
Le Renault Austral aligne une offre simple mais efficace. L’accès à la gamme passe par le 3-cyl. 1.2 turbo-essence MHEV 48 V de 130 ch/118-128 g, à 35 000 euros et uniquement en boîte manuelle. Suit le 4-cyl. 1.3 TCe MHEV 12 V de 160 ch/139-147 g en boîte auto uniquement, à 36 500 euros. Meilleure vente en entreprises, le 1.2 turbo-essence full hybrid de 130 ch est couplé à un moteur électrique de 67 ch, soit au total 200 ch pour 104-106 g seulement, à 40 000 euros.
Cet Austral est complété par une offre plus ancienne et restylée récemment mais amenée à disparaître en 2025 avec l’Euro 7, l’étonnant Arkana. Un modèle basé sur la plus petite...
Le Renault Austral aligne une offre simple mais efficace. L’accès à la gamme passe par le 3-cyl. 1.2 turbo-essence MHEV 48 V de 130 ch/118-128 g, à 35 000 euros et uniquement en boîte manuelle. Suit le 4-cyl. 1.3 TCe MHEV 12 V de 160 ch/139-147 g en boîte auto uniquement, à 36 500 euros. Meilleure vente en entreprises, le 1.2 turbo-essence full hybrid de 130 ch est couplé à un moteur électrique de 67 ch, soit au total 200 ch pour 104-106 g seulement, à 40 000 euros.
Cet Austral est complété par une offre plus ancienne et restylée récemment mais amenée à disparaître en 2025 avec l’Euro 7, l’étonnant Arkana. Un modèle basé sur la plus petite plate-forme CMF-B, celle du Captur allongée à son maximum (4,57 m). Le 1.6 turbo-essence HEV full hybrid développe 145 ch pour 105-107 g, à 34 000 euros. En essence, le 1.3 TCe de 140 ch/130-132 g est à 32 500 euros ou en 160 ch/132 g à 38 000 euros.



Renault fait ses gammes
Dans le groupe Renault et basé sur cette CMF-B, citons le Dacia Duster dont le remplaçant sera construit sur la plate-forme CMF-CD et commercialisé au printemps 2024. Toujours aussi attractif, ce Duster débute avec le 3-cyl. 1.0 Eco-G au GPL de 100 ch/125 g, à 17 990 euros. En diesel, le 1.5 dCi de 115 ch/127 g débute à 21 450 euros ou, en 4×4, à 23 750 euros pour 139 g. En essence, le 4-cyl. 1.3 TCe de 130 ch/141 g pointe à 20 950 euros ; comptez 23 250 euros avec la boîte double embrayage, toujours à 141 g mais en 150 ch. De son côté, le Nissan Qashqai est bien basé sur la plate-forme CMF-CD de l’Austral mais il en diffère pour son full hybrid HEV ePower : soit un 3-cyl. 1.5 essence de 158 ch, qui sert de générateur à un moteur électrique de 190 ch, seul à entraîner les roues avant. Comptez 117-120 g pour 39 600 euros ou 40 650 euros en Business Edition. Plus classique, le 4-cyl. 1.3 DIG-T en 140 ch/143-146 g boîte manuelle s’affiche à 32 200 euros et 34 700 en Business Edition ; en 158 ch/141-145 g et boîte auto, il passe à 37 800 euros ou 38 850 euros en Business Edition. Une version 4×4 et boîte auto est aussi proposée avec ce 158 ch/155-160 g, à 41 700 euros (pas de Business).
Le Peugeot 3008 a donc fort à faire et son récent restylage n’y change pas grand-chose. En attendant sa nouvelle génération électrifiable sur la plate-forme STLA Medium de Stellantis – l’EMP2 V2 bien connue mais revisitée – qu’il inaugurera début 2024. Pour le 3008 actuel, le nouveau 3-cyl 1.2 turbo-essence Hybrid de 136 ch, avec un moteur électrique de 28 ch, aligne 126-130 g pour 38 870 euros.

