfoncé une voiture qui était garée. Mais cela aurait pu être un piéton. Depuis, lors des manœuvres, je demande au coéquipier de sortir du véhicule pour guider le conducteur. Cette...
« À l’origine, les véhicules étaient assez anciens. Désormais, nous ne les conservons jamais plus de cinq ans« , note d’emblée Christine Kleinmann. Tous les ans, deux à quatre véhicules neufs intègrent la flotte. ABS, EPS, doubles airbags, pneus spécifiques pour l’hiver, limitateur de vitesse, etc. : Christine Kleinmann est persuadée de l’importance des équipements de sécurité mais aussi de leurs limites : « Un jour, en reculant, le conducteur d’un fourgon a enfoncé une voiture qui était garée. Mais cela aurait pu être un piéton. Depuis, lors des manœuvres, je demande au coéquipier de sortir du véhicule pour guider le conducteur. Cette règle ne souffre aucune exception. Les radars de recul ne sont pas toujours efficaces », estime-t-elle.
L’entreprise a aussi adopté la géolocalisation. « J’ai pris conscience de l’importance de cet outil quand l’un de nos collaborateurs a fait un malaise », souligne Christine Kleinmann qui apprécie également les économies en carburant. L’entreprise a en outre formé les collaborateurs dans le cadre de l’aide simplifiée à l’acquisition de VUL plus sûrs. « Il faut prendre conscience que l’accident n’arrive pas qu’aux autres. On sait qu’un échafaudage peut être dangereux. La route, c’est la même chose. Depuis le passage en formation, nous n’avons quasiment plus d’excès de vitesse et les incidents liés à des bris de glace ont fortement diminué, les conducteurs ont pris conscience de l’importance des distances de sécurité », conclut Christine Kleinmann.
