
En 2015, au jeu des renouvellements, le BMW X1 a pris l’avantage sur ses poursuivants. Adopter la plate-forme et les motorisations transversales de la Série 2 s’est révélé la bonne option. Le voici qui domine les débats et gagne en stature, et ce, sans modifier son empreinte au sol (4,44 m). L’habitabilité y trouve son intérêt.
Le BMW X1 toujours en tête
Quant à l’agrément de conduite, il se renforce, tout comme le confort et le comportement. Le tout sans omettre les pouvoirs de motoriste de BMW. Quelques exemples pour ce X1 : sDrive 16d de 116 ch (104 g ; à partir de 32 150 euros), sDrive 18d de 150 ch (109 g ; à partir de 34 600 euros),...
En 2015, au jeu des renouvellements, le BMW X1 a pris l’avantage sur ses poursuivants. Adopter la plate-forme et les motorisations transversales de la Série 2 s’est révélé la bonne option. Le voici qui domine les débats et gagne en stature, et ce, sans modifier son empreinte au sol (4,44 m). L’habitabilité y trouve son intérêt.
Le BMW X1 toujours en tête
Quant à l’agrément de conduite, il se renforce, tout comme le confort et le comportement. Le tout sans omettre les pouvoirs de motoriste de BMW. Quelques exemples pour ce X1 : sDrive 16d de 116 ch (104 g ; à partir de 32 150 euros), sDrive 18d de 150 ch (109 g ; à partir de 34 600 euros), sDrive 20d de 190 ch (118 g ; à partir de 37 850 euros) et xDrive 25d de 231 ch (133 g ; à partir de 44 150 euros).
Plus généreux en format (4,66 m), le X3 ne bénéficie pas de cette prime à la nouveauté ; la relève devrait intervenir en 2017. En attendant, son restylage en 2014 l’a esthétiquement rapproché du X5 et l’efficience reste au rendez-vous : sDrive 18d de 150 ch (123 g ; à partir de 39 600 euros), xDrive 20d de 190 ch (135 g ; à partir de 45 000 euros), xDrive 30d de 258 ch (149 g ; à partir de 53 900 euros) et xDrive 35d de 313 ch (157 g ; à partir de 62 300 euros).
Enfin, toujours chez BMW et sous ses allures de coupé, le X4 joue la carte de la sportivité jusque dans ses motorisations qui débutent avec un xDrive 20d de 190 ch (135 g ; à partir de 52 300 euros).
Apparu en 2011, l’Audi Q3 peut être fier de son parcours commercial. Ses 3,39 m lui ont donné accès aux quartiers d’affaires, sans tout à fait lui interdire la fréquentation des familles. Malgré un changement de génération prévu pour l’an prochain, son succès ne faiblit pas, aidé en cela par un discret restylage.
Une évolution du Q3 accompagnée d’un changement positif du bloc 2.0 avec un TDI 120 ch (117 g ; à partir de 30 470 euros) ou un TDI 150 ultra (116 g ; à partir de 32 220 euros). À moins de lui préférer sa variante sans écolabel mais quattro (127 g ; à partir de 36 570 euros) ou un TDI 184 quattro S tronic (132 g ; à partir de 39 560 euros).
Le Q5 d’Audi bientôt remplacé
Figure incontournable parmi les SUV premium, le Q5 aura moins longtemps à tenir, puisque son remplacement se fait éminent. Rappelons seulement sa conversion aux deux roues motrices dans une configuration 2.0 TDI 150 ultra enregistrée à 129 g (à partir de 38 770 euros) qui lui a ouvert les portes des entreprises.
Pluie d’étoiles chez Mercedes avec, opérée au cours des dernières années, une salutaire refonte de la gamme donnant naissance à des modèles gagnant en attractivité.
Cela commence avec un GLA se mêlant au débat opposant X1 et Q3. Un joli coup de crayon caractérise cette variante cross-over de la Classe A qui ne cache pas sa préférence pour le goudron. En privilégiant le style, l’habitabilité se trouve quelque peu malmenée, même dans 4,42 m. Mais le GLA sait séduire par son dynamisme et sa sobriété.
En diesel, les déclinaisons du GLA débutent avec une version 180 d à 109 ch (105 g ; à partir de 31 400 euros), avant de se poursuivre en 200 d à 136 ch (110 g ; à partir de 33 850 euros), puis en 220 d à 177 ch (110 g ; à partir de 40 050 euros). Ces deux dernières motorisations sont disponibles en 4Matic et boîte auto (127 g dans les deux cas ; respectivement à partir de 38 300 et 42 250 euros).
Depuis l’an dernier, le GLC a fait oublier les déconvenues commerciales du GLK auquel il succède. Prime à la nouveauté, mais aussi talent indéniable, le GLC s’est imposé en référence de ce segment très convoité. Alliant confort et agrément, il ne lui reste plus qu’à se doter d’une version à deux roues motrices pour accroître sa pertinence au regard des comptables.
