Les premières optent à 71 % pour la LLD, reléguant les autres moyens de paiement respectivement à 12 et 15 % pour la location avec option d’achat et l’achat, entendu comme achat au comptant complété éventuellement d’un crédit autre que le crédit auto. Les 2 % restants représente le recours à des crédits auto.
Les choix des TPE se font eux beaucoup moins contrastés. La LLD réunit environ 14 % des financements, la LOA environ 29 %, le crédit auto 24 % et l’achat par l’entreprise 32 %. Depuis 2016, ce sont les modes de financement en achat et en LLD qui progressent le plus, respectivement de 8 et 4 points. La LOA se maintient avec une légère...
Les premières optent à 71 % pour la LLD, reléguant les autres moyens de paiement respectivement à 12 et 15 % pour la location avec option d’achat et l’achat, entendu comme achat au comptant complété éventuellement d’un crédit autre que le crédit auto. Les 2 % restants représente le recours à des crédits auto.
Les choix des TPE se font eux beaucoup moins contrastés. La LLD réunit environ 14 % des financements, la LOA environ 29 %, le crédit auto 24 % et l’achat par l’entreprise 32 %. Depuis 2016, ce sont les modes de financement en achat et en LLD qui progressent le plus, respectivement de 8 et 4 points. La LOA se maintient avec une légère baisse, de 32 à 29 %, tandis que le crédit auto lui a reculé de manière importante, de 10 points en quatre ans.
La LLD en croissance chez les TPE et les artisans
« Il y a une forte croissance de la LLD chez les TPE et les artisans », estime Gérard de Chalonge pour Athlon. Ce directeur commercial et marketing constate que la LLD reste porteuse avec une croissance de 7 à 8 % chaque année. « Ce marché croît quand tout va bien mais aussi quand le contexte est moins bon. Et cette année, malgré la crise sanitaire, la LLD continue à gagner du terrain dans tous les segments, notamment auprès des TPE et artisans pour la LLD de véhicules neufs ou d’occasion », constate-t-il.
Autre enseignement, les petites entreprises de moins de dix salariés emploient en moyenne deux véhicules. 62 % ont au moins un véhicule particulier et 66 % au moins un utilitaire. La durée de détention atteint 5,9 ans pour les VP, et 7,2 ans pour les utilitaires.