Sonia Boury, cogérante, Ze Plombier : « 100 à 200 euros par mois de réparations pour nos vélos »
Pour travailler dans le centre de Nantes, l’entreprise de plomberie Ze Plombier réalise tous ses déplacements avec six vélos à assistance électrique, triporteurs ou biporteurs.
« Pour nos vélos biporteurs et triporteurs, les entretiens courants sont variés : depuis le resserrage des rayons jusqu’au changement de pneus. Le plus ancien de nos vélos, qui a neuf ans, est passé par plusieurs recadrages : nous avons ressoudé des éléments du cadre et nous avons changé l’assistance électrique. Les entretiens courants sont assurés par un professionnel, comme pour des véhicules classiques à quatre-roues. Depuis peu, les six vélos du parc sont équipés de freins à disque, ce qui a permis de réduire notablement le budget des réparations. Aujourd’hui, ce budget va 100 à 200 euros par mois tout compris pour toute la flotte.
Mais...
« Pour nos vélos biporteurs et triporteurs, les entretiens courants sont variés : depuis le resserrage des rayons jusqu’au changement de pneus. Le plus ancien de nos vélos, qui a neuf ans, est passé par plusieurs recadrages : nous avons ressoudé des éléments du cadre et nous avons changé l’assistance électrique. Les entretiens courants sont assurés par un professionnel, comme pour des véhicules classiques à quatre-roues. Depuis peu, les six vélos du parc sont équipés de freins à disque, ce qui a permis de réduire notablement le budget des réparations. Aujourd’hui, ce budget va 100 à 200 euros par mois tout compris pour toute la flotte.
Mais ce qui peut poser problème, c’est d’obtenir des pièces détachées dans les plus brefs délais. De plus en plus de marques françaises se lancent dans la fabrication de triporteurs, mais les moteurs restent le plus souvent de marque allemande. J’étudie la possibilité de nous tourner vers des vélos en kit pour les prochaines acquisitions, de manière à disposer plus facilement des éléments nécessaires aux réparations.
Autre frais incontournable pour cette flotte : une assurance contre le vol, d’une cinquantaine d’euros annuellement. Mais jusqu’ici, personne n’a encore eu l’idée de s’enfuir au guidon d’un de nos deux ou trois-roues ! »
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