
Sur ce segment des SUV citadins et polyvalents, l’hybridation bat son plein, avec des hybrides qui fleurissent de toutes parts. Ainsi, le Renault Captur de deuxième génération, né fin 2019, offre deux motorisations hybrides : le HEV de 145 ch/107 g à 28 400 euros, et le PHEV de 160 ch/30 g à 36 950 euros. Renault se permet alors de faire l’impasse sur le diesel, contrairement à Peugeot. Autre version intéressante : le Captur TCe 100 ch/119 g à 25 050 euros. L’accès à la gamme se fait avec le 3-cyl. essence 1.0 TCe de 90 ch/132 g, à 23 400 euros. Enfin, le 4-cyl. 1.3 TCe de 140 ch/130 g est à 28 000 euros, et à 30 500 euros en 160 ch/131 g...
Sur ce segment des SUV citadins et polyvalents, l’hybridation bat son plein, avec des hybrides qui fleurissent de toutes parts. Ainsi, le Renault Captur de deuxième génération, né fin 2019, offre deux motorisations hybrides : le HEV de 145 ch/107 g à 28 400 euros, et le PHEV de 160 ch/30 g à 36 950 euros. Renault se permet alors de faire l’impasse sur le diesel, contrairement à Peugeot. Autre version intéressante : le Captur TCe 100 ch/119 g à 25 050 euros. L’accès à la gamme se fait avec le 3-cyl. essence 1.0 TCe de 90 ch/132 g, à 23 400 euros. Enfin, le 4-cyl. 1.3 TCe de 140 ch/130 g est à 28 000 euros, et à 30 500 euros en 160 ch/131 g avec la boîte double embrayage RDC.



Les gammes Stellantis
Pour sa part, Peugeot propose donc toujours le diesel. Son 2008 en 1.5 BlueHDi, de 110 ch/116-120 g, débute à 26 150 euros, ou à 31 250 euros en 130 ch/125-128 g et boîte auto. En essence, le 3-cyl. 1.2 PureTech de 100 ch/122-125 g commence à 24 150 euros, puis à 25 950 euros en 130 ch/124-128 g et boîte manuelle (28 750 euros et 133-137 g en boîte auto).
Bâti sur la même plate-forme, le DS 3 Crossback emprunte le 1.2 PureTech de 100 ch/126 g, à 27 000 euros (31 400 euros en Business). Il passe à 30 120 euros en 130 ch/135 g et boîte auto (34 520 euros en Business). En diesel, le 1.5 BlueHDi de 110 ch/118 g coûte 28 000 euros (34 200 euros en Business) et 34 900 euros en 130 ch/134 g et boîte auto.
L’Opel Mokka, fabriqué sur la même plate-forme, reprend ces motorisations avec le 1.2 turbo-essence de 100 ch/125-127 g à 23 850 euros (26 800 euros en Élégance Business). En 130 ch/124-126 g et boîte manuelle, il débute à 26 850 euros (28 150 euros en Élégance Business) et à 29 000 euros avec la boîte auto à 132-134 g (30 300 euros en Élégance Business). Enfin, le diesel 1.5 BlueHDi de 110 ch/116-118 g, en boîte manuelle, est à 27 950 euros (29 250 euros en Élégance Business).
Conçu sur la plate-forme plus ancienne de la C3, le Citroën C3 Aircross reprend tout de même le 1.2 PureTech essence de 110 ch/132 g (100 ch chez ses cousins), à 22 350 euros (25 900 euros en 130 ch/139 g et boîte auto). Mais aussi le diesel 1.5 BlueHDi à 24 950 euros en boîte manuelle de 110 ch/122 g, et à 29 100 euros en boîte auto de 120 ch/134 g.
Son cousin Opel Crossland partage cette plate-forme et emprunte le 1.2 essence en 110 ch/130-135 g, à 24 000 euros (26 450 euros en Élégance Business). En 130 ch/137-141 g et boîte auto, il est à 27 550 euros ou à 29 050 euros en Élégance Business. Enfin, en 1.5 turbo-diesel de 110 ch/120-125 g, ce SUV citadin débute à 26 650 euros ou 28 150 euros en Élégance Business.

