Dans cette catégorie des SUV citadins, les constructeurs misent sur l’hybride, l’électrique, mais aussi le GNV ou encore l’E85 pour faire la différence.
Le tout récent Hyundai Bayon s’équipe du 4-cyl. 1.2 essence atmosphérique de 84 ch en accès à la gamme à 17 850 euros, suivi du 3-cyl. 1.0 de 100 ch et en hybridation MHEV de 48 V, ce qui limite les émissions à 119 g pour 20 150 euros.
Disponible depuis 2020 en PHEV de 160 ch, le RenaultCaptur s’est ainsi enrichi à l’été 2021 d’une version FHEV. Ce full hybrid de 145 ch se passe donc de la batterie de 9,2 kWh et de sa recharge. Ce qui abaisse nettement son prix de 4 550 euros, à 28 200 euros, avec un CO2 à 114 g (30 g en PHEV). Cette version E-Tech Hybride vient pallier l’absence de diesel pour le Captur. Elle complète aussi une offre récente en GPL sur la base du 3-cyl. 1.0 TCe de 100 ch/119 g dont le prix attractif, à 22 450 euros, demeure le meilleur argument.
Si le Peugeot 2008 n’a pas évolué depuis son lancement en 2020, son cousin très proche Opel Mokka a été...
Disponible depuis 2020 en PHEV de 160 ch, le RenaultCaptur s’est ainsi enrichi à l’été 2021 d’une version FHEV. Ce full hybrid de 145 ch se passe donc de la batterie de 9,2 kWh et de sa recharge. Ce qui abaisse nettement son prix de 4 550 euros, à 28 200 euros, avec un CO2 à 114 g (30 g en PHEV). Cette version E-Tech Hybride vient pallier l’absence de diesel pour le Captur. Elle complète aussi une offre récente en GPL sur la base du 3-cyl. 1.0 TCe de 100 ch/119 g dont le prix attractif, à 22 450 euros, demeure le meilleur argument.
Si le Peugeot 2008 n’a pas évolué depuis son lancement en 2020, son cousin très proche Opel Mokka a été renouvelé en 2020, avec les mêmes arguments et motorisations, plate-forme EMP1 et fabrication communes obligent. L’occasion de rappeler le troisième larron DS 3 Crossback E-Tensequi fait valoir une version électrique de 136 ch et 50 kWh de batterie (322 km d’autonomie), à 36 650 euros. Sans oublier le 3-cyl. 1.2 de 100 ch/125 g (21 850 euros), suivi par sa version turbocompressée de 130 ch/124 g (24 850 euros), et le 1.5 BlueHDi de 100 ch/117 g (25 950 euros).
Les français
Chez Citroën, le C3Aircross sorti en 2017 a eu récemment droit à un profond restylage à mi-vie. Avec une face avant digne de son grand frère C5 Aircross, et l’adoption de sièges à mousses renforcées multicouches, vus aussi pour le restylage de la C3. Mais pas de modifications sous le capot. Avec toujours un turbo-diesel 1.5 BlueHDi de 110 ch/120 g (23 000 euros) et de 120 ch/130 g avec la boîte auto EAT6 (27 150 euros). En essence, le 3-cyl. 1.3 PureTech de 110 ch/132 g ouvre le bal à 19 050 euros, complété par le 130 ch/137 g, obligatoirement en boîte auto à 23 950 euros.
Le Taigo à l’attaque
Pour les constructeurs étrangers, la vraie nouveauté est à rechercher chez Volkswagen. Qui ajoute, s’il en était besoin !, un SUV urbain à son catalogue qui comprend déjà les T-Cross (4,10 m de long) et T-Roc (4,22 m). Pour comprendre les positionnements respectifs, sachez que ce Taigo, avec ses 4,27 m de longueur, est donc le plus grand de la famille (c’est la taille d’un petit SUV compact), mais il sera moins cher que le plus luxueux T-Roc. La raison en est simple : ce Taigo est basé sur la plate-forme MQB-A0 des Polo et T-Cross, et lui aussi fabriqué dans l’usine espagnole de Pampelune.
Pour ce Taigo donc, pas de transmission intégrale ou de versions plus sophistiquées hybrides ou rechargeables. Sa gamme est réduite au 1.0 TSI de 95 ch/124 g (23 380 euros) et de 110 ch/123 g (24 200 euros) ; et au 4-cyl. 1.5 TSI de 150 ch/138 g (31 460 euros). Et ne comptez ni sur une hybridation légère en 12 V ou 48 V, ni sur une version GNV.
Restons dans le groupe Volkswagen où le SeatArona s’est offert il y a peu un restylage intérieur et extérieur plutôt réussi. Mais sa palette de motorisations débute toujours avec le 1.0 TSI en 95 ch/124 g (17 990 euros) et en 110 ch/119 g (21 960 euros). Le 4-cyl. 1.5 TSI demeure aussi au catalogue en 150 ch/140 g à 27 960 euros, tout comme une version GNV de 90 ch/103 g à 23 660 euros.
Restylé il y a peu, le Seat Arona débute toujours avec le 1.0 TSI en 95 ch/124 g (17 990 euros) et en 110 ch/119 g (21 960 euros). Suivent le 4-cyl. 1.5 TSI 150 ch/140 g à 27 960 euros, et une version GNV de 90 ch/103 g à 23 660 euros.
GNV ou E85 ?
À propos de carburant alternatif, passons au Ford Puma. Qui s’est récemment enrichi d’une version Flexifuel au super-éthanol E85 pour le 1.0 Ecoboost de 125 ch, mais sans l’hybridation MHEV de 48 V réservée à la Focus (voir ci-dessous). Le CO2 passe donc de 126 g à 76 g après abattement de 40 % pour le calcul du malus, pour 23 300 euros. Mais c’est surtout le coût d’usage qui sera recherché avec un prix du litre divisé par deux pour l’E85 par rapport à l’E95 et ce, malgré la surconsommation de 25 %.
Saluons aussi l’arrivée d’une concurrente japonaise fabriquée en France, la Toyota Yaris Cross, version crossover de la Yaris et elle aussi sortie de l’usine d’Onnaing (59). Cette Yaris Cross s’allonge de 24 cm par rapport à la Yaris, pour atteindre 4,18 m avec une largeur et une hauteur augmentées elles aussi. Sous le capot, on retrouve le full hybrid de la Yaris de 116 ch issus du 1.5 essence de 92 ch, aidé par un moteur électrique de 79 ch. Le tout émet de 102 à 110 g pour 25 500 euros.
Enfin, chez les coréens dont la grande majorité des modèles sont fabriqués sur le continent européen, il faut noter la commercialisation au printemps dernier du Hyundai Bayon. Ce petit SUV complète la gamme du Kona, un peu à l’instar de Volkswagen avec son Taigo. En effet, ce Bayon, avec ses 4,18 m de long, est tout aussi compact que le Kona dans ses 4,20 m, mais pour un prix inférieur de 1 800 euros, plate-forme de l’i20 et fabrication en Turquie obligent. Pas de diversification des motorisations : on retrouve le 4-cyl. 1.2 essence atmosphérique de 84 ch en accès à la gamme à 17 850 euros, suivi du 3-cyl. 1.0 de 100 ch et en hybridation MHEV de 48 V, ce qui limite les émissions à 119 g pour 20 150 euros.
Toute récente, la Toyota Yaris Cross, version crossover de la Yaris, emprunte le full hybrid de la Yaris de 116 ch issus du 1.5 essence de 92 ch, aidé par un moteur électrique de 79 ch. Le tout émet de 102 à 110 g pour 25 500 euros.
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