Auparavant, le collaborateur était libre de choisir n’importe quel véhicule. À la seule condition que son loyer ne dépasse pas un montant fixé par le département des ressources humaines. « Ce qui conduisait à une flotte très hétérogène, composée d’une multitude de modèles des segments C, D ou E, qui ne se révélaient ni économiques, ni écologiques, rappelle Julien Marie, responsable des achats indirects. Nous avons donc créé quatre catégories de VP, avec un critère prédominant : le TCO ».
Pour chaque catégorie, les collaborateurs ont le choix entre trois à six modèles, avec des moteurs, des transmissions et des finitions pré-définis...
Auparavant, le collaborateur était libre de choisir n’importe quel véhicule. À la seule condition que son loyer ne dépasse pas un montant fixé par le département des ressources humaines. « Ce qui conduisait à une flotte très hétérogène, composée d’une multitude de modèles des segments C, D ou E, qui ne se révélaient ni économiques, ni écologiques, rappelle Julien Marie, responsable des achats indirects. Nous avons donc créé quatre catégories de VP, avec un critère prédominant : le TCO ».
Pour chaque catégorie, les collaborateurs ont le choix entre trois à six modèles, avec des moteurs, des transmissions et des finitions pré-définis. En grande majorité, les véhicules sont en finition business avec le Bluetooth, le GPS ou encore la peinture métallisée ; le collaborateur peut retenir à sa charge des options de confort.
Parallèlement, SGD porte une attention toute particulière aux émissions de CO2, notamment avec le durcissement de la TVS et du malus. Et a donc choisi d’intégrer dans chaque catégorie au moins un hybride. « Il nous semblait important de proposer à nos collaborateurs de se tourner vers des modèles plus vertueux« , souligne Julien Marie.
Des choix qui paient : grâce à la réorganisation de la car policy, le taux moyen d’émissions de CO2 de la flotte est passé de 140 g en 2009 à 110 g actuellement, tandis que la consommation moyenne du parc a reculé de 1,5 l/100 km.