Essai flash – Suzuki Ignis : restylé et revigoré

Le Suzuki Ignis, né en 2016 et restylé avec élégance en 2020, est dorénavant emmené par le 4-cyl. 1.2 Dualjet de 83 ch et 107 Nm.
- Magazine N°265
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Le Suzuki Ignis se dote du 1.2 Dualjet à hybridation légère de 90 ch à 114-116 g (14 490 euros) et s’équipe de la boîte auto CVT pour 16 900 euros et 124-126 g. Avec la transmission intégrale AllGrip (boîte manuelle), comptez 123-126 g et 17 160 euros.
Le Suzuki Ignis se dote du 1.2 Dualjet à hybridation légère de 90 ch à 114-116 g (14 490 euros) et s’équipe de la boîte auto CVT pour 16 900 euros et 124-126 g. Avec la transmission intégrale AllGrip (boîte manuelle), comptez 123-126 g et 17 160 euros.

C’est surtout sa micro-hybridation de 12 V et 10 Ah et non plus 3 Ah qui séduit : l’alterno-démarreur apporte lors des accélérations moitié plus de couple (50 Nm) et une puissance additionnelle électrique de 1,94 kW. Outre la meilleure souplesse en reprise et la nervosité plus franche, cet ensemble réduit le CO2 à 114 g. C’est aussi, en accès à la gamme à 14 540 euros, une excellente façon de diminuer le coût de détention. Avec, selon nos mesures, tout juste 5,3 l/100 km en usage mixte, peu d’écart donc avec l’homologation WLTP à 5,1 l.

Mais comptez un bon litre de plus aux cent kilomètres sur autoroute à vitesse réglementaire. Une allure qui ne convient pas vraiment en raison d’une insonorisation insuffisante du bloc moteur, tout comme d’ailleurs du manque d’insonorisants dans les passages de roue qui éviteraient les remontées des bruits de frottement des pneus. En revanche, l’agrément de conduite est bien présent avec une bonne filtration des amortisseurs et une vivacité de comportement fort agréable en ville. Bonne pioche donc pour cet original mini-SUV urbain qui se faufile partout et à moindre coût.