Christine Sanvoisin est assistante de direction en charge des services généraux chez NEC France.
« La VR est rarement évoquée lors des discussions mais il va de soi que selon le modèle retenu par un collaborateur, elle aura une influence sur les loyers. Par exemple, lors de mes échanges avec les loueurs, je constate qu’un gros véhicule ou même une marque premium peuvent être accessibles : le loyer sera impacté positivement par la VR avec une loi de roulage de 70 à 75 000 km par an.
Nous laissons un large éventail de choix aux collaborateurs et nous ne sommes fermés à aucun modèle. Mais nous insistons pour que le véhicule entre dans le budget...
Christine Sanvoisin est assistante de direction en charge des services généraux chez NEC France.
« La VR est rarement évoquée lors des discussions mais il va de soi que selon le modèle retenu par un collaborateur, elle aura une influence sur les loyers. Par exemple, lors de mes échanges avec les loueurs, je constate qu’un gros véhicule ou même une marque premium peuvent être accessibles : le loyer sera impacté positivement par la VR avec une loi de roulage de 70 à 75 000 km par an.
Nous laissons un large éventail de choix aux collaborateurs et nous ne sommes fermés à aucun modèle. Mais nous insistons pour que le véhicule entre dans le budget alloué. Une marge existe pour que le collaborateur souscrive une option ou deux supplémentaires. Nous lui offrons cette possibilité tout en nous assurant que ces choix ne touchent pas la VR et donc le loyer. Nous avons ainsi interdit d’équiper les voitures d’un attache-remorque.
Pour respecter les durées et les kilométrages, je reçois tout au long de la vie des véhicules les relevés des loueurs afin d’ajuster les contrats avec des avenants et d’anticiper un montant à la restitution qui aurait pu augmenter fortement. Ce sujet de la restitution est d’ailleurs pour moi le plus problématique pour la VR. En reprenant la flotte il y a un peu plus de deux ans, je me suis vite aperçue que le système en place posait de vrais problèmes, notamment financiers. En effet, nous avions pour habitude de réaliser une remise en état par nos propres moyens, une pratique qui entraînait des surcoûts considérables.
J’ai demandé au garage avec lequel nous travaillions et aux loueurs de me faire parvenir des devis et nous avons opté, sur cette base, pour une remise en état forfaitaire avec le loueur. Cependant, si un collaborateur est responsable d’un gros souci durant la vie du véhicule, nous l’obligeons désormais à nous faire une déclaration d’accident et à effectuer la remise en état par ses propres moyens. »
La flotte de NEC France en chiffres
• Une quarantaine de véhicules de fonction de diverses marques, en Business