
La Superb Combi parmi les grandes routières
Cette Superb Combi a de fait grandi : en longueur (+ 28 mm à 4,86 m), en largeur (+ 47 mm à 1,86 m) et en hauteur (+ 6 mm à 1,48 m). Pour un coffre qui passe de 603 à 660 l et jusqu’à 1 950 l, record absolu tous segments confondus ! Tout cela grâce à la fameuse plate-forme modulaire MQB qui sert autant à la nouvelle Audi A4 qu’aux VW Golf et Passat.
Les motorisations sont donc d’emblée Euro 6 avec le 1.6 TDI de 120 ch en boîte manuelle (105 g, 32 290 euros en Business Plus) et en boîte DSG7 (103 g, 33 790 euros), ainsi que le 2.0 TDI de 150 ch BVM (106 g, 33 690 euros) et DSG6 (118 g, 35...
La Superb Combi parmi les grandes routières
Cette Superb Combi a de fait grandi : en longueur (+ 28 mm à 4,86 m), en largeur (+ 47 mm à 1,86 m) et en hauteur (+ 6 mm à 1,48 m). Pour un coffre qui passe de 603 à 660 l et jusqu’à 1 950 l, record absolu tous segments confondus ! Tout cela grâce à la fameuse plate-forme modulaire MQB qui sert autant à la nouvelle Audi A4 qu’aux VW Golf et Passat.
Les motorisations sont donc d’emblée Euro 6 avec le 1.6 TDI de 120 ch en boîte manuelle (105 g, 32 290 euros en Business Plus) et en boîte DSG7 (103 g, 33 790 euros), ainsi que le 2.0 TDI de 150 ch BVM (106 g, 33 690 euros) et DSG6 (118 g, 35 190 euros). Ce 150 ch équipe aussi la version 4×4 à 35 690 euros (119 g en BVM). Si sa version 190 ch n’existe pas en Business Plus, elle reste accessible à partir de 37 590 euros en finition Style (109 g en BVM, 119 g en DSG6 et 134 g en 4×4 et DSG6). Mais revenons aux leaders du marché que sont les allemandes du premium. À commencer par la BMW Série 5 Touring qui, malgré ses cinq ans d’âge, affiche toujours d’excellentes prestations. Dans ses 4,90 m de longueur, elle peut emporter de 560 à 1 670 l, avec une sobriété exemplaire. Avec le 2.0 turbodiesel de 150 ch, les émissions pointent à 118 g (518d BVM6, à partir de 42 600 euros en Lounge).
La version de 190 ch de cette Série 5 se montre tout aussi frugale à 122 g en BVM6 (520d à partir de 46 450 euros en finition Lounge). Mais on passe à 127 g en version 4×4 obligatoirement en BVA8 (520d xDrive, à partir de 51 350 euros). Toujours avec cet excellent 2.0 turbodiesel, la puissance monte à 218 ch et 129 g pour la 525d (à partir de 53 400 euros en Lounge Plus) et 142 g pour la 525d xDrive (BVA8, à partir de 58 300 euros). Mais les gros rouleurs resteront fidèles au réputé et velouté 6-cylindres en ligne 3.0 l, unique dans la production automobile, proposé en 258 ch (139 g, à partir de 59 500 euros en 530d), et en 313 ch sur la 535d xDrive (154 g, à partir de 67 000 euros).
Choc frontal entre la Série 5 Touring et l’A6 Avant
Pour ceux que le label M pour Motorsports n’effraie pas (en performances comme en prix…), la M550d Touring xDrive, avec ses 381 ch intouchables par la concurrence, est au catalogue pour 91 000 euros. En revanche, pas de carrosserie break pour la Série 5 Hybride essence de 340 ch, conçue pour la clientèle américaine.
