Publi-Communiqué

Un objectif : épargner des vies

La mortalité sur les routes n’a cessé de diminuer ces dernières décennies. Mais la peur du gendarme et l’alourdissement de l’arsenal répressif ne peuvent pas à eux seuls s’attribuer ce recul : cette évolution est aussi à mettre au crédit de l’industrie automobile.
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Un objectif : épargner des vies

Des équipements, tels que la ceinture de sécurité ou l’airbag, ont contribué à sauver un grand nombre de vies. On évalue ainsi à plus de 1 million le nombre vies épargnées à l’échelle planétaire depuis l’apparition de la ceinture. Selon l’équipementier Bosch, l’ESP aurait de son côté contribué à éviter 190 000 accidents et à sauver plus de 6 000 vies au sein de l’Union Européenne depuis son lancement en 1995. Rien qu’en 2011, avec sa généralisation, l’ESP aurait évité 33 000 accidents et épargné plus de 1 000 vies. Enfin, en Europe, on estime que l’eCall pourrait sauver jusqu’à 2 500 vies par an.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Selon l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (Onisr), 21 % des automobilistes tués en 2014 n’avaient pas bouclé leur ceinture de sécurité ; le chiffre atteint 27 % avec les utilitaires et 37 % avec les poids lourds. Mais les causes des accidents demeurent multiples et l’alcool et les stupéfiants restent les premiers responsables de la mortalité : lors d’un accident mortel en 2014, 28 % des conducteurs impliqués étaient sous l’emprise de l’alcool et 23 % sous celle de stupéfiants. Bilan : 3 384 personnes ont été tuées sur les routes de France l’an passé.

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