
Les prix s’entendent TTC, « à partir de » et hors bonus ou aides de l’État. Les CO2 sont indiqués en WLTP et, quand elle est communiquée, avec la fourchette du moins émetteur au plus émetteur selon la finition. Attention donc à la finition Business, souvent mieux équipée que l’accès à la gamme et parfois dans une tranche de CO2 moins favorable.
La première version du Peugeot 3008 est donc une simple traction de 225 ch tirés du 1.6 Puretech essence de 180 ch, plus un moteur électrique de 110 ch sur le train avant. Soit 31-33 g pour 44 300 euros en Allure et 45 850 euros en Allure Business. La seconde version ajoute à cet ensemble un second...
Les prix s’entendent TTC, « à partir de » et hors bonus ou aides de l’État. Les CO2 sont indiqués en WLTP et, quand elle est communiquée, avec la fourchette du moins émetteur au plus émetteur selon la finition. Attention donc à la finition Business, souvent mieux équipée que l’accès à la gamme et parfois dans une tranche de CO2 moins favorable.
La première version du Peugeot 3008 est donc une simple traction de 225 ch tirés du 1.6 Puretech essence de 180 ch, plus un moteur électrique de 110 ch sur le train avant. Soit 31-33 g pour 44 300 euros en Allure et 45 850 euros en Allure Business. La seconde version ajoute à cet ensemble un second moteur électrique de 110 ch sur le train arrière, le tout développant 300 ch pour 29-31 g. Ce 3008 Hybrid4 300e n’est commercialisé qu’à partir de la finition GT Line à 51 950 euros.
Le 3008 garde la tête…
Plus classiquement, le 1.5 BlueHDi de 130 ch/136-138 g est au programme à 32 450 euros en Active et 33 350 euros en Active Business. L’excellente boîte auto EAT8 nécessite pas moins de 2 050 euros supplémentaires pour 135-137 g. S’ajoute à cela le 2.0 BlueHDi de 180 ch/161-165 g, uniquement en EAT8 et en finition haute GT Line à 42 850 euros ou 42 450 euros en Allure Business. Cette motorisation ne devrait pas être reconduite sur le 3008 restylé en 2021.
Enfin, en essence pour ce 3008, le 1.6 PureTech officie toujours en 130 ch/145-148 g pour 28 150 euros en Access et 31 150 euros en Active Business. La boîte EAT8 nécessite 2 050 euros de plus pour un CO2 qui augmente également à 151-153 g. Sa déclinaison en 180 ch/165-166 g et EAT8 est logiquement proposée en GT Line à 39 650 euros mais pas en Business.

Basé sur la même plate-forme EMP2 du Groupe PSA, le Citroën C5 Aircross (4,50 m de long) en reprend les motorisations dont récemment l’hybride rechargeable 225e à 32-33 g et 39 950 euros en Feel et Business Feel. La marque aux chevrons fait l’impasse sur la version de 300 ch et transmission intégrale, son positionnement étant plus « populaire » avec des prix plus serrés. L’essence 1.6 PureTech de 130 ch/149-154 g s’affiche donc à 25 700 euros en Live et 29 350 euros en Business. La boîte auto EAT8 nécessite 2 050 euros supplémentaires à 154-155 g. Le 180 ch/164-168 g et boîte auto est aussi de la partie à 36 350 euros en Shine et 36 400 euros en Business Plus.
… devant les C5 Aircross et Grandland X
En diesel pour ce C5 Aircross, le BlueHDi de 130 ch/138-142 g offre un accès à la gamme à 28 100 euros en Live et 31 750 euros en Business. Et la boîte EAT8 est toujours facturée 2 050 euros en plus (137-141 g). Le 180 ch turbo-diesel demeure au catalogue jusqu’à nouvel ordre à 38 800 euros en Business Plus (163-167 g).

