
Commençons par l’actualité du moment avec le renouvellement du BMW X1. Ce précurseur dans le segment revoit aujourd’hui sa copie de fond en comble en reprenant plate-forme et motorisations transversales de la Série 2 Active Tourer, tout en reconsidérant son format. À peine moins long (4,44 m), il prend de la hauteur (plus 5 cm) pour accroître l’espace habitable. Le résultat est plus que probant. Même satisfaction pour l’agrément de conduite et les motorisations : sDrive 18d de 150 ch (114 g, à partir de 36 750 euros), xDrive 20 d de 190 ch (128 g, à partir de 42 000 euros) ou xDrive 25d de 231 ch (132 g, à partir de 44 150 euros).
BMW et Audi...
Commençons par l’actualité du moment avec le renouvellement du BMW X1. Ce précurseur dans le segment revoit aujourd’hui sa copie de fond en comble en reprenant plate-forme et motorisations transversales de la Série 2 Active Tourer, tout en reconsidérant son format. À peine moins long (4,44 m), il prend de la hauteur (plus 5 cm) pour accroître l’espace habitable. Le résultat est plus que probant. Même satisfaction pour l’agrément de conduite et les motorisations : sDrive 18d de 150 ch (114 g, à partir de 36 750 euros), xDrive 20 d de 190 ch (128 g, à partir de 42 000 euros) ou xDrive 25d de 231 ch (132 g, à partir de 44 150 euros).
BMW et Audi se font face sur le marché
Plus grand (4,66 m), le X3 est, pour sa part, passé l’an dernier par la case restylage. Résultat, une filiation avec le X5 dorénavant plus perceptible, mais aussi une efficience qui s’affirme : 123 g en sDrive 18d de 150 ch (à partir de 38 700 euros). Les autres motorisations se conjuguent obligatoirement en quatre roues motrices, jusqu’à basculer dans l’ultra sportif : xDrive 20d de 190 ch (135 g, à partir de 43 750 euros), xDrive 30d de 258 ch (149 g, à partir de 52 100 euros) et xDrive 35d de 313 ch (157 g, à partir de 60 600 euros).
Sous ses faux airs de coupé, le X4 complète la donne. Son allure sportive fait que l’offre en motorisations débute en xDrive 20d de 190 ch (135 g, à partir de 50 800 euros).
Malgré un gabarit inférieur (4,39 m) au X1, l’Audi Q3 a su prendre la tête des ventes. Fin 2014, déjà arrivé à mi-carrière, il s’est accordé quelques réajustements. Plus significative que l’impact d’une nouvelle calandre, l’évolution des motorisations marque sa volonté de conserver son rang sur le marché. C’est ainsi que le 2.0 TDI s’affiche maintenant en 120 ch (122 g, à partir de 30 060 euros), en 150 ch (119 g, à partir de 31 780 euros) et en 184 ch (138 g, à partir de
36 930 euros) – une dernière version obligatoirement associée au système Quattro. Pour le reste, hormis un équipement plus généreux, le Q3 ne change guère et demeure aussi enthousiasmant, à l’exception du coffre.
Pour la notoriété, l’Audi Q5 joue sur un registre identique et revendique une diffusion supérieure à la concurrence. Apparu en 2008, il devrait bénéficier d’une profonde évolution en 2016, mais conserver son format (4,63 m). Sa conversion à l’hybride rechargeable ne fait aussi aucun doute. Pour l’heure, la gamme diesel a de quoi servir toutes les ambitions : 2.0 TDI de 150 ch en deux roues motrices (129 g, à partir de 38 170 euros) ou en Quattro (144 g, à partir de 40 670 euros), 2.0 TDI de 190 ch (146 g, à partir de 43 850 euros) et V6 TDI 3.0 de 258 ch (154 g, à partir de 52 780 euros).
Depuis l’an dernier, face au X1 et au Q3, Mercedes s’est invité à la fête avec le GLA. En 4,42 m, ce dérivé de la Classe A ne manque pas d’arguments pour convaincre. Style séduisant, dynamisme certain et sobriété exemplaire militent en sa faveur.
