
Si le récent grand Kodiaq (voir la brève) a tenu le devant de la scène pour le constructeur tchèque depuis le début de l’année, il doit maintenant céder la place au futur Skoda Karoq qui va remplacer son illustre prédécesseur, le Yéti. Au passage, après le fameux personnage mi-homme mi-singe de Tintin au Tibet, Skoda uniformise ses appellations avec le nom (« kaa’raq ») de ce peuple indien d’Alaska habitant sur l’île de Kodiak, appellation du récent SUV tchèque.
Skoda Karoq, la compacité assurée
Avec ses 4,38 m de longueur pour une largeur de 1,84 m et une hauteur de 1,60 m, le Skoda Karoq vient concurrencer frontalement les Nissan Qashqai (peuple « Kachkaïs » de la Perse), les Renault Kadjar (dynastie iranienne du XVIIIe siècle) et autres Peugeot 3008 ou Volkswagen Tiguan. Une confrontation que l’on doit à l’adoption de la plate-forme MQB qui sert à ce dernier et à ce futur SUV compact.
C’est donc naturellement que l’on retrouvera les motorisations du groupe Volkswagen-Audi dont les 1.0 TSI 3-cylindres essence de 115 ch et 1.5 TSI essence de 150 ch, ainsi que les 1.6 TDI en 115 ch et 2.0 TDI en 150 et 190 ch. La transmission 4×4 et la boîte DSG7 seront optionnelles. Ce Karoq sera officiellement lancé au prochain salon de Francfort en octobre 2017.