Citons enfin le troisième et récent avatar de cette plate-forme PSA avec l’Opel Grandland X (4,48 m de long) qui a droit pour sa part aux deux motorisations hybrides rechargeables. La version Hybrid 225 ch/31-37 g débute à 42 200 euros en Edition et 43 250 euros en Business ; la version Hybrid 330 ch/30-36 g est à 49 850 euros en Elite (pas de Business).
En essence, le Grandland X fait valoir son petit 1.2 turbo Opel de 130 ch/146 g à 27 800 euros en Edition et 29 750 euros en Edition Business, mais aussi le 1.6 turbo-essence de 180 ch/164 g à 37 650 euros en Elite, uniquement en EAT8. Avec la boîte auto, ce moteur passe à 151 g et 31 650 euros, toujours en Edition Business. Le 1.5 turbo-diesel pointe à 130 ch/136 g (29 800 euros en Edition et 31 850 euros en Edition Business). Il est complété par le 2.0 turbo-diesel de 177 ch BVA/148 g (39 350 euros en Elite) et le 1.6 turbo-essence de 180 ch/164 g à 37 650 euros en Elite, uniquement en EAT8.

Chez Renault, le Kadjar (4,45 m de long) n’a jamais réussi à inquiéter le 3008 et il doit encore patienter une bonne année pour être renouvelé en 2022. Et ce, sur la base de la récente plate-forme eCMP de la Mégane, qu’inaugure début 2021 la troisième génération de son cousin Qashqai (voir ci-après).
Ce Kadjar fait valoir ses prix serrés et ses motorisations sobres avec le 1.5 Blue dCi de 115 ch/131-137 g, accessible à 30 000 euros tout rond en Zen et 31 200 euros en Business. La boîte double embrayage EDC fait baisser le CO2 à 129 g mais accroît le prix de 2 000 euros. Ce moteur est complété par l’excellent 1.7 Blue dCi de 150 ch/141 g, uniquement en boîte manuelle, c’est dommage, pour 36 200 euros en Intens (non disponible en Business). Sa version 4×4 pousse le CO2 à 158 g pour 2 000 euros.
Prix serrés pour le Kadjar
En essence, la gamme se veut aussi assez simple avec le 1.3 TCe de 140 ch/149-153 g à 32 000 euros en Intens et 29 700 euros en Business. La boîte EDC fait reculer le CO2 d’un gramme mais nécessite 2 000 euros de plus. Ce 1.3 TCe se décline aussi en 160 ch/153 g et EDC à 35 400 euros en Intens.

Chez Nissan, on fait durer la seconde génération du Qashqai (4,39 m de long), en attendant la prochaine version début 2021 sur la plate-forme eCMP de la Mégane et du futur Kadjar donc. Celle-ci autorisera des motorisations hybrides et hybrides rechargeables qui élimineront définitivement les diesel. Pour l’heure, vous pouvez profiter de la palette de motorisations traditionnelles dont l’excellent 1.5 dCi de 115 ch/139-146 g à 26 600 euros en Visia et 30 550 euros en Business Edition. La boîte EDC double embrayage nécessite 1 700 euros supplémentaires pour 138-143 g. Le 1.7 dCi de 150 ch/144-151 g est bien entendu toujours de mise à 31 850 euros en Acenta et 33 200 euros en Business Edition.
Le Qashqai fait ses gammes
Ce moteur existe aussi en transmission intégrale 4×4 pour 1 900 euros en plus, le CO2 passant à 155-161 g. Contrairement au Kadjar, ce Qashqai peut aussi adopter la boîte auto X-Tronic à variateur continu mais avec un CO2 pas très compétitif : 172-183 g. Son prix débute alors à 35 450 euros en Acenta et 36 800 euros en Business Edition. En essence, le 1.3 DOG-T de 140 ch/154-162 g ouvre un accès à la gamme à 24 950 euros en Visia et 28 900 euros en Business Edition. Il est complété par sa version de 160 ch/153-162 g, pas plus gourmande donc, et moyennant 2 350 euros en sus.