Mercedes refait ses gammes
En attendant, ce GLC se conjugue en 4Matic et transmission automatique dans des versions 220 d à 170 ch (129 g ; à partir de 46 600 euros) et 250 d à 204 ch (129 g ; à partir de 47 950 euros). Sa détermination à redistribuer les cartes se confirme aussi avec une déclinaison GLC Coupé qui vient contrecarrer les plans du X4. À découvrir dans des propositions identiques de motorisations (131 g ; à partir de 55 150 euros en 220 d 4Matic).
Autre nouvel arrivant, le F-Pace ne passe pas inaperçu. Silhouette racée combinée à une belle agilité, cette première expérience de Jaguar dans le monde du SUV se révèle fort séduisante. Seul regret : il n’existe pas au catalogue de version inférieure à un 20d de 180 ch étalonné à 129 g en 4×2 (à partir de 44 350 euros) et 134 g en AWD (à partir de 46 950 euros). Plus élitiste encore, la gamme comporte un 30d AWD à base de V6 3.0 revendiquant 300 ch (159 g ; à partir de 64 950 euros).
Chez Volvo, le successeur du XC60 devrait attendre début 2017 pour se dévoiler. Son design s’inspirera du XC90 et il battra des records d’efficience. Notons que la génération actuelle est parvenue à descendre jusqu’à 117 g dans une version D3 de 150 ch en deux roues motrices (à partir de 35 900 euros).
Approche radicalement différente, mais objectif similaire de réduire son empreinte environnementale : voilà ce qui anime le Lexus NX depuis 2014, à l’aide d’une version hybride essence totalisant 197 ch en puissance cumulée. Avec une homologation débutant à 116 g en 300h 2WD (à partir de 40 090 euros) et 121 g en 4WD (à partir de 43 690 euros). Le tout sous les traits aiguisés d’un modèle résolument ancré dans la modernité.
Le choix entre Lexus NX et Infiniti QX30
L’Infiniti QX30 mise, lui aussi, sur le design pour se faire remarquer. Ce nouveau venu n’est autre que l’interprétation « buissonnière » du Q30, modèle apparenté à la Mercedes Classe A ou plutôt au GLA. Haut sur pattes, ce QX30 calque donc son offre sur celle du Q30 apparu plus tôt, tout en y ajoutant un parfum d’aventure. En revanche, il ne confie sa progression qu’au seul 2.2D de 170 ch (128 g ; à partir de 39 800 euros).
Terminons par les pionniers de la discipline avec Jeep et un Cherokee dont il est impossible d’oublier le regard. Si ce traitement singulier de la face avant le différencie du reste de la meute, ses manières ne le démarquent guère. Ce qui est plutôt rassurant dans le sens où ce modèle s’est rallié aux approches de ses concurrents, tout en conservant un caractère instinctif lié à ses origines.
Les motorisations de ce Cherokee sont puisées chez Fiat : 2.0 MultiJet 140 ch en 4×2 (139 g ; à partir de 30 950 euros) et en 4×4 (147 g ; à partir de 38 350 euros), ainsi qu’un 2.2 MultiJet dans des versions 185 et 200 ch, toujours en 4×4 et avec boîte auto (149 g dans les deux cas, à partir de 44 150 et 47 150 euros).
Chez Land Rover, le choix est donné. Avec un Range Rover Evoque, toujours aussi adulé, en 5 portes comme en coupé, et ce, malgré quelques inévitables concessions sur l’habitabilité. Il est vrai que depuis sa naissance en 2011, l’Evoque est choyé par ses créateurs qui n’ont cessé d’optimiser ses prestations.
Evoque ou Discovery Sport chez Land Rover
Son restylage l’an dernier a permis d’octroyer à l’Evoque de nouveaux diesels : 2.0 eD4 150 ch en 4×2 (113 g ; à partir de 36 000 euros), 2.0 TD4 150 ch en 4×4 (125 g ; à partir de 37 900 euros) et 2.0 TD4 180 ch en 4×4 (125 g ; à partir de 40 800 euros).
Autre choix, le Discovery Sport constitue à peu près l’exact opposé. Plus hospitalier et moins flambeur, il se plie aux exigences des familles jusqu’à proposer une configuration 7 places en option, sans dépasser pour autant 4,50 m.
Ce SUV fort équilibré partage les motorisations « maison » : 2.0 eD4 150 ch en 4×2 (123 g ; à partir de 36 812 euros), 2.0 TD4 150 ch en 4×4 (134 g ; à partir de 36 400 euros) et 2.0 TD4 180 ch en 4×4 (134 g ; à partir de 38 600 euros).