« Avec des métiers liés à la transition énergétique, le groupe mène des actions pour le bien-être des citoyens et le groupe fait partie de l’alliance pour la relance verte », indique-t-il. Par le biais de l’autopartage, Spie ICS veut jeter des passerelles avec un secteur numérique responsable. « La transformation numérique ne doit pas aller à l’encontre de l’environnement », ajoute Emmanuel Houdaille.
Une expérience d’autopartage en conditions réelles
Pour son expérience de l’autopartage en conditions réelles, Spie ICS propose à ses collaborateurs quatre voitures électriques et quatre vélos à assistance électrique (VAE). Pour des raisons de...
« Avec des métiers liés à la transition énergétique, le groupe mène des actions pour le bien-être des citoyens et le groupe fait partie de l’alliance pour la relance verte », indique-t-il. Par le biais de l’autopartage, Spie ICS veut jeter des passerelles avec un secteur numérique responsable. « La transformation numérique ne doit pas aller à l’encontre de l’environnement », ajoute Emmanuel Houdaille.
Une expérience d’autopartage en conditions réelles
Pour son expérience de l’autopartage en conditions réelles, Spie ICS propose à ses collaborateurs quatre voitures électriques et quatre vélos à assistance électrique (VAE). Pour des raisons de sécurité, ces VAE sont réservés aux parcours personnels et aux trajets du domicile au travail à l’exclusion des utilisations professionnelles. Avec ce test, le groupe poursuit plusieurs objectifs : changer la culture individuelle et la culture d’entreprise autour de la mobilité, réduire l’impact environnemental, fidéliser et attirer les talents et diminuer les coûts de transport.
Des indicateurs à étudier
Le test durera de juin à décembre, soit six mois à l’issue desquels Spie ICS décidera de la généralisation de l’autopartage à ses différents sites. Plusieurs indicateurs seront étudiés : la sensibilité et l’intérêt des collaborateurs à travers des sondages réguliers, les émissions de CO2 déjà étudiées aujourd’hui et la baisse des coûts.