Le groupe Volkswagen joue aussi la carte des plates-formes partagées, la MQB servant tout autant au T-Roc qu’à l’Ateca et au Karoq, tous trois récemment restylés et remotorisés (voir ci-après).
Le T-Roc (4,23 m de long) a droit en essence au 3-cyl. 1.0 TSI revenu à 110 ch contre 115 ch jusque-là, favorisant un CO2 à 118 g pour un accès à 26 210 euros en Lounge et 27 710 euros en Lounge Business. Le 1.5 TSI Evo à désactivation de cylindres, de 150 ch/140-162 g, est toujours de la partie à 28 390 euros ou 29 890 euros en Lounge Business. La boîte DSG7 est facturée 2 020 euros pour 150-165 g.
En diesel pour ce T-Roc, le 1.6 TDI de 115 ch s’équipe dorénavant d’un réservoir d’AdBlue et son CO2 grimpe à 138-156 g ; son prix est de 30 130 euros en Lounge et 31 630 euros en Lounge Business. Le 2.0 TDI de 150 ch/141-160 g est à 32 120 euros en Lounge et 33 620 euros en Lounge Business. La boîte DSG7 (+ 2 020 euros) pousse le CO2 à 146-169 g et la version 4Motion 4×4 l’accroît encore à 167-184 g pour 37 720 euros en Lounge Business.

VW au complet
Le Seat Ateca (4,36 m de long) vient de s’offrir un restylage et troque ses anciens turbo-diesel, dont le 1.6 TDI de 115 ch, pour le récent et plus propre 2.0 TDI en 150 ch à 33 790 euros en Business. En essence, on retrouve le 3-cyl. 1.0 TSI de 115 ch/148 g à 28 090 euros en Business, le 4 cyl. 1.5 TSI de 150 ch/145 g à 29 690 euros en Business et le 2.0 TSI de 190 ch/143 g à 39 070 euros en Xperience. En revanche, toujours pas d’hybridation de 48 V en essence, a fortiori d’hybride rechargeable.

Le Skoda Karoq (4,38 m de long) suit le même chemin avec son 1.0 TSI 116 ch/131-161 g à 27 740 euros en Ambition et 29 320 euros en Business. Le 150 ch/128-164 g TSI à désactivation de cylindres s’affiche à 29 750 euros et à 31 330 euros en Business. Avec la boîte DSG7, il passe à 33 110 euros en Business, avec un grammage inchangé. En diesel pour le Karoq, le 1.6 TDI de 116 ch/130-156 g débute à 31 020 euros en Ambition et 32 600 euros en Business. La boîte DSG7 fait grimper le CO2 à 139-165 g et le prix à 34 270 euros en Business. Enfin, le 2.0 TDI de 150 ch/132-159 g est à 32 690 euros en Ambition et 34 270 euros en Business. La transmission intégrale, sur ce 150 ch/155-185 g, nécessite 39 520 euros en finition Scout au style baroudeur ; et 40 690 euros en 2.0 TDI de 190 ch/155-185 g en Scout.

Un C-HR plus puissant
Pour sa part, le Toyota C-HR (4,36 m de long), restylé fin 2019, a adopté une seconde motorisation hybride plus puissante : le 2.0 de 184 ch/119 g à 33 080 euros en Dynamic Business. Le 1.8 de 122 ch/109 g reste au catalogue à 31 080 euros en Dynamic Business (voir l’essai flash ci-dessus).