VW se décline
Le groupe Volkswagen n’est pas en reste et décline sa plate-forme MQB A0, non hybridable et non électrifiable. Le T-Cross offre donc un accès à des prix raisonnables, même si les prestations ne sont pas optimales en consommation et en CO2. Le 3-cyl. 1.0 TSI de 95 ch, à 24 665 euros et à 26 215 euros en Life Business, pointe à 130-147 g au minimum. En 110 ch et boîte manuelle toujours, le CO2 atteint 131-149 g, pour 25 420 euros ou 26 970 euros en Life Business. En boîte auto, il grimpe à 141-157 g, dissuasif, et le prix à 27 160 euros ou 28 710 euros en Lounge Business.
La déclinaison du T-Cross chez Skoda, le Kamiq, débute à 122-126 g en 95 ch pour 22 260 euros (26 900 euros en Business). En 110 ch, le CO2 reste inchangé pour 25 410 euros (27 650 euros en Business). En boîte double embrayage, il monte à 132-140 g et 26 960 euros (29 200 euros en Business). Le Kamiq y ajoute le 4-cyl. 1.5 TSI de 150 ch/134-143 g en boîte auto, à 28 610 euros (30 850 euros en Business).
Kamiq et Arona
Autre déclinaison chez Seat : l’Arona reprend ces motorisations avec, en accès à la gamme, le 1.0 TSI de 95 ch/123-128 g, à 18 490 euros (23 950 euros en Style Business). En 110 ch, il descend à 120-127 g mais son prix augmente à 27 200 euros (24 450 euros en Business). En boîte auto à 135-141 g, comptez 28 700 euros (25 950 euros en Business). Enfin, le 1.5 TSI de 150 ch DSG7 affiche 140-145 g, à 30 000 euros (pas de Business).
En revanche, l’Audi Q2 n’est pas un clone de cette famille. Sa plate-forme MQB est celle des A3 et Golf, avec des motorisations plus puissantes et une transmission intégrale Quattro. Le Q2 a aussi droit à deux diesel, le 2.0 TDI en 116 ch/125-128 g et boîte manuelle, à 33 520 euros (34 720 euros en Business Line) ; ou en boîte auto à 126-136 g et 35 670 euros (36 870 euros en Business Line). En 150 ch (boîte auto), ce 2.0 TDI passe à 132-137 g et 41 660 euros (pas de Business Line), et à 145-153 g et 43 810 euros en Quattro. Autre motorisation : le 3-cyl. 1.0 turbo-essence (110 ch/132-135 g) coûte 31 560 euros (32 760 euros en Business Line). En 4-cyl. 1.5 TSI de 150 ch/133-148 g et boîte manuelle, il passe à 32 620 euros (34 820 euros en Business Line). La boîte double embrayage S-Tronic 7 porte le CO2 à 137-150 g, pour 35 770 euros (36 970 euros en Business Line).
Dans ce segment, on peut aussi placer le Volkswagen T-Roc avec ses 4,23 m de long. Restylé, il s’équipe d’une version Evo2 du 1.5 TSI de 150 ch avec un CO2 à 115-120 g. Il débute à 31 230 euros en boîte manuelle (32 355 euros en Life Business) et à 33 425 euros et 123 g en boîte auto (34 550 euros en Life Business). Plus abordable, le 3-cyl. 1.0 TSI de 110 ch/136-164 g coûte 28 870 euros et 29 995 euros en Life Business. Ce T-Roc n’a pas renoncé au diesel. Le 2.0 TDI de 116 ch/123-145 g pointe à 33 120 euros (34 245 euros en Life Business) et à 37 415 euros en 150 ch/128-145 g et boîte auto (38 540 euros en Life Business). Pour 42 135 euros, cette dernière version bénéficie de la transmission 4Motion (145-172 g).
Le T-Roc s’est adjoint un grand frère, le Taigo (4,27 m de long, soit 4 cm de plus), mais basé sur la plate-forme MQB-A0 de la Polo. Avec l’objectif d’en offrir plus pour moins cher, quitte à faire l’impasse sur des motorisations hybridées ou à transmission 4×4. C’est donc le 3-cyl. 1.0 TSI qui est proposé. En 95 ch/124-144 g et boîte manuelle, il coûte 24 590 euros (26 195 euros en Life Business). En 110 ch/123-145 g, comptez 25 460 euros (27 045 euros en Life Business), et 27 240 euros pour 133-152 g en boîte double embrayage DSG7 (28 845 euros en Life Business). Enfin, le 1.5 TSI d’ancienne génération et boîte DSG7 émet 138-156 g, à 33 045 euros (pas de Business).
