« Même si le marché du VU est en baisse par rapport à 2011, les véhicules sont mieux et plus systématiquement équipés par les utilisateurs, surtout pour la sécurité routière (gyrophare, triflash, bandes rétro-réfléchissantes, etc.) », constate Stéphane Crescini, dirigeant de SD Services. Avec, selon lui, une évolution importante apportée sur les produits à faible consommation électrique (led), avec des prix plus attractifs.
Pour Stéphane Crescini, les clients recherchent désormais un service complet : « Celui-ci va de la pose de la charte graphique, à l’installation d’accessoires (cabine approfondie, signalisation lumineuse,...
« Même si le marché du VU est en baisse par rapport à 2011, les véhicules sont mieux et plus systématiquement équipés par les utilisateurs, surtout pour la sécurité routière (gyrophare, triflash, bandes rétro-réfléchissantes, etc.) », constate Stéphane Crescini, dirigeant de SD Services. Avec, selon lui, une évolution importante apportée sur les produits à faible consommation électrique (led), avec des prix plus attractifs.
Pour Stéphane Crescini, les clients recherchent désormais un service complet : « Celui-ci va de la pose de la charte graphique, à l’installation d’accessoires (cabine approfondie, signalisation lumineuse, attelage, galerie, etc.), en passant bien entendu par l’installation d’agencements », énumère-t-il.
Stéphane Poppoff, directeur de Kit Utilitaire, complète cette analyse : « Le marché nous semble assez soutenu, les cycles de renouvellement de la location longue durée aidant. Mais l’on sent bien que certaines entreprises investissent avec beaucoup de retenue. Cela est sans doute dû au contexte économique… L’offre se professionnalise et la demande se rationalise, tant mieux pour les utilisateurs et les professionnels que nous sommes. » De son côté, Alain Thomas, directeur commercial de Sortimo France, voit le marché de l’automobile plutôt en retrait « alors que celui du VUL est stable entre 400 000 et 420 000 immatriculations. »
Pour Philippe Tavel, le marché de l’aménagement évolue bien, « mais le volume est plus bas que par rapport à 2011 », nuance le directeur général de Modul System France. Selon lui, cette évolution tient en quelques données essentielles, dont la prise en compte accrue de la notion de développement durable ou le travail sur la diminution du risque routier professionnel, et donc de l’accidentologie, notamment sous l’impulsion des mesures de l’Assurance Maladie pour les utilitaires. Avec à la clé des demandes motivées de la part des entreprises pour plus de sophistication de leurs véhicules, et de réels bénéfices du point de vue de la sécurité ou de l’ergonomie.