Un peu plus dans le premium, Mini fait valoir sa Countryman (4,30 m de long) légèrement restylée en 2020. Avec son hybride rechargeable SE de 220 ch/39-47 g (125 ch du 1.5 turbo-essence plus 95 ch électriques sur le train arrière) à 40 600 euros en Cooper SE et 43 000 euros en Business Design. À l’opposé, la Cooper essence de 102 ch/142-158 g commence à 29 100 euros (+ 3 000 euros en Business Design) alors que la One D et son 1.5 turbo-diesel 3-cyl. de 116 ch/128-143 g pointe à 30 100 euros (+ 3 000 euros en Business Design). Le 2.0 turbo-diesel de 150 ch/128-149 g tire la note à 33 100 euros (+ 3 000 euros en Business Design), avec 2 000 euros supplémentaires pour la version à transmission intégrale (141-156 g). Une version de 190 ch de ce 2.0 turbo-diesel est au programme à 37 700 euros (135-148 g) et 39 700 euros en 4×4 (144-157 g).

Ces motorisations se glissent sous le capot avant du BMW X1 (4,44 m de long) récemment restylé et de sa déclinaison coupé X2 (4,36 m) qui partagent cette plate-forme UKL. Le X1 xDrive25e hybride rechargeable aligne 220 ch/39-47 g pour 46 650 euros et 48 950 euros en Business Line. Le X2 xDrive25e émet 38-44 g pour 49 000 euros en Première et pas moins de 51 400 euros en Business Design.
Toujours en essence mais sans hybridation, le X1 sDrive18i de 140 ch revient à 32 950 euros en Lounge et 35 250 euros en Business Design. Avec le 2.0, sa puissance passe à 192 ch/155-172 g pour 42 850 euros en Business Design. Le X2 nécessite 2 300 euros supplémentaires avec ces motorisations, tout comme en diesel. Ainsi, le X1 sDrive16d et son 3-cyl. 1.5 de 116 ch/128-149 g s’affichent à 34 500 euros en Lounge et 36 800 euros en Business Design. En 150 ch/132-156 g, comptez 39 400 euros en Business Design pour le X1 sDrive18d et 41 450 euros en transmission intégrale xDrive à 144-162 g. Enfin, le 190 ch/147-163 g du X1 xDrive20d est à 46 800 euros en Business Design, et 49 100 euros pour le X2 du même métal.
La réponse de Mercedes
Mercedes ne s’est pas laissé impressionner par cette cavalerie bavaroise dédoublée et a lancé au printemps 2020 son dernier GLA. Qui s’émancipe enfin de sa carrosserie de crossover pour un vrai format de SUV compact avec ses 4,41 m de long. La nouvelle plate-forme MFA commune à la Classe A/B et au GLB autorise bien entendu une motorisation hybride rechargeable lancée début 2021.
Pour l’heure, il faudra miser sur le GLA 200 et son 1.3 essence commun à Renault de 163 ch/148-168 g et boîte DCT7 à 41 900 euros en Progressive Line et 42 300 euros en Business Line. En diesel, le 1.5 turbo-diesel Renault développe 150 ch/138-153 g en DCT8 pour 42 800 euros et 43 200 euros en Business Line. Il est complété par le 2.0 turbo-diesel de 190 ch/145-162 g de Daimler et uniquement en transmission intégrale et boîte DCT8 à 51 000 euros en AMG Line.

Terminons ces SUV compacts premium avec le Range Rover Evoque de seconde génération (4,37 m de long). Qui reprend le 2.0 turbo-diesel Ingenium de 150 ch/165-176 g en 4×2 (39 750 euros, 41 400 euros en Business) et passe à 178-194 g en 180 ch, obligatoirement en 4×4 et BVA (48 750 euros en Business). Enfin, les 240 ch se font payer cher : 181-196 g et 52 750 euros en Business. Depuis peu, cet Evoque II a aussi pour lui sa version P300e hybride rechargeable de 309 ch cumulés, qui fait retomber le CO2 à 32-38 g pour 52 550 euros.

Evoque ou E-Pace ?
Citons aussi son cousin Jaguar avec son E-Pace (4,39 m de long) qui reprend cette gamme de motorisations et de transmissions 4×2 ou 4×4 : 2.0 TD de 150 ch/143 g à 42 000 euros, 41 750 euros en 180 ch/149 g et 55 700 euros en 240 ch/174 g. Mais la plate-forme plus ancienne ne permet pas d’accueillir l’hybride rechargeable.