Audi n’est pas en reste et calque son A6 Avant sur des curseurs identiques : longueur de 4,94 m, dégageant un coffre confortable de 565 à 1 680 l, et des motorisations sur la même palette de puissances. Le petit 2.0 TDI de 150 ch (BVM, 117 g) constitue l’accès à la gamme Business Line à 45 600 euros. Avec la boîte S tronic 7, les émissions reculent à 114 g mais le prix passe à 47 900 euros. En 190 ch, les émissions sont identiques (114 g en BVA) mais pas le prix à 47 740 euros. La déclinaison en boîte manuelle augmente le CO2 à 118 g alors que le prix revient à 45 440 euros. Avec la transmission Quattro S tronic 7, les émissions grimpent à 132 g et le prix à 50 640 euros.
Toujours fidèle au 3.0 V6 TDI, Audi le glisse sous le capot avant de son A6 break en Quattro et S tronic 7 uniquement en 218 ch (138 g, 57 230 euros) et 272 ch (138 g, 60 620 euros). Pour accéder au biturbo TDI et ses 320 ch en BVA8 (164 g), il faudra opter pour la finition SLine à 67 370 euros. Notez enfin qu’aucune version hybride n’est prévue pour l’A6.
Mercedes, tout à son renouvellement d’image et de gammes (A, B, C, S, coupés, crossovers et SUV ou 4×4), a quelque peu délaissé sa vénérable Classe E (4,91 m de longueur), née en 2009 et restylée en 2013. Avec des motorisations qui ne sont plus compétitives par rapport à Audi, BMW ou Volvo.
La Classe E de Mercedes accuse son retard
Ainsi, l’accès à la gamme, avec le peu efficient 2.1 CDI turbodiesel de 136 ch, affiche déjà 129 g (E 200 Bluetec à partir de 43 850 euros) et passe à 127 g en 170 ch (E 220 Bluetec, à partir de 47 350 euros). En version E 220 Bluetec 4Matic et BVA7, les émissions sont à 143 g (à partir de 52 350 euros). Un moteur aussi disponible en 204 ch à 130 g en boîte manuelle (E 250 Bluetec, à partir de 50 350 euros), avec une déclinaison 4Matic BVA7 à 140 g et 55 350 euros. Il faut donc passer au 3.0 V6 CDI plus récent et sa boîte auto à 9 rapports pour retrouver des valeurs d’émissions plus compétitives : E 300 Bluetec de 231 ch à 138 g (à partir de 53 500 euros), E 350 Bluetec de 259 ch à 138 g (à partir de 57 800 euros) et 160 g en version 4Matic (à partir de 60 600 euros). Contrairement à ses concurrents, Mercedes propose une version break de l’hybride diesel E 300 basée sur le 2.1 CDI de 204 ch et un petit moteur électrique de 27 ch dans la boîte automatique 7 rapports. Avec au total 231 ch à 109 g mais pour un prix élevé à partir de 55 400 euros. Autre inconvénient de cette hybridation pour le break : son coffre généreux (695/1 950 l) repasse à 660 l/1 855 l.
Tout au renouvellement des S60, V60, XC60 et XC90, Volvo connaît une situation similaire : son break V70, né en 2007, fait figure d’ancêtre dans sa gamme. Heureusement, le suédois n’a pas lésiné sur le renouvellement de ses motorisations Drive-E et le V70 y a droit, ce qui lui redonne une seconde jeunesse après son restylage en 2013 (coffre de 575 à 1 600 l, banquette 40/20/40 et une longueur raisonnable de 4,81 m).
Le V70 de Volvo renouvelle ses motorisations
Pour sa finition Momentum Business, ce V70 recourt au nouveau 2.0 D4 de 150 ch qui limite les émissions à 113 g en boîte manuelle (au prix compétitif de 43 370 euros), et à 118 g en boîte auto Geartronic 6 (45 370 euros) ; le D4 de 181 ch, obligatoirement en BVA, passe à 122 g (47 570 euros). Les amateurs de la version surélevée et du look baroudeur choisiront ce pionnier du genre, la déclinaison XC70 qui reprend ce D4 de 181 ch à 127 g (49 570 euros) ou 137 g en 4×4 AWD et boîte manuelle (49 570 euros). Enfin, le D5 et ses 220 ch AWD pointent à 153 g et 52 970 euros. Une précision enfin pour clore ce dossier : Jaguar vient de renouveler sa XF et il faudra patienter encore une petite année pour accéder à la nouvelle génération de sa version Sportbrake.
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