
Née en 1996, la troisième génération de la « routière » (4,67 m) du tchèque est commercialisée depuis peu dans ses deux carrosseries 5 portes et break Combi. Les retouches de design visent à intégrer l’Octavia dans le récent style du Kodiaq avec une face avant qui se veut plus valorisante et personnelle. À l’arrière, les évolutions se font plus discrètes avec un graphisme revu pour les feux. Enfin, à l’intérieur la planche de bord est conservée mais se modernise avec une tablette tactile « Glass Design » venu du Kodiaq.
C’est surtout l’arrivée des aides à la conduite comme le freinage automatique avec protection piétons, le régulateur adaptatif ou encore le système de parking avec remorque (Towing Assist) qui est notable, ainsi que de nouveaux équipements pour le confort de l’habitacle.
Une gamme moteurs reconduite
Sous le capot avant, les motorisations sont reconduites tout comme la finition Business (prix ci-dessous) proposée avec l’excellent 3-cylindres 1.0 TSI essence de 116 ch (23 690 euros TTC, 109 g) ou le 4-cylindres 1.4 TSI de 150 ch (25 190 euros, 120 g). En diesel, on retrouve le 1.6 TDI en 90 ch (24 690 euros, 105 g) et en 116 ch (26 090 euros, 105 g). Enfin, le 2.0 TDI se décline en 150 ch (27 390 euros, 112 g) et avec la boîte double embrayage DSG (28 890 euros, 117 g) ; ce moteur permet aussi d’accéder à la version 4×4 à 29 390 euros (123 g), toujours en Business et à 30 890 euros avec la DSG (129 g). Le break Combi nécessite 1 100 euros supplémentaires pour des consommations et émissions de CO2 identiques à celles de la berline.