Revenons aux constructeurs généralistes et plus particulièrement asiatiques aux prétentions premium pour la qualité de présentation avec Kia et son Niro (4,38 m de long). Un Niro intelligemment décliné en hybride simple de 141 ch/109 g (1.6 essence de 105 ch plus 43 ch électriques) à 31 640 euros en Active Business. Mais aussi en hybride rechargeable avec la même mécanique et 31 g seulement (38 640 euros en Active Business). On ajoutera la version 100 % électrique et ses deux batteries : 39,2 kWh à 39 150 euros ou 64 kWh à 43 150 euros, toujours en Active Business.

Kia aligne aussi son Sportage (4,48 m de long) mais uniquement en 1.6 CRDi équipé d’une hybridation légère mHEV de 48 V sur le 115 ch/110 g à 31 290 euros en Active Business et sur le 136 ch/110 g pour 1 000 euros de plus. En 4×4, ce 1.6 CRDi mHEV de 136 ch passe à 123 g et 34 090 euros. Ce Sportage sera remplacé en 2021 par une prochaine génération pouvant offrir l’hybridation rechargeable et une version 100 % électrique.

Pareil changement de génération pour le Hyundai Tucson (4,48 m de lon) en 2021. Sa gamme se résume aujourd’hui à ce 1.6 CRDi turbo-diesel à hybridation de 48 V en 115 ch/135-138 g (31 600 euros en Business) et en 136 ch/141-148 g à 34 400 euros en Business. Sa version 4×4 passe à 159 g pour 42 200 euros en Executive N-Line.

Un Compass plug-in hybrid
Jeep est un peu plus en avance : son Compass (4,39 m de long) se décline dorénavant en hybride rechargeable 4xe en deux puissances, comme son petit frère Renegade (voir ci-dessus). Le 1.3 GSE T4 de 190 ch est à 47-49 g pour 43 000 euros et sa version en 240 ch/42-46 g pointe à 46 000 euros. Plus classiquement, le 1.6 MJT de 120 ch/146-154 g en 4×2 débute à 31 000 euros (+ 1 500 euros en Business). Le 1.3 GSE T4 de 130 ch essence aligne 152-164 g à 29 500 euros et 153-165 g en 150 ch à 31 500 euros et toujours 1 500 euros de plus en Business.

Signalons aussi le Dacia Duster (4,34 m de long) en 1.5 dCi de 95 ch/128 g à 14 900 euros en finition Access totalement dépouillée. Passez plutôt à la finition Prestige et au 1.5 dCi de 115 ch/131 g pour 19 600 euros, aussi disponible en 4×4 à 147 g et 21 600 euros. Notez une récente version au GPL de 100 ch/126 g à 12 490 euros et 16 950 euros en Prestige (129 g).

Le CX-30 chez Mazda
Chez Mazda, le CX-30 vient épauler le CX-3 avec ses 4,39 m de long et son 1.8 Skyactiv diesel de 116 ch/135 g à 31 500 euros en Business Executive. Il est complété par le 2.0 Skyactiv essence à hybridation légère de 122 ch/141 g à 29 300 euros en Business Executive. Enfin, sa déclinaison plus tonique de 180 ch n’est qu’à 133 g et 31 400 euros, toujours en Business Executive. Et Mazda ne met pas tous ses œufs dans le même panier avec son tout récent MX-30 (4,40 m de long), un crossover électrique de 145 ch au prix de 33 900 euros.

Enfin, le Suzuki S-Cross (4,30 m de long) vient d’adopter en unique motorisation le 1.4 Boosterjet à hybridation légère de 48 V en 129 ch à 127-132 g en 4×2 (24 340 euros) et 139-144 g en 4×4 (27 540 euros).
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