3008, C5 Aircross et Grandland
Par ailleurs, ce 3008 fait toujours valoir ses trois PHEV de 180 ch/33 g (46 520 euros), 225 ch/28 g (48 420 euros) et 300 ch/27 g (56 220 euros). Tous se basent sur le 1.6 turbo-essence de 150, 180 et 200 ch plus un moteur électrique de 110 ch et, pour la 300 ch, un second de 113 ch sur le train arrière. En diesel, le 1.5 BlueHDi de 130 ch pointe à 142 g en raison de sa boîte auto obligatoire, pour 40 270 euros. Pour le 1.2 turbo-essence d’ancienne génération de 130 ch, comptez 139 g et 35 320 euros en boîte manuelle, et 145 g et 37 370 euros en boîte auto.
Proche cousin, le Citroën C5 Aircross, restylé début 2022, a aussi droit à ce 1.2 turbo-essence Hybrid de 136 ch, à partir de 129 g (prix à venir). Suit le 1.2 PureTech de 130 ch/141-142 g en boîte manuelle à 33 550 euros, et en boîte auto à 149-152 g pour 36 550 euros. En 1.5 BlueHDi de 130 ch/145-147 g et boîte auto obligatoire, un prix unique : 41 650 euros. Enfin, en 1.6 turbo-essence PHEV, une version de 180 ch/35-36 g à 44 750 euros vient de compléter celle de 225 ch/29-30 g, à 51 200 euros. Notez qu’un pack Business est proposé en PHEV à 700 euros.
Autre cousin proche, l’Opel Grandland fait l’impasse sur le PHEV de 180 ch et propose toujours la version 225 ch/28 g à 48 650 euros en Tech&Design – les finitions Business ont disparu du catalogue. Il y ajoute le PHEV en 300 ch/27-28 g, pour 59 700 euros. Plus classiquement, le 1.2 turbo-essence de 130 ch/138-142 g en boîte manuelle pointe à 36 000 euros, et à 145-149 g et 37 900 euros en boîte auto. En diesel, le 1.5 D de 130 ch/142-145 g est obligatoirement en boîte auto, à 40 050 euros.

L’offre du groupe Volkswagen
Autre groupe, Volkswagen mise toujours sur le Tiguan avec, en accès à la gamme, le 1.5 TSI de 130 ch/143-147 g à 36 000 euros, en baisse de 3 000 euros par rapport à 2022. La version Business a disparu. En 150 ch/151-163 g, ce 4-cyl. est à 43 700 euros, en hausse pour le coup. En diesel 2.0 TDI de 150 ch/144-156 g et boîte DSG7, comptez 42 400 euros, prix en baisse. Enfin, le 1.4 eHybrid de 245 ch/35-42 g est à 49 600 euros, sans hausse. La troisième génération se lancera début 2024. En accès à la gamme, le cousin Skoda Karoq a droit au 3-cyl. 1.0 TSI de 110 ch/132-145 g, à 31 980 euros ou 34 500 euros en Business, des prix très compétitifs. Le 1.5 TSI de 150 ch/138-150 g boîte manuelle pointe à 34 270 euros ou 38 790 euros en Business. En boîte auto et en 150 ch/139-150 g, comptez 36 040 euros et 38 560 euros en Business. En diesel, le 2.0 TDI de 116 ch/124-136 g, uniquement en boîte manuelle, débute à 35 680 euros ou 38 200 euros en Business. Enfin, en 150 ch/150-160 g et boîte auto 4×4, ce Karoq 2.0 TDI est à 46 950 euros.
Pour son frère de lait, le Seat Ateca fabriqué dans la même usine tchèque, la gamme débute aussi avec le 1.0 TSI en 110 ch/138-142 g, à 31 240 euros et 31 935 euros en Business. Le 1.5 TSI Evo de 150 ch/144-155 g, obligatoirement en boîte auto, s’affiche à 35 240 euros ou 35 935 euros en Business. En diesel, le 2.0 TDI en 115 ch/128-139 g est à 35 840 euros ou 36 535 euros en Business. Enfin, en 150 ch/133-140 g et boîte auto, comptez 39 340 euros ou 40 035 euros en Business.