Les gammes coréennes
Concurrents redoutés, Hyundai et Kia alignent des gammes renouvelées, compétitives et hybridées. À 18 150 euros, le Hyundai Bayon, avec son 4-cyl. 1.2 de 84 ch/126 g, ouvre la gamme des SUV citadins. Plus recommandable, le 3-cyl. 1.0 turbo-essence de 100 ch/118-121 g, à hybridation de 48 V, débute à 20 150 euros en boîte manuelle (23 100 euros en Business), et à 23 900 euros, pour 119-120 g, en boîte auto (24 400 euros en Business).
Plus polyvalent, le Kona adopte ce 3-cyl. 1.0 turbo-essence MHEV de 48 V mais en 120 ch/129-139 g, à 24 350 euros (25 000 euros en Business). Le diesel et la transmission 4×4 ont disparu en 2022, mais pas le full hybrid FHEV, avec son 1.6 essence de 105 ch et un moteur électrique de 43 ch. À 112-115 g, comptez 27 000 euros (29 400 euros en Business).
Le Kia Stonic partage leur plate-forme. Avec le 1.0 turbo-essence de 100 ch, il débute à 20 490 euros et 124-133 g en boîte manuelle, et à 23 490 euros et 125-135 g en boîte auto. En 120 ch et en hybridation légère de 48 V, il recule à 119-128 g, pour 23 590 euros. En boîte à double embrayage, le CO2 augmente légèrement à 121-129 g, pour 24 790 euros.

Le Puma E85
Sur ce segment convoité, Ford fait valoir son Puma sur la base de la Fiesta. Ce dernier en reprend le 3-cyl. 1.0 de 125 ch avec une hybridation légère de 48 V et une carburation à l’E85. À 118-120 g en roues de 18 ’’ (127 g en 19 ’’), il commence à 24 900 euros en Titanium et à 26 850 euros en Titanium Business. Sa version en boîte auto, qui ne fonctionne pas à l’E85, émet 129-135 g (+ 2 000 euros). Le diesel a disparu.
Chez Toyota, la Yaris Cross « Made in France » a pris son envol cette année avec son full hybrid FHEV de 117 ch/100-114 g, à 26 900 euros (28 400 euros en Business). En configuration dite 4×4, cette motorisation se dote d’un petit moteur électrique sur le train arrière, qui fonctionne sur terrain glissant et se déconnecte au-delà de 60 km/h. À 106-116 g, ce Yaris Cross 116h AWD coûte 30 900 euros (30 400 euros en Business).
Chez Nissan, le Juke s’équipe du full hybrid HEV venue du Captur E-Tech dont il partage la plate-forme. À 114-117 g pour 143 ch, son prix débute à 31 450 euros (32 950 euros en Business +). Le 3-cyl. 1.0 essence de 114 ch/132-136 g descend à 22 190 euros (25 390 euros en Business Edition). En boîte auto, il passe à 137-141 g et 26 090 euros (27 090 euros en Business Edition).
En entrée de gamme, Fiat propose toujours son SUV citadin 500X à 25 290 euros en 3-cyl. 1.0 essence de 120 ch/143-149 g, hors-jeu en entreprise. Plus convenable à 29 790 euros : le récent 4-cyl. 1.5 turbo-essence de 130 ch/129-145 g à hybridation légère MHEV de 48 V et boîte auto uniquement. Fiat maintient aussi son 1.6 MJT turbo-diesel de 130 ch/133-134 g, à 31 290 euros.

500X ou Renegade ?
Basé sur la même plate-forme et fabriqué dans la même usine en Italie, le Jeep Renegade reprend ce 1.5 turbo-essence MHEV de 48 V et 130 ch en 4×2, à 130-139 g et 30 450 euros. En 4×4, les plus anciennes versions FHEV reposent sur le 1.3 turbo-essence de 130 ch plus 60 ch électriques, soit 190 ch/55-56 g, à 41 900 euros (45 600 euros en 240 ch/45-48 g).
Enfin, Suzuki a récemment restylé son Vitara avec le 1.4 Boosterjet MHEV de 48 V en 129 ch/121-125 g, à 24 190 euros, et à 132-136 g pour 27 390 euros en Allgrip 4×4. Le 1.5 Dualjet Hybrid de 130 ch (102 ch essence + 33 ch électriques) accompagne la boîte auto, à 121 g et 30 340 euros. Pour sa part, Honda commercialise son nouveau HR-V depuis avril, à 34 710 euros, avec le 1.5 HEV de 132 ch/122 g.
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