Mercedes met en avant le GLA et le GLC
En diesel, la gamme du GLA se compose du 180d de 109 ch (105 g, à partir de 31 000 euros), du 200d de 136 ch (110 g, à partir de 33 450 euros) et du 220d de 177 ch (127 g, à partir de 39 650 euros) ; ces deux dernières motorisations sont aussi proposées en 4Matic (respectivement à partir de 37 900 et 41 850 euros). Le tout s’agrémente de versions Business (à partir de 33 900 euros en 180d).
Nouveauté aussi pour le Mercedes GLC présenté à Francfort. Il remplace avantageusement le GLK qui aura connu une traversée du désert tout au long de sa carrière en raison d’une silhouette plutôt ingrate, et ce, malgré des prestations fort honorables. Son successeur se montre plus attractif. Avec ses 4,66 m et son coffre de près de 600 litres, il compte bien fondre sur ses rivaux et s’imposer comme la nouvelle référence du segment.
Pour ce GLC, la gamme et les tarifs ont été publiés avant l’été : 220d 4Matic de 170 ch à 129 g (à partir de 46 150 euros et 49 250 euros en Business) et 250d de 204 ch toujours 4Matic et à 129 g (à partir de 47 500 euros et 50 600 euros en Business).
Comme toujours, Volvo se positionne en alternative au premium d’outre-Rhin. Son XC60 possède autant de charme que de talent lorsqu’il s’agit d’économiser du carburant : associé au D3 de 150 ch ou au D4 de 190 ch, le SUV suédois décroche une homologation à 117 g dans ses versions à deux roues motrices (respectivement à partir de 35 400 et 40 210 euros). Opter pour un modèle AWD porte les émissions à 137 g, en D4 (à partir de 42 210 euros) ou en D5 de 220 ch (à partir de 44 310 euros).
Du neuf chez Lexus, Jeep et Land Rover
Si, du point de vue du style, le représentant scandinave a choisi d’évoluer dans la discrétion, ce n’est pas le cas du Lexus NX apparu l’an dernier. Le japonais affiche une carène aiguisée qui tranche avec la concurrence. De quoi mettre en évidence une singularité qui se vérifie et s’apprécie jusque dans le choix de l’hybridation essence. Le résultat convainc avec une version 300h à 197 ch en puissance cumulée pour 116 g et 121 g en variante AWD (respectivement à partir de 40 090 euros et 43 390 euros ; 41 090 et 45 390 euros en Business).
Le premium se compose aussi de marques pionnières dans le monde du tout-terrain, tel Jeep qui aligne son nouveau Cherokee. Un modèle au design très affirmé mais très conformiste dans son approche : derrière cette légendaire calandre, ce SUV de 4,62 m s’apparente, en prestations comme en tarifs, aux produits germaniques. La gamme du Cherokee s’articule autour d’un 2.0 MultiJet 140 ch en 4×2 (139 g, à partir de 30 950 euros) ou en 4×4 (147 g, à partir de 37 950 euros) et d’un nouveau 2.2 MultiJet dans des configurations à 185 et 200 ch, toutes deux en 4×4 et en boîte automatique (respectivement 150 et 160 g, à partir de 43 750 et 46 750 euros).
L’audace du style, c’est aussi ce qui caractérise le Range Rover Evoque chez Land Rover. Une audace payante car récompensée par un succès commercial indéniable ; même si, en 4,37 m, ce joli coup de crayon en 5 portes comme en coupé oblige à quelques concessions sur l’habitabilité.
De nouvelles motorisations pour l’Evoque
Pour l’actualité de l’Evoque, cette rentrée s’accompagne de l’arrivée de nouvelles motorisations diesel conformes à la norme Euro 6 : 2.0 eD4 150 ch à 109 g en 4×2 (à partir de 34 600 euros), 2.0 TD4 150 ch en 4×4 à 125 g (à partir de 36 500 euros) et 2.0 TD4 180 ch 4×4 à 125 g également (à partir de 39 400 euros).
Moins huppé que l’Evoque, le Discovery Sport se montre aussi plus accueillant. Une version E-Capability à deux roues motrices du 2.0 TD4 de 150 ch étalonné à 129 g répond en émissions aux besoins des entreprises (à partir de 36 000 euros). Le ticket d’entrée de gamme est assuré par ce moteur en 4×4 (134 g, à partir de 35 600 euros), moteur que nous retrouvons, toujours à 134 g, dans une configuration 180 ch (à partir de 42 200 euros).
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