La note de frais
C’est l’ennemi numéro un de tout spécialiste du TCO. Si elle permet de faire le plein sans la carte carburant ou de se faire rembourser un pneu changé en urgence, elle reste rarement comptabilisée dans le TCO.
Les amendes
A raison d’une amende en moyenne par an et par collaborateur, la facture est salée, estime Édouard Rance, directeur d’ERCG, qui gère environ 20 000 amendes pour le compte de ses clients. Pour les réaffecter et suivre les récidivistes, il faut un outil de gestion des véhicules avec un historique pour identifier le collaborateur concerné lors des faits.
L’avantage en nature
L’avantage en nature lié...
La note de frais
C’est l’ennemi numéro un de tout spécialiste du TCO. Si elle permet de faire le plein sans la carte carburant ou de se faire rembourser un pneu changé en urgence, elle reste rarement comptabilisée dans le TCO.
Les amendes
A raison d’une amende en moyenne par an et par collaborateur, la facture est salée, estime Édouard Rance, directeur d’ERCG, qui gère environ 20 000 amendes pour le compte de ses clients. Pour les réaffecter et suivre les récidivistes, il faut un outil de gestion des véhicules avec un historique pour identifier le collaborateur concerné lors des faits.
L’avantage en nature
L’avantage en nature lié à l’utilisation du véhicule à titre privé est soumis aux charges sociales. Il est en revanche possible de demander une participation au salarié équivalente à l’avantage qui disparaît alors de la feuille de paie.
La taxe sur l’assurance « dommage »
Pour les flottes importantes, les experts conseillent l’auto-assurance afin d’éviter une taxation de 16 % sur l’assurance dommage. Autre option similaire : mettre à disposition du courtier une provision pour sinistres. La partie auto-assurée ne sera pas rémunérée sous la forme de commissions sur la prime soumises à taxe, mais en honoraires avec une TVA récupérable.
Les assurances complémentaires
Certaines prestations font « doublon » ou se révèlent inutiles. Parmi les exemples cités : l’assurance « pertes financières ». Elle ne joue qu’en cas de sinistre total – un risque inférieur à 1 pour 1 000 – et ne couvre que la différence entre la valeur du véhicule lors du sinistre et le solde de la créance due au loueur. Autrement dit, l’avantage est nul dès que le véhicule est âgé de plus de quinze mois. Cette réflexion peut être élargie aux véhicules relais. Faut-il souscrire cette option ou accepter de prendre en charge le risque d’immobilisation ? Un calcul à affiner dans le cadre d’une approche TCO.