Accidents d’éclairage ou de signalisation

Les accidents impliquant l’éclairage ou la signalisation du véhicule rendent délicate la détermination des responsabilités : le choc s’est souvent chargé de détruire les preuves. Les déclarations des protagonistes sont en général imprécises et contradictoires. Seul un témoin providentiel peut les départager, avec des interrogations sur son exactitude.
- Magazine N°225
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©admin_design-shutterstock.com
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Bref rappel pour ceux qui ont besoin d’être éclairés

Feux de position : à allumer dès la tombée de la nuit. Ils permettent de circuler en agglomération en présence d’un éclairage public et sont à employer pour un bref stationnement nocturne.

Feux de croisement : d’une portée de 30 m. À allumer dès la tombée de la nuit.

Feux de route : d’une portée de 150 m. Leur allumage doit se limiter au cas où l’on est seul sur une route avec une visibilité de plus de 100 m. On passe aux feux de croisement dès que l’on s’approche d’un véhicule venant en sens inverse ou que l’on va rejoindre.

Feux de brouillard : ils sont facultatifs à l’avant mais pour...

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