Le Formentor à la manœuvre
Cet Ateca a fort à faire avec son concurrent « maison », le Cupra Formentor, un SUV fabriqué chez Seat et basé sur la plate-forme MQB de la Golf dont il reprend les moteurs les plus puissants et hybridés. On retrouve donc le 1.4 PHEV de 204 ch/27 g, à 47 690 euros et 48 040 euros en Business. En 245 ch/32 g, cet élégant SUV PHEV débute à 52 190 euros en finition VZ. Plus sage, la version 1.5 TSI Evo de 150 ch/142-143 g pointe à 37 990 euros ou 38 295 euros en Business ; avec la boîte DSG7 pour 150-151 g, comptez 39 890 euros ou 40 195 euros en Business. En diesel, le 2.0 TDI de 150 ch/124-126 g est à 41 940 euros, ou 42 245 euros en Business Edition.
Petite révolution chez Toyota : la deuxième génération du C-HR né en 2017 se décline en PHEV de 220 ch/19 g, et plus seulement en full hybrid HEV de 140 ch/103 g ou 200 ch/107 g. Les prix ont été révélés tout récemment. Le C-HR actuel reste au catalogue avec le 1.8 de 122 ch/110-113 g à 33 400 euros ou 34 300 euros en Dynamic Business, et avec le 2.0 de 184 ch/118-121 g à 35 400 euros ou 36 300 euros en Dynamic Business.
Sur la même plate-forme, le cousin Lexus UX reprend le 2.0 de 184 ch/120-128 g, mais à un prix bien plus élevé, à 41 990 euros et 44 290 euros en Business. En 4×4, le CO2 passe à 132-137 g et le prix à 49 390 euros.
Restons parmi les SUV compacts premium avec le récent BMW X1 basé sur la nouvelle plate-forme UKL V2. L’accès à la gamme passe par le 3-cyl. 1.5 turbo-essence de 136 ch/143-160 g, à 42 600 euros ou 46 500 euros en Business Design. Sa version en 170 ch/133-149 g débute pour sa part à 44 600 euros ou 48 500 euros en Business Design. Ensuite, le 4-cyl. 2.0 turbo-essence de 204 ch/146-163 g fait monter les prix à 50 200 euros au minimum, sans finition Business. Le 4-cyl. 2.0 turbodiesel en 150 ch/129-146 g pointe à 45 300 euros ou 49 200 euros en Business Design. Ce 2.0 turbodiesel, poussé à 211 ch/125-141 g et 4×4, nécessite au moins 51 600 euros.

BMW X1 et X2
En PHEV, depuis la nouvelle génération du X1, le 3-cyl. 1.5 turbo-essence aligne 136 ch et le moteur électrique sur le train arrière passe à 109 ch, soit au total 245 ch/15-22 g en xDrive 25e ; comptez 54 800 euros et 58 700 euros en Business Design. En X1 xDrive 30e, le moteur essence affiche 150 ch et le moteur électrique pas moins de 177 ch, soit au cumul 326 ch/16-23 g, pour 57 150 euros ou 61 300 euros en Business Design.
De son côté, le BMW X2 reste basé sur la plate-forme UKL V1 et sa chaîne PHEV de « seulement » 220 ch/37-44 g en X2 xDrive 25e, à 50 700 euros ou 55 000 euros en Business Design. Le 18i de 136 ch/139-158 g essence pointe à 36 350 euros ou 42 100 euros en Business Design. Ce 2.0 turbo-essence passe à 178 ch/145-165 g pour la 20i, à 42 950 euros ou 48 700 euros en Business Design.
En diesel pour le X2, la 16d de 116 ch/131-148 g est à 36 750 euros ou 42 500 euros en Business Design, alors que sa version en 150 ch/129-146 g s’affiche à 39 500 euros ou 42 500 euros en Business Design. Enfin, ce 2.0 turbodiesel poussé à 190 ch/141-164 g est obligatoirement en transmission intégrale xDrive, à 46 850 euros ou 52 600 euros en Business Design. Notez que le X2 Coupé sera remplacé début 2024 par une génération reprenant la plate-forme du X1.
Ce sera aussi le cas de la cousine Mini Countryman lancée fin 2023 sur la plate-forme UKL V2. L’offre actuelle est donc simplifiée avec la disparition du 102 ch essence, du 115 ch diesel et de la finition Business Edition ; seules subsistent les motorisations en boîte auto. Le 3-cyl. 1.5 turbo-essence de 136 ch/142-156 g pointe à 38 800 euros, suivi par le 4-cyl. 2.0 de 150 ch/133-137 g à 41 800 euros. Plus à l’aise, les 2.0 turbo-essence de 178 ch/161-162 g obligatoirement en 4×4 pointent à 44 900 euros et à 48 000 euros en 190 ch/144 g turbodiesel. Et pour 46 000 euros, le PHEV développe 220 ch/39 g.
Pour sa part, Audi fait toujours valoir le Q3 avec le 1.5 TFSI de 150 ch/142-147 g, à 40 070 euros. Sa version en boîte auto à 146-164 g permet d’accéder à la finition Business Executive à 42 790 euros. En diesel, le 2.0 TDI de 150 ch/132-146 g et boîte manuelle débute à 43 140 euros et 44 440 euros en Business Line. Le 1.4 TFSIe PHEV de 245 ch/36-47 g s’affiche à 50 970 euros ou 51 380 euros en Business Executive. En Sportback coupé, comptez 3 000 euros et 2 g à 5 g de plus.

