C’est chose faite au sein du spécialiste de l’éclairage urbain parisien Evesa, à la tête d’un parc de 170 équipements. « En 2017, nous avons décidé d’équiper les véhicules du dispositif TomTom Pro 2020. Il s’agit d’un boîtier installé sur le tableau de bord, que le collaborateur active avec son badge d’entreprise et qui sert de carnet de bord électronique. Nous pouvons donc identifier nominativement les conducteurs et avoir une meilleure gestion des infractions », expose Claudia Almeida, la gestionnaire de la flotte (voir le reportage).
« Dénoncer des contraventions établies à tort »
Pour le transporteur de personnes à mobilité réduite 2BR...
C’est chose faite au sein du spécialiste de l’éclairage urbain parisien Evesa, à la tête d’un parc de 170 équipements. « En 2017, nous avons décidé d’équiper les véhicules du dispositif TomTom Pro 2020. Il s’agit d’un boîtier installé sur le tableau de bord, que le collaborateur active avec son badge d’entreprise et qui sert de carnet de bord électronique. Nous pouvons donc identifier nominativement les conducteurs et avoir une meilleure gestion des infractions », expose Claudia Almeida, la gestionnaire de la flotte (voir le reportage).
« Dénoncer des contraventions établies à tort »
Pour le transporteur de personnes à mobilité réduite 2BR Mobilité, la télématique embarquée a le même usage : « Les extractions papiers du dispositif sont acceptées par la police en cas de contestation. Nous pouvons donc dénoncer les contraventions établies à tort, comme pour les stationnements avec des voitures verbalisées à Paris alors qu’elles étaient à Villeurbanne. Et cela fonctionne aussi en cas de tentative d’escroquerie à l’assurance en permettant d’enquêter pour prouver ou pas la présence du véhicule. Le dispositif est aussi utile en cas de vol. Et au final, cela se répercute sur les primes d’assurance », explique Jean-Charles Houyvet, directeur du parc de 2 500 véhicules.
Attention aux erreurs dans la remontée des données
D’autant que 2BR Mobilité avait rencontré des problèmes dans la remontée des données avec son précédent outil télématique. « Des véhicules sur parking nous remontaient de fausses informations. Des erreurs qui nous ont coûté un procès aux prud’hommes pour un salarié licencié pour avoir roulé selon le dispositif alors que son véhicule n’avait pas bougé du parking. Certains boîtiers posaient des problèmes de fiabilité et le service après-vente n’était pas correctement assuré », rappelle Jean-Charles Houyvet (voir son témoignage). Dont acte.