Audi Q3 ou Mercedes GLA
De son côté, Mercedes a restylé le GLA au printemps 2023. En accès à la gamme, le GLA 200, avec son 1.3 turbo-essence boîte auto de 163 ch/151 g, pointe à 43 800 euros ou 44 750 euros en Business Line, en baisse de presque 2 000 euros, c’est rare pour un restylage. En 2.0 turbodiesel et boîte auto sur toute la gamme, une nouvelle petite puissance est proposée à 116 ch/140 g en 180d, à 44 700 euros ou 45 650 euros en Business Line. Ensuite, le GLA 200d est toujours à 150 ch/140 g, à 46 450 euros ou 47 400 euros en Business Line. Le GLA 220d 4Matic pousse à 190 ch/148 g, pour 53 150 euros ou 54 100 euros en Business Line. Pour le PHEV de 218 ch (160 ch turbo-essence + 102 ch électriques, batterie de 15,6 kWh), le CO2 est à 18 g seulement ; le prix débute à 54 100 euros ou 55 050 euros en Business Line, sans changement par rapport à 2022.
Passons à Volvo qui a renoncé au diesel, même PHEV, pour son XC40 au printemps 2023, au profit de l’électrique. Reste, pour ce XC40 donc, le 4-cyl. 2.0 turbo-essence de 163 ch/150-166 g, à 41 350 euros ou, en 197 ch/151-166 g, à 48 800 euros.
Les gammes Hyundai-Kia
Hyundai offre un très large choix pour le Tucson avec, en accès à la gamme, le 1.6 T-GDi MHEV 48 V de 150 ch/148-151 g, à 30 800 euros. En CRDi turbodiesel MHEV 48 V de 136 ch/129-134 g, comptez 36 750 euros en Business. En PHEV de 265 ch/31 g (1.6 T-GDi de 180 ch + 91 ch électriques), les prix débutent en Business à 44 750 euros. Enfin, le HEV full hybrid de 230 ch/127-132 g (1.6 T-GDi de 180 ch + 60 ch électriques) est facturé 35 550 euros ou 38 650 euros en Business. Toutes ces motorisations sont disponibles en boîte double embrayage DCT7.
Le Kia Sportage (4,52 m de long), issu de la plate-forme commune au Tucson, en reprend les motorisations. Dont le 1.6 T-GDi de 150 ch/148-151 g à 31 340 euros, suivi par le 1.6 CRDi turbodiesel de 136 ch/131-137 g à 35 440 euros. En HEV de 230 ch/126-132 g, les prix débutent à 39 390 euros alors qu’en PHEV de 265 ch/25 g, ils commencent à 45 490 euros.
Un peu plus compact que le Sportage, le Kia Niro (4,42 m de long) en reprend la plate-forme électrifiée et les full hybrid HEV de 141 ch/100-105 g (1.6 GDi de 105 ch et 43 ch électriques), à 32 340 euros. En PHEV de 183 ch/18-21 g (105 ch essence + 84 ch électriques), comptez 39 240 euros.

Ford aligne le Kuga
Sur ce segment, le Ford Kuga a fort à faire pour contrer la concurrence. Son accès à la gamme passe par le 2.5 essence full hybrid HEV de 190 ch (152 ch essence + 125 ch électriques) carburant au super-éthanol E85, pour 118 g-122 g seulement ; comptez 41 400 euros ou 45 000 euros en ST-Line Business. Suit une version en boîte auto et transmission intégrale, toujours en 190 ch, mais qui ne fonctionne pas à l’E85 et émet donc de 130 à 133 g ; son prix : 43 100 euros ou 46 700 euros en ST-Line Business. Troisième motorisation au programme, ce même 2.5 essence en PHEV de 190 ch mais avec un moteur électrique de 130 ch, le tout alignant 225 ch et alimenté par une batterie de 14,4 kWh. Le CO2 n’est plus qu’à 22-24 g mais le prix passe à 43 900 euros ou 47 500 euros en ST-Line Business.
JLR face à Stellantis
Pour maintenir les ventes du Range Rover Evoque en entreprise, Land Rover a aussi choisi l’E85, avec le P300e PHEV et son 2.0 turbo-essence de 200 ch plus un moteur électrique. Soit au total 309 ch pour 31-35 g (seule motorisation sous les 160 g). Comptez 61 820 euros. Son cousin Jaguar E-Pace, dont il partage la plate-forme, reprend ce P300e PHEV de 300 ch/31-36 g, à 63 600 euros. Les autres motorisations sont hors jeu pour leurs niveaux dissuasifs de CO2.
Revenons chez Stellantis avec le Jeep Compass qui bénéficie du 1.5 turbo T4 eHybrid de 130 ch/128-136 g, à 37 450 euros en 4×2 ou 38 950 euros en Longitude Business. Suit le 4xe PHEV en 190 ch et 4×4 (1.3 turbo-essence de 130 ch et moteur électrique de 60 ch), pour 44-46 g à 46 450 euros. Sa version poussée à 240 ch/44-48 g, avec 180 ch essence et 60 ch électriques, est facturée 48 700 euros.

Saluons aussi l’arrivée d’un nouvel acteur sur ce segment des SUV compacts : le Tonale d’Alfa Romeo, basé sur la plate-forme Stellantis des Jeep Renegade et Compass. Il en reprend aussi les motorisations dont le 1.5 Hybrid de 130 ch/135 g, à 38 000 euros. Il ajoute une version poussée à 160 ch/138-139 g de ce 1.5 Hybrid, à 45 000 euros. Deux puissances en PHEV 4×4 composées du 1.3 turbo-essence en 130 ou 160 ch plus 60 ch électriques, avec une batterie de 11,4 kWh : le 190 ch/30 g à 49 900 euros et le 240 ch/30 g à 52 600 euros. Enfin, pour les irréductibles du turbodiesel, le 1.6 MJT de 130 ch/146-154 g et boîte double embrayage reste au programme à 38 500 euros.

Des gammes venues d’Asie
Revenons en Asie avec Suzuki et son S-Cross équipé du 1.4 Boosterjet MHEV 48 V de 129 ch/120 g à 28 390 euros en 4×2, et à 31 590 euros en 4×4 Allgrip pour 132-133 g. Il est complété par le plus récent 1.5 Dualjet Hybrid HEV de 115 ch (102 ch essence + 33 ch électriques) à 118 g seulement ; comptez 32 390 euros en 4×2 et 36 790 euros en 4×4 à 132 g.
Pour l’Eclipse Cross de Mitsubishi, le choix reste simple avec un seul PHEV : le 2.4 essence de 98 ch, aidé par deux moteurs électriques, l’un de 82 ch à l’avant et l’autre de 95 ch à l’arrière, soit au total 188 ch et 46 g, avec une batterie de 13,8 kWh. Son prix : 40 990 euros ou 43 990 euros en Business.
Toujours venu du Japon, le Mazda CX-30 a droit à deux versions du 2.0 essence atmosphérique avec, en accès à la gamme, l’e-Skyactiv-G à hybridation simple de 122 ch/134 g et boîte manuelle, à 28 800 euros ou 31 400 euros en Business Executive. En boîte auto à 143 g, il débute à 33 400 euros en Business Executive. On retrouve ce 2.0 Skyactiv X en 186 ch et en hybridation légère MHEV 48 V à 127 g, pour 33 700 euros en Business Executive. La boîte auto fait passer à 137 g et à 35 700 euros, toujours en Business Executive, la moins chère des finitions. Enfin, ce 186 ch en transmission intégrale pointe à 136 g et 37 350 euros en boîte manuelle, et à 148 g et 39 350 euros en boîte auto et Sportline.

Mazda se démultiplie
Mazda n’est décidément pas en reste sur ce segment avec la commercialisation du PHEV pour le MX-30. Un PHEV particulier : à partir de la version électrique de 145 ch existante, les ingénieurs ont ajouté un moteur thermique rotatif de 830 cm3 et 75 ch, qui ne sert qu’à alimenter la batterie de 17,8 kWh, pour 85 km d’autonomie. La puissance totale atteint 170 ch et le CO2 ressort à 21 g, pour une consommation totalement théorique de 1,0 l/100 km. Nous vérifierons dès que possible la réalité de l’autonomie une fois la batterie déchargée, le réservoir de carburant affichant 50 l. Le prix débute à 38 250 euros.
Enfin, le HR-V de Honda ferme la marche avec son unique mais récent 1.5 full hybrid HEV de 132 ch/122 g (102 ch essence et deux petits moteurs électriques), à 36 840 euros.

Dossier - SUV et crossovers : les gammes 2023 au grand complet
- Segments A-B – SUV citadins et polyvalents 2023 : un segment convoité
- Segment C – SUV compacts 2023 : pléthorique
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- Essai flash – Renault Espace : sobre et raisonnable
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